au poème russe Médaille pour cette ville
Washington. Depuis 2016, la chanson même
est devenue populaire, ou celle-ci appartient
à l'écriture de Victor Tatarsky.
Pendant vingt-cinq années, souffrances!
Vous êtes quel but de tous les pays
«Démocratiques»?... Leurs dépendances
De l’Amérique me disent: «Traduis
Un poème du russe pour mieux comprendre
Que savent répondre nos esclaves!..
À vos bourreaux, il faut, leur rendre
L’humiliation des âmes, plus grave.
Pour ne pas battre, que naisse, crainte
Des démocrates qui tuent les gens,
Où sans permis, nos hommes vous pointent
Tout qu'il existera vraiment.
Pendant vingt ans, par ma maîtrise
De l’Italie, on m’interdit
De travailler que je maudisse
Cette force des États-Unis.
«Pour l’origine russe, persécute
De mille neuf cents quatre-vingt-neuf!»,
Déclarent vos règles bêtes, sans doute,
Que nos migrants vous soient le bœuf,
Qu’ils n’aient aucune intelligence,
Que l’on ignore mon obtention,
Malgré laquelle, ne soit nulle chance
D’avoir ma légalisation.
Ne pas pouvoir laver sa merde
Comme vos assiettes et vos planchers
En Israël. Que, là, je perde
L'espoir qu'aux tentes, je couchais.
Et en Europe «démocratique»,
il est possible d'humilier
Nos russes, en colonies classiques.
Par les États-Unis, sont liées
Que l’on ne jouait jamais les œuvres
De mon grand-père compositeur,
Toujours, je dois rester trop pauvre
Sur vos niveaux bien inférieurs.
Ma thèse, par «Docte-Ignorance»,
Pouvait permettre de monter
Avant la guerre d’Ukraine. Mais dansent
Vos diables, sur ma pauvreté,
Car non la Suisse intéressante
Invite millions de spectateurs,
Il faut payer, YouTube, qu’on mente:
Que laisse l'abîme des vues? ... Meilleure
Chanson pour Washington, projette
Six et demi-millions de vues,
Donne-moi ta protection en fête
Qui bombardait vos avenues.
Aux populaires, leurs propagandes
Descendent du gouvernement
Mondial, que sa puissance, grande,
Casse votre Amérique et ment
Que sans vos ailes de soutenance
Des «dieux humains», à mes diplômes
D'Europe n’était aucune croyance,
Car, sans leurs aides, tous sont sous-hommes.
Sans vues, ce poème tient l’alternance
Des brefs et longs concepts des sons,
Comme notre lutte pour tolérance,
Que l’Amérique gardait son bon.
Vos protecteurs ont fait entendre
Nos voix en russe pour leurs argents.
Sans ceux, ma belle poésie est tendre,
Celle-ci se perd parmi nos chants.
Mon âge des ans, cinquante-quatre,
Est lourd de beau recommencer
À rappeler l’histoire qu’elle parte
De vos mensonges au passé,
Car vos vaisseaux extra-terrestres
Ne s’illustraient que par l’élite
Qui nous abaisse pour sa palestre
Qui a fermé nos bouches très vite.
Victor Tatarsky: Poème
Médaille pour cette ville Washington
Plusieurs missiles se lancent, risquent,
La cendre est pendue en l’air,
Se brûlent New-York et Saint-Francisque,
Le Neuf-Mexique semblait misère.
Noircit ta plage, Miami sans forme,
Celle-ci cache les poissons bouillis,
Des tsunamis passaient, énormes.
La Cordillère secoue vos lits.
Au pré de la Maison plus Blanche
Est arrivé un russe troupier,
S'assoit sur la colonne, sa manche
Met l'automate entre les pieds.
Et vers sa nuque déplace son casque,
Il mange sa sèche nourriture,
Sa téquila anglaise se masque.
Dans ce chaudron, elle est plus dure.
Puis, il va en avant, aux drames,
Bien que la botte touche leur parquet:
Où se cache ta baraque?, Obame,
L'ellipse de ton cabinet?
Ce chien a ta nature de firme,
Cette literie est sa victoire,
Tartines pour ton valet, confirme,
Ta femme Michèle crée ton pouvoir.
La fête fasciste pour Bandère
A allumé ses artifices,
A confondu ceux et nos guerres
Touches nucléaires en couleur grise.
Émergent quatre Atlantides,
L’Afrique se rince par leur flot,
Son sud bat l'Antarctique aride,
L’Europe est descendue sous l’eau.
De la Crimée devient visible
L’Océan Indien, ses éléphants
Courent vers l’Oural. Tixey horrible
Est plein des singes cependant.
Sous Sakhaline, soleil, tu tombes,
Kouriles sauvent cent-vingt japonais
Et trente mille tortues, sans bombes.
Sur ces mêmes îles, ils sont renés.
Plusieurs parents éduquent chaque âme
Qu’on n’appuie pas tous les boutons,
Tu as appris à lire?, Obame,
Ton nom n’est pas Baraque, Mouton.
Soldat ivrogne, coulait ta larme.
Trophée, râlait ton saxophone,
Sur la poitrine brillait ce charme
Médaille pour cette ville Washington.
Strophes poétiques politiques
des poèmes philosophiques:
Les métriques se réaniment
À une sphère du grand abîme
La mafia d’argile estime
Cette ère hiérarchique sans mœurs.
Je renais des hommes en peur
Pour ces vers avec ma rime.
Mon grand-père compositeur
De Russie était mon crime,
Car j’envoie tout cet argent
Pour lire sa musique classique
À l’ordinateur… Je pique
L’œil qui voit vos requérants
D’asile, griffe son hystérique
Voix du roi des autres gens.
Aujourd’hui, pour obtenir
Sa fortune sauvage, il faut
Vivre pour nos règnes des faux
Dieux qui cachent ton avenir
Au dessus son aire des feux
En désert, sous ce plaisir.
Hors des jeux en loterie,
Le talent n’aura nulle chance
De gagner l’indépendance
De son esclavage qui rit
Sur toutes nos intelligences
Sans consécration chérie,
Où des œuvres plus géniales
Ne verraient jamais leurs scènes,
Si ne les signait nulle main
Du gouvernement mondial
Qui fait, comme rompt, nos destins
Par l’imperfection spatiale.
Au chef, sont pires ceux qui laissent
Leurs travaux hors du contrôle
Par l’élite, sans sa parole…
Qui est libre des richesses
Matérielles, ignore le rôle
Essentiel de leur noblesse.
Quelles réponses naissent!
Tu abaisse ta jeunesse,
Michel Venne. Sans ton stresse,
Ce corps gros s’intéresse
Aux bisness sans sa caisse.
Reconnu dépendant
De vos dieux et des clans,
Tu maudis chaque talent,
Où tu voles son argent.
Aux patrons appartient
Leur fameux canadien,
Car ne fait presque rien
Sans désir des doyens.
À travers les lunettes,
Tes États me rejettent,
Où préparent plusieurs dettes
Pour vos pauvres poètes.
Aux barbares va ta Rome.
Venne, oublie où nous sommes
Et t’oppose aux jeunes hommes…
…Tu es comme l’ours en gomme.
En hiver, tes vieux fourrent
Leurs bottes pour l’autre jour
Entre l’âge et l’amour
Du chanteur troubadour.
Reste, Venne, par mes vers,
Dans l’art de l’Univers,
Et évite ton enfer,
Car je bats tes chimères.
Mais ma Muse fait savoir
Que l’on rompt chaque espoir
Par l’esprit du «Devoir»,
Où l’on cesse de le croire
Et refuse tous les grands
Sans mafia cependant:
Ce mensonge aux gens
Voit l’heure de l’occident,
Vit ton ombre morale,
L’homme devient l’animal.
Regardons des hautes salles
Sur la masse médiévale.
Parmi ces hommes, qui bien domine?
Ne critiquez jamais Staline,
La crainte pure sous chaque colline...
... En occident, l’idole de Chine
Fera trembler sous ses vitrines.
L’Europe imite l’enfant bientôt,
S’approche des cultes orientaux.
Comme à Byzance, son Bateau
Tire ses esclaves pour les manteaux,
Où l’âne heureux a tous ses droits
Pour son amour pratique au Roi,
Il ne demande pas: «Pourquoi
Ses gens se groupent ainsi?» et croit
Aux forces des doyens sérieux,
Il aime ses illusions des «preux».
Il n’y a aucun bonheur bien mieux
Que sa foi d’homme comme ce des dieux
Du monde... Chasse nos sacrifices,
Où leur Démocratie actrice
Affirme qu’en Asie vide, puissent
Crier, comme en Afrique, Ses fils.
Aux peuples qui se développent
L'on dit leurs mots..., non à l’Europe.
En Amérique, tu calmes, stop!
Dont l’on t’arrête, car tu galopes.
Nos dissidents bougeaient en russe
Il y a trente ans, ouvraient l’anus
Aux concurrents par leur virus.
Ceux-ci sont morts pour vos sinus.
Venez ici, aux temps stupides,
Leur vie illustre: Qui nous guide
L'idée? Qui est toujours l’hybride
Des Buts divers des Yeux humides?
Cristaux de la Noblesse, Écoles
Parfaites, vous êtes plus chères paroles
Comme nos consécrations très molles
Pour vos «génies» sur nos épaules.
Racisme contre chaque talent
Essaye d’aider nos vies des blancs!
Car, aujourd’hui, ils créent leurs chants
Des rimes du Moyen Âge pendant
Les Hautes Croisades, en rédigeant
Nombreux poèmes.
Au Canada, une femme très vieille
Pleurait souvent dans le sommeil
Pour sa Patrie... Comme vos bouteilles,
Elle est jetée sous le soleil,
Son nom, Khilène.
En Israël, un clans la bat,
Car son individu abat
Les ordres pour nos russes plus bas
Que ses arabes maudis là-bas
Qui laissent leurs chaînes.
L’a invitée son fils bestial
Qui habitait à Montréal,
Où son enfant se sent bien mal.
Mais il est né malade mental,
Madame l'amène
À la raison de son enfer
Il aime beaucoup sa grande mère.
Et vos cœurs durs, produits en fer,
Règnent au Québec, l’expulse l’hiver
Des âmes humaines,
Où le refus d’asile l’arrête,
Son origine n’est pas de bêtes
Sauvages qui coulent le sang en fête
Qu’à Montréal, vivent leurs conquêtes
Qui se soutiennent!
Aux sacrifices blancs - les juges ont
Les cages et leurs serrures des zones,
Comme pour cette Dame. Par leurs maisons,
Le Canada cache ses prisons.
Par Celles, sont pleines.
Digne Canada Hyène
Vos bandits rêvent que viennent
Leurs morts - bangladais lieNs
Et deviennent les doyeNs
Du futur canadien,
Que ne règnent plus nos pays
Des âmes européennes
Qui décèdent aujourd’hui.
Michel Venne, tu attends
Que frappait le Coran
Dans ton appartement,
Que nos fils quittent, vraiment,
Le Nouveau Monde Entier
Qui oblige vos gourmands
À laisser leurs quartiers.
Que vivent tes immigrants
Noirs ou chers musulmans.
Nos cultures des hommes blancs
Sont les peaux sur leurs glands
Qui se coupent pour la «paix»,
Dont ces autres jeunes gens
Peuvent, sans doute, se grouper.
Par la vie des robots,
Ce Chaos se sent beau:
Que volaient les corbeaux
Comme leurs êtres verbaux
Contre l’art des Chanteurs.
L’on Les tue par les baux,
Humilie le malheur!
Mais partout resteront
Les Masses grises. Leur Baron
Porte l’ordre du trône
Africain, tient Son Bon.
Que, ici, soit Sa terre,
Où les autres se vont,
Car évitent les longues guerres.
J’appartiens à la race
Inférieure qui ne passe
Pas ce tour. Et l’espace
La rejette comme plus basse.
Notre type doit mourir,
Les asiates nous remplacent
À travers leurs désirs.
L’arbre est l’avenir.
de Madame le Professeur Alexandrine Schniewind
Un, en absence du mal, existait sans chaos, sans océans et sans terre.
La Perfection d’Absolu ne régnait qu’en Lui-même… Car de toutes les manières
C’est, Ce sera et C’était l’Un qui ne cherche rien et engendre les sphères,
Cet Un a tout ce qu’il est dans le temps et se rêve à travers les matières.
L’Ordre, Étant plus Parfait, surabonde de tout. Mais cette sUrabondance
Fait toutes nos choses trop partielles, différentes de Lui à travers les distances.
Comme chaque objet fécondé se retourne à l’Un, car voit l’intelligence
Par le regard sur le But, tout reçoit l’Intellect et éduque la Conscience.
Par ce cadeau extérieur, l’Un rejette les planètes qui deviennent raisonnables.
Mais en Olympe, cet Un les reflète par leurs noms des potences probables,
Où à la fois, reste Sa perception du Bien, l’être actif, la vie stable,
Dure en pratique. Cette raison potentielle leur formule le cerveau véritable.
L’art en effet donne la double puissance aux Feux du cosmos intelligible.
Les fleurs d'idées Les animent comme rapprochent du miracle des causes très visibles.
Pour l’inhérence des hauts actes, est réfléchie la nature compatible
Au long chemin aux contacts avec Ce qui était au-delà impossible.
Pour sa deuxième conception est conduite la vision bien réelle et plus pure.
Lorsque l’on a l’aile de l’inchoation des sensés, l’Intellect inaugure
L’indépendance du mal présent qui assassine, à travers chaque blessure,
L’imperfection. Comme l’étoile, le penseur, procédé de son Un, se figure
Par les abîmes de songer comme de voir notre Ciel. L’horizon des unions
Ouvre plusieurs hypostases et leur rang des Principes à nos contemplations.
L’homme est en Dieu, dans ce monde et sur l’extase des belles compréhensions.
Dans l’escalier hiérarchique, l’amphibie âme vit entre ses trois distinctions.
Par Charles Bovelles, car par Boèce
Chaque action passe nos distances
Des niveaux pour l'expérience,
À travers deux Providences.
L'ombre garde toutes les choses.
Mais ce Vivre crée la rose,
Car sa plante nous expose
L’inférieure vie, par l’essence…
L’animal gagne le Sentir,
Mais ce sentiment suppose
Sa douleur pour son plaisir.
La notion «Comprendre» pense
Et formule nos sages de science,
Sur lesquels, leur belle Substance
Raisonnable se transforme
En Individu des ormes,
En Sujet parfait des cormes.
Et l’humaine intelligence
Mène l’objet au contenu,
Rompt ses vides raisons qui dorment
Sans cosmique aile obtenue.
La nature réelle démontre
Que l’on cache l’île de rencontres,
L’homme a opposé l’âme contre
Sa partIcularité
Qui devient l’art sans beauté,
Restaurée par soi. Dictez,
À vos créateurs, leur ordre.
Ouvre l’autre porte vue
Qui n’a nulle simplicité,
Où illustre nos débuts.
Ce cosmos tient deux fenêtres
Pour renouveler nos Êtres
Modifiés, mais doit connaître
Dieu qui règne toujours au centre
De deux énergies qui entrent
Dans deux guerres, où l’une veut tendre
À détruire, comme sans nos lettres
Ni paroles, tout l’Univers.
La deuxième mangea pour rendre
Tous, aux trous noirs, l’astre hier.
C’est pourquoi, leurs pyramides
Se construisent, par les morts vides
Des esclaves, en Atlantide.
En Égypte, naissent plus tard.
Car ces cimes lisent les regards
Des forts pharaons miroirs
Du visage avec les rides.
Au royaume des immortels,
L’on décède pour leur nectar,
Par un verbe corporel.
Et l’imperfection traverse
L’Univers. Ses causes diverses
Sont celles neutres. L’ordre verse,
Sur leur feu, l’appartenance
Au partiel Bien et, sans chance,
Au Mal faible en absence,
À nulle forme. L’a chaque terse
Galaxie qui s’élargit.
En même temps, les existences
Aiment leurs trous pour les bougies.
Dieu augmente nos grises masses
Par nombreuses vitesses qui passent
Très rapide plusieurs espaces,
N’éloigne pas toutes les étoiles,
L’une de l’autre, vers le mal.
Tout grandit, car va égal
Dans ses lieux plus grands, embrasse
Les bien plUs hautes proportions
Qui sont l’harmonie spatiale
Pour chaque galactique chaînon.
Mais leur cosme développe
Chaque sphère. Pour porter ses aubes,
Dieu possède leurs propres tropes
Intérieures dans les planètes.
À quelqu’un, Dieu donne les fêtes
En hiver des plantes… Bête,
Tu t’élèves, mais tapes tes robes,
Et t’opposes aux peaux de diable,
Tu conduis ta tête concrète
Aux premiers yeux raisonnables.
Sont soixante dix mille ans,
En arrière, l’homme dépendant
Fait voir Absolut pendant
Les volcans de la Saumâtre!
Sa première aile le fait battre
Pour son but dans le théâtre
De l’assassinat des gens.
L’opposé aux animaux
Naît, vit, sent et sait que quatre
Existences fixent nos mots.
Vers la fin de l’ère glaciale,
L’homme a faim mais se dévoile.
Pour manger, tient l’animal.
Il y a treize mille ans, caverne,
L’on dessine l’image moderne
Sur tes murs, lorsqu’il est terne.
Dont s’éduque l’esprit moral,
Sur la terre avec le chien
La charrue grosse, comme la lierne,
Est en boîte. L’âme jette les grains.
Trucs des clans
Ces esclaves allemands
Invitèrent requérants:
Pour violer vos enfants
Contre tous les jeunes gens
Qui, en fous, interdisent
De, partout, baptiser
Tes bébés!... Sont soumises
Leurs souffrances baisées!
Toute l'Europe divinise
Son futur sans églises.
Sont ouverts tous les pays!
Leur dragon humilie
Comme en sa Somalie!...
Concubines, sur vos lits
Oubliez toute l'histoire!
L'occupant vous menace,
Par ses tristes victoires,
Investit nos espaces!...
Qui exige ce pouvoir
Et oblige à le croire?,
Où nait ce tour géant
Qui soit indépendant
En Europe d'immigrants.
Qui régnait, tue ses Grands,
Assassinent sa beauté.
Où cette vie veut aller?
Vous oblige à heurter
L'âme à l'aire des palais,
Ce chaos va rester
Au mal d'éternité,
Et New-York des gardiens
Bat l'Europe comme son chien,
Fait manger le vilain
Par ses peuples "syriens"
De Maroc, d'Algérie!
L'on achète leurs passeports
En Turquie. L'arme crie
Sur tous: «Eau des «dieux» forts!»
L'invasion des souris
Très avares vous fleurit,
D'où la Chine vous invite.
Sans islam, aille très vite
Aux indiens. Vos visites
En Brésil, tout de suite,
Se préparent à Berlin
Des «amis», où sa foi
Sans Jésus au chemin
Des stupides, prend son droit
Sur leurs villes dans les mains
Étrangères sans chrétiens.
O, Français, quitte la France
Pour quelle indépendance,
Exécute l'exigence
Du destin en croyance,
À genoux, Angleterre,
passes l’état bien critique,
Fais détruire tes frontières,
Disparais en panique!
Tu conduis à nos guerres,
Pour ta foi, Univers.
* * *
Car les secrets de Dieu incompréhensibles, et la vertu effectrice contingent de longue éstetude de la cognoissance naturelle prenant leur plus prochain origine du libéral arbitre, faict apparoir les causes qui d'elles mêsme ne peuvent acquérir celle notice pour êstre cogneus, ne par les humains augures, ne par autre cognoissance, ou vetru occulte, comprinse soubs la concavisé du Ciel mêsme, du faict présent de la totale éternité, qui vient en soy embrasser tout le temps. (34-36. Préface de M. Nostradamus à ses Prophéties. Ad Caesarem Nostradamum filium, Vie et félicité.)
Car les secrets de Dieu sont incompréhensibles, et la vertu causale touche à notre longue attente de la connaissance naturelle, prenant son origine la plus immédiate dans le libre arbitre et fait apparaître les causes qui ne peuvent d'elles-mêmes faire acquérir cette connaissance pour être révélées, ni par les interprétations des hommes halitueux, ni par un autre mode de connaissance, ou un vertu occulte, comme sous la voûte céleste, du fait présent jusqu'à la éternité totale qui embrasse la globalité du temps. (34-36. Préface de Michel Nostradamus à ses Prophéties. À César Nostradamus fils, pour la Vie et pour la félicité.)
Car les secrets de Dieu sont incompréhensibles, et la vertu causale touche à notre longue attente de la connaissance naturelle, prenant son origine la plus immédiate dans le libre arbitre et fait apparaître les causes qui ne peuvent d'elles-mêmes faire acquérir cette connaissance pour être révélées, ni par les interprétations des hommes halitueux, ni par un autre mode de connaissance, ou un vertu occulte, comme sous la voûte céleste, du fait présent jusqu'à la éternité totale qui embrasse la globalité du temps. (34-36. Préface de Michel Nostradamus à ses Prophéties. À César Nostradamus fils, pour la Vie et pour la félicité.)
Providence de notre Porte et l’autre ordre
Dieu crée toutes nos dimensions, par leurs seins des matières cosmiques.
Comme aux étoiles, aux planètes donne Ses vies dans l’espace physique.
Leurs raisonnables envoient, à Dieu, leurs prières symboliques.
Chaque énergie naît divine, car passe sans cauchemar diabolique.
Mais je suis un philosophe des pécheurs, sans raison d’action.
L’on trouve l’abîme des questions sous la règle des traditions.
L’île de leurs cultes paraît. L’heure obscure rêve des répressions.
Son pain rassis perd ces phrases des mortels, par les combustions.
L’homme trouve la tombe des Fois par leurs dogmes au Moyen Âge,
Et ses serments ne sauvent pas. Pour leur fidélité en rage,
Griffent, contre Dieu, le mensonge, la foudre des maux images,
Que, par six jours, Dieu forma l’Univers, pour nos grands dommages.
Le paganisme hébreu n’a pas pu savoir l’Univers,
Car ses légendes enlèvent nos poètes classiques, par les vers,
À son Adam, l’on rejette toutes les sciences par leurs enfers
Des relations médiévales, où descend l’obscure âme dernière.
Les juifs limitent Absolu par les ombres grises sur la Terre.
Leurs sous-hommes croient en trois livres, en trois religions sévères,
De cette façon de leur diable, «daignent» l’explosion des chimères,
Car leurs symboles vêtements vivent pour nos folies populaires.
La connaissance d’Égypte, la vole Moïse non sur Sion.
Ce roi hébreu manifeste l’exil des malédictions,
Car il a dit à son peuple que l’homme pur vit pour l’union
Libre avec Dieu comme Ra égyptien des circoncisions.
Dieu ne lui ouvre nulle révélation vraie comme à Platon,
Ne soutient nulle phrase des voleurs d’idées hors leurs trônes.
Qui connait bien Absolu, n’était adoré par personne
Et, comme Socrate, ne se divinise pas, s’oppose aux couronnes.
Qui entend Dieu en soi, pour les gens trouve ses sincérités…
…L’on conduit le mensonge de Moïse vers la fidélité
Trop fanatique aux récits bizarres contre nos vérités.
Ce mythe stupide du menteur cultiva notre mutité.
Dieu est l’Amour, Il répond aux chansons et invite la Foi
Vers la paix, non à la guerre infernale opposée aux lois.
Dieu nous dévoile que beaucoup de «prophètes» mentent pour les droits
Des religions, vont «Chez toi, oh Souris» (1) en hébreu des rois.
Les télépathes chassent nos mots des parfaites communications.
Qui n’a ni bras, ni pied pour avoir notre crucifixion,
N’a aucune chance sur les paradis faux sans nos notions?
Pour la lecture des idées, le maudissent nos trois religions,
Toutes les croyances aveugles (des juifs musulmans chrétiens)
S’opposent aux saintes âmes des autres planètes, mais rejettent leur Bien.
L’extraterrestre raison n’a nulle croix et chaque clair chemin
Sans leurs mémoires n’est jamais raisonnable et ne coûte rien?
Crois que le fils de Marie est né du Saint Esprit Sauveur,
Se lève sa Résurrection. Par celle, Il devient le vainqueur,
Du temps obscur, il allait aux hommes par le libérateur
Des gros barbares. Pour eux, Christ nous explique ce trésor des peurs.
La quantité infinie des divins fils l’a l’Univers,
Montre leurs buts aux civilisations cosmiques à travers
Nos multiformes qui veulent s’approcher d’Absolu pour faire
Ses harmonies très partielles, où naissent leurs mêmes fils divers.
L’ordre vitesse de leurs temps fait céder aux réels rapports,
Mais la folie divinise nos stupides traditions des corps.
Et les bougies s’obscurcissent sous les lampes. Chaque temple, hors
De nos symboles, est l’idole. Dieu excuse, malgré nos mots morts.
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(1) «Chez toi, oh Souris - alàkh akbàr» en hébreu
Monument préhistorique
La neige était tombée, celle-ci n’a pas supprimé
Un grand visage bien vu sur la montagne en hiver,
Car les bateaux cosmiques l’ont gravé, l’homme les aimait.
Dont il les aidait à creuser l’or dans sa froide Terre.
Lors les flocons de glace n’ont pas fermé ce profil,
La couronne passe à ses paupières, vers le menton.
Mais ne s'oublient jamais le nez avec ses sourcils
Sa barbe ne s’est pas modifiée de cette façon.
À ce temps en Europe, il y a trois mille ans avant
Jésus Christ baptisé, ses extraterrestres sont
Les dieux aux rois afin de diriger tous leurs gens
Que soit l’espoir, qu’aux forts plaisirs travaille chaque personne.
Au-dessus de la ville Conthey en Suisse au canton
Sous le titre Valais n’a pas disparu l’image
De cette colline. Toujours la voit l’état francophone.
De celle, regarde l’un de ses premiers héritages.
Là, les indépendances du mal ont séparé
Tous les langages et la télépathie par nul mot.
Nous devenions leurs jeux plus despotiques, c’était vrai.
Les prophéties créent les mensonges par quels jumeaux.
Pavlenski
Sur la place de Bastille,
Votre banque vous brille
Par la consécration de l’artiste
Qui ne joue aucun rôle
Et ne sait nulle parole
En français, car l’absurde bien triste
Fait détruire ma Russie,
Au barbare vous dîtes: «Si
Tu blessais tes femmes russes, sataniste,
Tu serais, Pierre génial,
Notre peintre du mal,
Qu’à Paris l’art du diable existe.»
L’homme n’a rien dessiné.
Mais l’Europe l’amenait
Au triomphe parfait des violences.
L’on coupe l’art de peinture
Par le feu des blessures
Pour monter à sa reconnaissance.
La Russie l’a permis
De trouver ses amis
Entre les journalistes qui dansent
À côté du bandit.
Pour Poutine, l’âne rôtit
Ses palais pour quelle indépendance?
L’âme attend la police.
À Moscou, celle-ci puisse
À conduire vers le dur héroïsme.
Pierre répète cette action
Pour la révolution
À Paris, l’on l’appelle l’extrémisme
Par dix ans de prison…
À Moscou nous disons
Qu’en Russie l’on cultive l’égoïsme,
D’où l’Europe sans trésor
Nous approche de nos morts
À travers son «naïf» daltonisme.
À mon sauveur d’Alpes
Vive Robert JAGGI // par l’étoile du Comte
Qui me brille en Suisse, // sauve parmi mes ondes.
Leurs derniers dix ans // de ma vie racontent
Comme Il m’a aidé à bien vivre contre
Mon décès - sans droit // d’exister par l’ordre,
Où ce Noble crée // mon espoir au bord de
Son canton Valais… // Que je sois une ombre,
L’ennemi de Dieu désirait nous mordre
Par l’esprit tombé. // Et l’enfer L’infecte
Comme mes deux amis // pour chaque aide directe
À ma vie d’Europe. // La santé correcte
De Robert s’oppose, par l’histoire, aux sectes.
L’origine soutient // Don JAGGI qu’il reste
En Antiquité... // Le Moyen Âge déteste
Le sénat sans voix // et Boèce. L’âme teste
Quinze siècles par sa sagesse funeste.
Ce nom de famille // du sixième dur siècle
N’oubliait jamais // le soleil des règles.
Aux époques du mal, // il volait comme aigle:
Aux paysans, du ciel - défendait leur seigle.
Sur lui regardaient // tous ses sages ancêtres
De leur Paradis. // Ses parfaites fenêtres
Voient Robert JAGGI // de la Terre pour l’Être
Des justices divines à travers ce maître.
(Alexandre Galitch: Danses des bourreaux
Mal dormaient les bourreaux? Dis à chaque nuit,
Ces bourreaux ont visité leurs amis,
Mais ils ne lésinent pas les vivres beaux,
Alimentent chaque ami des bourreaux.
Sur la table, ils vous mettent le mollet,
Car ils boivent ce tort cognac au soufflé,
Coulent le thé aux ivrognes par l’alcool.
Le muffin donne le biscuit de «Salut»,
Où les maîtres vous touchent vos épaules
Et glorifient Staline «sage» et voulu.
Ils chantent très sincèrement à ce symbole.
Sur la garde sommes-nous, disent les bourreaux,
Quand revient-t-il? Vers nos Êtres moraux,
Apparaisse vite au Politique Bureau,
Lève-toi, Père, enseigne-nous par ce cours aux
Rogues sur les pains blancs des communistes,
Vois les larmes bouillantes plus chaudes.
Et aux âmes des bourreaux il est triste.
Prenez-les en pitié par leur mode:
Vers la nuit, souffrent trop tous les bourreaux,
Aux tyrans ont nombreux mots très gros.
Et pendant notre vie adroite des rots:
Par les gueules, ces «pierrots» frappent nos héros.
Comme jadis fut la jeunesse militaire.
Battent les jambes sous les plexus solaires,
Tuent un cri aux larmes des tortionnaires.
Les étages sautent et disent leurs paroles
Aux médecins d’urgence et vers
La tristesse de Staline, l’on rappelle ce symbole,
Et l’on chante sincèrement à l’enfer.
Il y avait un ordre, disent les bourreaux,
Et l’aisance des Biens Êtres moraux,
Ton affaire nage au Politique Bureau,
S’il te plaît, reçoive-le de ce cours aux
Forts gardiens qui respirent par l’oxygène,
Ne crie pas, car ta voix n’est personne,
Les tourmenteurs avaient une peur de chienne
Prenez-les en pitié par leurs zones.) 1
Pour M. le Capitaine
Sergueï Alexandrovitch Choumilov
Aujourd’hui et en France, Galitch est la bête,
Téléphone au cent quinze, l’on bat mes poètes.
Réfugié, par ton front, un drogué rompt l’assiette,
Mange comme ces français sans raison et sans tête…
Ta Russie se rappelle dans mon cœur…
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
Dors sans pied! Réveilles-toi à six heures
Hors des fêtes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.
L’âme sauvage voudrait tuer l’autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d’obliger, à souffrir,
Un vieillard, requérant de l’asile…
Au passé, celui-ci dirigeait son navire
Commercial, voyageait vers les îles
Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n’ont que leur rage,
Portent l’ère des souffrances dures à tous nos âges.
L’un de ses diables vifs te dévoile son visage.
Il menace notre vieux capitaine…
À Strasbourg, l’Homme ne perd pas l’honneur et ses sages,
Où il ne s’abaisse pas jusqu’aux chiens,
En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l’on donne la nourriture, l’ordre rit.
À sept heures, l’homme quitte ce bâtiment triste, gris…
Le malade très âgé est à pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c’est son prix.
Dans douze heures, il revient au foyer
De souris.
L’on dit qu’il n’est pas le réfugié. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.
Dont il prie l’aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a trente ans, il avait dû
Embarquer son bateau à New-York…
Et l'asile politique pouvait être vendu.
À l’océan, il rattrape l’os de l’orque
Dépendu.
____________
1 - C’est la traduction poétique en français d’Alexander Kiriyatskiy
* * *
(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)
Staline en Europe
Et en Europe, il n’y a aucune démocratie,
Comme à l’époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète … - «Merci»,
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.
Je suis Sacha, le personnage des «Fils d’Arbate»
De Ribakov… L’on nous sépare des masses en boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.
Nos stalinistes d’occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l’on leur dictait
De retirer leurs lettres par leur volonté.
Que l’on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l’averse, l’on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.
Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l’indépendance
Des démocrates d’Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.
Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L’argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.
Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d’obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter
Que je n’ai pas mes droits // de travailler par l’ordre,
Et rédiger ma thèse, // n'est pas aide à Genève,
Or, ma recherche en // Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve.
* * *
(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)
Sans plusieurs masques
Que mon peuple était // contre son grand pays,
L’Amérique démontrait // que les jours sont nos nuits,
Affirmait que l’idée // des communes c’est le bruit.
Son Europe l’invitait, // car l'on n’a pas détruit
Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très prudes aux
Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd’hui qu’un verre d’eau
Et donnait les travaux // des meilleurs professeurs
Aux stupides soviétiques // qui n’avaient nulle saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de soudeur:
Pour leur faire des armées // contre l’île du bonheur.
Qui n’avait aucune languE, // sauf le russe, était lié
Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux palais,
Car ils ont obligé // la Russie à aller
Vers l’abîme de l’enfer. // À l’Europe, ce pas plaît.
Il n’y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir
Du control sur chaque âme // et du gris souvenir.
2. 02 La teste blue fera la teste blanche
Autant de mal que France a fait leur bien.
Mort a l’anthenne grand pendu sus la branche,
Quand prins des siens le roy dira combien.
(2. 02 La tête bleue se fera cette même tête blanche
Autant de ce mal que la France leur a fait leur bien.
Le grand mort est pendu. Il a l’antenne sous la branche,
Lorsque, aux princes des têtes, le roi dira combien.)
(Nostradamus 1555)
Nul ordre
Ces esclaves, nous parlons,
Ont construit Babylone
À travers les boulons
Sur le Tibre.
Reconnu est le roi,
Aujourd’hui, c’est pourquoi,
Et je n’ai aucun droit
De l’âme libre.
L’Existence parfaite
Tue mon vers, car Rejette
Ce récit du poète,
Par quelle fibre
Des menteurs et Pratiquent
L’obtention fantastique
Pour l’asile politique.
Cette vie vibre
Entre les exigences
Des lieux qui donnent une chance
De monter. L’expérience,
Qui existe,
Dit: «J'ai peur des tyrans,
Lorsqu'il faut, pour l’argent
Comme il y a quarante ans
Vers l’heure triste.»
Un vieillard canadien
M’a rompu mon destin.
Il s’appelle Michel Venne
Journaliste.
Il défend quels fidèles
Au pouvoir, où leur ciel
Ne plaît plus au bordel
Des artistes.
L’heure rôle fort des acheteurs
Te conduit au bonheur,
À quels riches demandeurs
De l’asile!
Qui est persécuté,
Bat leur sécurité,
Rompt, par la vérité,
L’art débile.
Qui dévoile leurs bougies
Sans aucune énergie,
L’entraîne sa mort, agit
Dans les villes.
Je deviens dangereux
Aux bourreaux trop heureux,
Sur leurs feux, coule l’hébreu
Ce jaune huile.
Lorsque, comme au bandit,
L’état juif m’interdit
De faire tout, Michel dit:
«Quoi tu chantes?…»
Il ajoute: «Du pouvoir,
Te menace quelle mort noire
Sous le ciel?» Chaque gris soir
C’est ma tente.
Il déclare, en même temps,
Ce statut pour une dame
Qui revient, à ses champs,
Très contente.
Paye non vingt mille dollars,
Afin de recevoir
Cet asile pour l’histoire
Qui s’invente.
Esclavage
Le Canada
(Merde dedans)
Bat, cependant,
Ses blanches gens.
Car veut aider
Aux bangladais,
Sur nous merdait
Pour chaque idée.
Aux juges gentils,
Paye pour l’asile
Cinquante mille
Dollars utiles.
Les yeux avares
Tuent vos vieillards
Pauvres et rares
Pour leurs standards.
Que chaque enfant
Quitte ses parents,
Où tout se vend
Par l’ère d’argent.
L’être humain
Perd ses chemins,
Car baise les mains
De ses doyens.
Pire pays
Le Canada est pauvre,
Où l’art a quel destin?!
Consacre toutes ses oeuvres
Aux ordres canadiens.
Tu gagnes un peu pour l’Être,
Portant ses publies-sacs.
Mais frappe à chaque fenêtre,
Réclame, au bord des lacs.
Que, chaque hiver, l’homme tombe
Dans l’escalier en rue,
Sa vie en glace, comme l’ombre,
Sans pieds est disparue.
L’abîme des résidences
Formule vos gens misères.
Ces mêmes foyers commencent
À rappeler l’enfer.
Tes rêves sont impossibles
Aux infinis villages,
Car toutes leurs villes horribles
En boîte n’ont nul visage.
En mille neuf cents vingt quatre,
L’âme riche les a construits,
L’on justifie ce ladre
Alors et aujourd’hui!
Beaucoup de kilomètres,
Il n’y a que ses prisons
Afin de reconnaître
Leurs murs par les maisons.
Les ouvriers du peuple
Préparent la fin d’Hitler
Conservent son gris meuble
Acheté avant sa guerre.
La force incroyable
Invite ses immigrants.
Car vos esclaves de diable,
Travaillent pour le tyran.
Il n’y a que leur mensonge:
«Richesse des froids états»,
Que nos stupides prolongent
L’histoire du Canada.
Íleos, íleos, íleos,
gkhenú imín o pánton anekhómenos
ke pántas ekdekhómenos.
(Bienheureux, bienheureux, bienheureux,
Que sois-tu, céleste, notre observateur
Sortant de tout, cher concepteur. )
(Roman le Mélode)
(Milieu du VIe siècle après Christ)
Au coucher du soleil de l’époque
Constantinople mort sous vos croisades pendant sept jours en feu.
Mais l’empereur traditeur rend son prêt. Sa disgrâce est bien mieux?
Cessent d’exister les statues en Byzance, sur trois Forums… Dieu,
L’âme catholique soutient ce péché. Elle attend l’aide des fous cieux.
Ses chevaliers blancs découpent, en morceaux, les sculptures d’or... Fracassent
Les murs des temples, arnaquent leurs icônes pour telles pires populaces!
Volent cette richesse infinie des hautes tours historiques sur les places
Pour enfoncer l’aiguillon au cerveau qui, aux sauvageries, les menace,
Où leur armée possédait ce César Ville qui est nu pendant:
Un siècle dur et demi… Elle rappelle ses derniers huit cents ans,
Lorsque l’Empire Byzantine ressemblait l’enfer aux musulmans.
Et au quinzième centenaire après Christ, l’islam vainc ce pays grand.
Leurs courtisans ont traîné sa Puissance aux troubles bizarres.
Ses minarets s’opposent aux acropoles… Thaumaturges, dîtes rare:
Contre ou pour beaucoup d’iconoclastes donnent leurs grecs avares
Qui n’ont pas crainte d’orient? Mon État croit aux rois montagnards.
Et au Troisième autre Rome, son Kremlin descend par cette Byzance,
Où le trésor s’est perdu dans ce char de ses Guerres à nulle chance
Vers Istanbul a foncé le sultan! Sois, Moscou,ton cadeau aux influences
Non de la Chine! Chère Russie, réveille-toi, prison des Renaissances
Et pauvreté de tes Astres. Leurs aubes ou leurs soirs créent ta fable?!
Notre Hellade ne restituera pas son miracle en sable.
Mais sous sa peur, ta mémoire étincèle au bonheur d’espoir stable
Au Paradis des visages, où s’élance chaque russe véritable.
Quoi au lieu de l’Ordre Dieu naturel?
Des juifs chrétiens et musulmans,
Dieu est ce rien. Son cosme géant
L’a opposé aux cultes dans
Nos expressions des Dons croyants.
L’idole dirige seul votre frère
Vrai pur. Menace du drôle enfer
Que nous croyons à ses chimères
Qu’on a créé tous l’Univers
«Il y a six mille d’années» au «bieN»
Pendant six jours… L’a fait sa main:
Son Globe Terrestre du gredin
Qu’elle cassera le monde sien
Statique et blanc comme un cristal.
L’esprit l’a dans son piédestal,
Où chaque samedi il dort: pas mal
Et trompe sans pudeur morale
Qu’aux fils cosmiques donne l’ours en chaînes.
Il veut que nos raisons s’éteignent.
Qu’avec «dieu» soit Soumis, enseigne:
«Fermons l’Entré d’ailleurs sans peine!»
Envoie l’œil noir aux créations
Des autres civilisations
Qui lisent: quoi songent?.. Vibration
D’aire, ton accent tire l’agression
Par toutes nos religions. Il ment
Qu’il a sculpté cette Terre avant
Vos jaunes Étoiles «creuses» sous son vent:
Pour endormir sur l’un «divan»?
À ses esclaves, il persuadait
Que ce mensonge peut aider
Après leurs morts, soit abordée
Sa foi qu’elle aille contre l’idée.
Ce n'est pas Dieu. Cet égrégore
Se cache de nos mesures d’abord.
Son pus ne mange que quels corps?
L’attend le châtiment d’un sort:
Comme au «Cinquième (vif) élément»
L’île, qui s’explose, dépend du temps.
Aux punitions tragiques, ses camps
Se perdent à leurs bulles des gammes.
Il est soufi que sa faiblesse
Brisait nos obtentions qui pressent
Son incendie par sa vitesse
D’évolution sans nulle tristesse,
Où l’égrégore ment que cette guerre
Attache vos pauvres à ta terre
Très radioactive avec l’hiver
Pendant l’époque sans atmosphère.
Mais Dieu réel, aux arts humains,
Découvre l’Infinie, amène
Ses âmes parfaites à Ce destin,
Sans cultes de l’autre chemin.
Et le trompeur d’exil, la bête
Essaie d’influer sur les planètes,
A réfugié des Trous Noirs Faîtes,
De Dieu. Toujours rêve des conquêtes.
Au temps, est né de la poussière
Astrale. Il rit sur ses frontières
Des siècles brefs, oblige l’aile fière
À s’incliner. Armée dernière
À ce menteur, l’abîme des mythes
Construit ses temples et ses gîtes
D’Égypte sous sept pyramides
Extraterrestres qui sont vides.
Ce Ra sait claire qu’il est mortel.
Éduque l’humanité fidèle.
Sans tradition devient sa grêle:
Hors sang et sans peurs éternelles.
Pendant millions d’années, les morts
Accomplissaient les hommes sans corps
Vers Absolu, cet égrégore
Ne nous criait jamais: «Non!», fort.
Neutralité de sa matière,
Tu as ta construction… Aux sphères,
La brèche de nos valeurs transfère
Tes changements: aux questions-ères
Qui sont finies dans leur physique.
En Dieu est sa longueur unique
Sans fin... Infinité pratique
Tous nos cadastres galactiques,
Où leurs futurs passés présents
S’unissent par Sa Fusion de rangs.
Tout d’Univers est, cependant,
Parfait en Dieu à tous ses champs.
Dans l’un point sont toutes les espaces
Comme l’un se trouve sur toutes les places
Cosmiques. Encore, Dieu les embrasse
Par soi à ses versions des masses.
Le mot limite ta bouche: «Mille a… »
Des verbes qui se gagnent. Voilà,
La goule rompait leurs buts par là:
Quelle tromperie du mal (!) parla:
«Ce Fond Terrestre de l’idole,
Le puceron de l’Astre colle
Non raisonnable aux PAROLES
Sans sa télépathie du sol!»
L'essence gère LEURS relations,
Perd l’inutile opposition
Et ce CONFLIT, où nous fixions
L’absence des compréhensions.
Suffisamment intelligent,
L’on deviendra. Le mot des gens
S’oubliera. L’esclave urgent
Sera l’un télépathe sergent.
Le fleuve de ses pensées profond
Est délicat à l’abstraction,
Où sans langage brille sa vision
À ses lectures vîtes des notions!
Le nom «divin», toi, parasite,
Dise pour dormir samedi. L’orbite
Tourne au tour de nous. Gravite,
Boule invisible, satellite.
L'éther bestiole n’est pas Satan.
Son existence, en orient,
Est calculé par dix milles ans
Influe sur leurs affaires, souvent.
Dieu nous jugeait pour nos actions.
Avec leurs chutes joue l’extension.
Au timbre, sa contradiction
A évité ses illusions.
Nous ment ta «vérité» binaire,
Touche ses croyances. Aux lumières,
Ni dieu, ni diable Lucifer,
Cet égrégore est par Homère,
A su dompter ses juifs rabbins,
Casse leur passé pré-égyptien,
Unit l’islam et les chrétiens:
L’Asie avec l’Europe sans bains.
Depuis ses «six époques» «créait»
L’odieux aux livres, à leurs prêts…
Au «jour septime» s’endort après
Ses duperies, fatigue… Duraient
Ses fraudes alors. S’appelle Adam
Vers l’aube des MENTERIES infâmes.
Sous Absolu réel, l’entame
Des Hontes purifie les âmes.
Il y a nos treize milliards d’années,
Dieu a formé Cette corde née.
L’enfer l’avait discriminé,
A élargi l’instantanée,
L’une milliardième. Dieu l’a sauvée.
Le diable crie: «L’annule! Je vais
Détruire partout!» Dieu l’entravait
De chaque nouveau présent gravé.
Quelqu’un vivait au loin Futur,
Lui rejetait son haute culture
Et au Moyen Âge renaît l’or dur,
Où décapite son aventure.
Plus tôt s’aggrave en quatre mille.
Après sa mort, l’erreur le pille.
La vie prochaine griffe ses périls
Par l’un croisade tué inutile.
Avec un musulman s’endort.
Jérusalem enterre deux torts.
Au Paradis, ils montent hors
L’espace, où tous s’approchent du bord
De notre Purgatoire salut
Des fous, aspirent vers Absolu.
Illimité t’a résolu
L’incohérence vermoulue.
Qu’au vingt unième preux siècle aillent
Ses nourrissons qu’ils se réveillent
Pour ne pas faire leur mal pareil
Qu’ils l’oubliaient au pire sommeil.
Lors l’homme rencontre son décès.
Mais l’égrégore va les lasser.
Seul l’un feu ouvre nos accès
À Dieu pour tout notre passé.
(11 - 12) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre
Sur toutes nos galeries, a plané leur palais.
Sous un dôme invisible, cette ville
Chatoyait pour l’élite du diadème et volait
Par l’humaine réсompense civile.
Vives pour ses supérieurs au jardin édénique!
L’escalier d’or du lieu fabuleux
Monte à son château sur le nuage fantastique
Au dessus des tours miraculeux.
Les pierres très lumineuses se rappellent aux forêts
Sur nombreuses places en marbre le jour,
Où les ponts mosaïques se perdaient en soirée
Et pendaient au dessus de l’eau pure.
La piscine manifeste le fond du diamant.
Sur ses deux mille mesures en marnière
Du Forum sous-marin qui sépare nos feux péans.
La surface aquatique coupe deux sphères.
Le coussin d'air semblait argenté. De ce voile,
Grandissait le sanctuaire actuel!
Une idée d'Atlantide scintillait comme l’étoile,
Regardait de la mer au bleu ciel.
Les trois âmes ondes ouvrent l’un bût Paradis!
Comme il y a leurs cent siècles.., prévu
A été ce futur des atlantes maudits
Dessiné au passé en revue.
L’arc-en-ciel lumineux a frappé les entrés…
Sous la danse des muets hologrammes,
Où sont dure obscurées plusieurs arches carrées,
Lorsqu’aux pieds sont tombés nos mutants.
Alors qu'ils conquéraient la planète de ses glaces,
Ils n’ont pas distingué les paroles.
Entre des animaux, l’esclavage de leur classe
Apprenait à trouver l’autre rôle.
Trois savants volent sans bruit dans l’une boule translucide.
Les mémoires s’étonnaient des beaux styles.
Le voyage au miracle prépare leur visite
Au Conseil du Suprême Don hostile.
À ses intelligences, se donnent les couleurs
De l’une des Escaliers d’Univers…
Du château s’approchent trois hommes. Pendant cette même heure,
Les attend le chef de toute cette Terre.
Entrent dans ce palais, à travers tous les murs,
En bateau elliptique… Toutefois
Par les branches des vîtes galaxies en structures,
Pour sept ans l’on élue l’Un des rois.
De ses Astres, ce Cercle dirige l’atmosphère
Et reflète ce plus Fort par l’espace.
L’on lui rétribuera là pour toutes ses affaires,
L’âme a crainte d'aller sous sa crasse,
A varié l’apparence de tous trois côtés.
Au ton rouge, sa lumière brille égale:
Au trône en pierreries, à sa difficulté,
Au symbole du Concept intégral.
Sur lequel devant eux, l’Homme Haut a comparu.
Son plancher a construit trois fauteuils.
Par le cosme, la salle a montré toutes les rues
Des conflits tristes au troisième oeil.
Le savant essentiel a pensé: «Roi, ta clé
Permettra de défendre nos gens.
Au Cerveau sans péché, ses rayons doivent rouler
Pour noyer Sa faiblesse dans l’océan.»
Sur des vies antérieures, sous leurs siècles glissait
Plus Puissant. Il prévoit les erreurs
Des trois braves que les aide l’expérience laissée,
Son épître s’adresse à la peur.
(22 - 23) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre
Mars attendait la peine pour son haut intellect
De sa vie tuée là, sous son horion.
À l’écart des époques, leur sacrifice abject
Reflétait l’explosion de Phaéton.
Les martiens hexapodes possédaient leur cerveau
Raisonnable cadeau d’atmosphère,
La planète rouge cache les pyramides, ses caveaux
Ont prévu ce décès en enfer.
Ils avaient quitté Mars avant un coup du météore
À l’année du réveil des volcans.
Sont parti au noir cosme, qu’il les améliore
Tous... et nous crée ses intelligents.
La vie priait Phaéton de ne pas s’exploser
Qu’au futur ne s’engendre pas l’homme
Que ses soixante cinq millions d’année proposées
Aient tenu Mars vif aux astronomes.
Qui aura la conscience de Terre?... Le savait
Mars, donne ce visage au troglodyte.
Entre les roches, ses ouvriers l’ont gravé
À ses extra-martiennes proches visites.
Mais la mort de Phaéton a choisi notre gens
Et elle a abordé ce ciel chaud.
Les tombées des Bolides ont drainé chaque océan
De tout Mars qui rappelle un Cachot.
Ils dirigent et maudissent notre âme par nul coeur
À l’égal des aveugles «amis».
De ce temps, conduisent à Jupiter, tirent nos fleurs.
À son onde sOmmes nous soumis.
Les atlantes, partielles raisonnables et fières,
Enseignaient les mutants sans dure paix.
Seul Saturne Patrie trouve l’abîme des affaires
Aux têtes pour y développer.
Deux flux des électrons, le jeu des hexapodes
Détestait notre gens. Nos avers
Sont, pour eux, sans visages, alors que les périodes
De nos vies passent courts et non divers.
Les martiens descendants enlevaient, sans clarté,
L’homme du singe sauvage sans prière:
Pour faire nous, où Dieu veut sa même neutralité
De deux signes aux limites en matière.
Les insectes de Mars envoyaient plusieurs mers
Des mauvaises particules à nos seines.
À tes fentes étroites, coulent les fleuves des enfers.
Qu’en bateau sa raison sûre s’éteigne.
L'ordre filtre ce sort par le fond et réveille
L’or partout. L’on n’avait aucun choix.
Lors, l’écran protecteur débarrasse du sommeil.
L’autre monde l’Attend la claire Foi.
Par son âme, Phir survole vers Aüm cette nuit lente,
Au dessus de l’océan au palais.
À la vie sans ce mal n’était pas prêt Atlante.
Dans ses mains, Phir ne prend pas sa clé.
Les mutants ne comprennent nul de leurs livres lus.
Donc, la barbe d’Aguive n’est pas Dieu!
Quel cerveau primitif blasphémait Absolu
Par le culte sauvage très odieux!
Qui, il y quelque temps, est sorti des cavernes,
En voyage à Vénus exclamait:
«Mon misère feu de champ et son dieu en caserne
Ne seront plus, de moi, honorés!
Je pensais que ce cosme est bleu, c’est son brai!
Ses péchés règnent sur tout l’Univers.
Il est froid au pire loup en esprit noir! C’est vrai,
Où l’espace s’élargit par l'«hiver».
(24 - 25) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre
Deux flous mythes moins sauvages soulevaint leurs tribus,
L’écrêtage de l’un doigt se remplace
Par l’une circoncision. Sans croyance, ce but
Chasse à l’autre géhenne sur cette glace.
Ses souffrances charbonnent l’âme. Car par la pensée,
Les insectes envoient leurs décrets:
Vers l’homme non raisonnable qui n’a nul passé.
L’abstraction ne gagnait rien doré.
Pour la faute, leurs navires battent ces mêmes hexapodes
En seconde par l'une mille d'idées
Que, pendant plusieurs ères, les gens aient leurs périodes
Des détentes que Dieu les aidait.
Aüm a calculé ses codes de l’influence
Sur l’échec et sur tous vos chagrins.
En cerveau, où est né ce bas tort? L’expérience
A quelle source qui fait l’homme au Bien?
Les martiens réfugiés provoquaient ses faiblisses
Que, sans culte, l’homme n’aiе que l’enfer.
Son panneau de commande se rompe et laisse
Nos lectures des secrets à sa Terre.
Les hommes et les atlantes doivent se séparer,
Nous deuxièmes volerons libres loin.
Car l’unique fort cerveau serons nous amarrés
Vers Titan avant un lourd chemin.
Ce sommeil quitte Aüm. D’invisible augure
Ne peut pas éviter notre perte,
Ne sait pas quelle loi d’autre l’aura сe futur?
Ouvrira le fou cosme d’alerte.
L’aube réveille celui. Le plancher pellucide
Montre que le soleil dore l’océan
Et inspire que prévoient des consciences lucides:
Périra noyé son continent.
Au circuit, l’espace ouvre ce sens maximal
À ses chaînes des cellules, aux beaux temps.
Aux constances d’instant, la lumière va égale
À tous quatre côtés de sa rame.
Ses wagons courent sur une construction matérielle.
Ils restaient au passé. Et toujours,
Leurs visions glissent sur l’arme conscience partielle
Aux adieux avec un ordre pour
Ses schémas reflétés. L’offre change ce mur
Au recours de son ambassadeur.
Ce Conseil Supérieur n’a pas peur des courbures
Et incline l’incident en couleurs:
«Élu est décédé. Mais l’on décidera
En valeur de vos muets hologrammes.
De nos chutes synchrones, tombe plus vite ce même drap
Afin de compliquer l’humain drame. ..»
Aux voix d’apesanteur, se figent les ombres corps.
Dans la sale recèle la literie.
Du plancher transparent voit la mer. Son trésor
Du trille interstellaire s’est chéri.
Sur les yeux disparaît le plafond elliptique.
La mémoire du pouvoir a fondé
Sa lumière concentrée. L’attention la critique
Et elle libre, du mal, l'île vidée:
Nous sommes sur quel rameau des jonctions d’Univers!
Nous fusionnent ses parfaits trous cerveaux
Que flottent toutes nos notions, l’une à l’autre sans guerres
D’abstraction au dessus du rideau.
L’on s’écarte, regarde sur l’un en arrière
Le tableau illumine son édit:
Par Aüm, deux machines abaissent l’ancre solaire,
Débarrasse l’intellect du conflit.
(29 - 30) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre:
De la création de l’Univers
Hors nos temps, Tout de Dieu et l'enfer enchaîné
Y dormaient par dix-sept dimensions.
Lors la séparation a chassé leur but né
Pour produire la fin à l’explosion.
Tout ce monde naîtra moins que son Positron,
Où alors qu’il n’y avait nul malheur,
Dans un point, tous nos lieux sans concept d’autre «NON»
S’illustraient magnifiques ou meilleures.
Par les rythmes de l’infinité, chaque ficelle
Supérieure et égale collectait
Toutes ses formes sans fond et n’avait nulle partielle
Difficile à travers l’Unité.
Sa Puissance pouvait unifier tous les signes.
Dont, la couple du pas sans clarté
A jeté l’ombre charge hors chances divines:
Trois temps pour leur diversité,
Il n’est pas paradis infini de matière.
L’être rapidité dépassait
La lumière quatre fois, où grandit l’Univers,
Le présent rappelait son passé.
Un million deux cents mils en seconde, vitesse,
Tu as fait élargir l’extension,
Où ses points opposés s’approchent qu’ils disparaissent
À travers leurs annihilations.
Là se sont dissociés des pouvoirs primordiaux
Qui conduisent à la lutte cependant.
Sans divine harmonie, quittent leurs dons initiaux.
Par les larmes, séparent ses océans.
Toutes nos forces amènent à la source unique.
Microcosme d’abîme étendu,
Absolu a laissé l’île du filtre cosmique.
Au futur, l’inutile est fendu.
Dieu restait dans une seule milliardième de la masse
Explosée par le mal sous le temps.
S’élargie ce même cercle partout. Il nous chasse
Des morceaux qui construisent notre champ.
Mais la noire énergie a ouvert ses frontières
Qui conduisent à sa futilité,
Où les Trous Noires s’opposent aux places vides de l’enfer
Pour suspendre ce cosme voûté.
Chaque période de la vie éloignait nos grises morts
Des microns aux amas galactiques.
Les cadastres de branches dirigent leurs flux forts,
Et inventent une arme physique:
Les Neutrons lourds s'emboîtent à travers les Protons
Afin de formuler nous divers.
Entre nos centres et les orbites d’Électrons,
Les distances séparent l’Univers.
Entre les galaxies et dans tous les atomes
Par ce temps, la sphère creuse s'élargie.
Ses rapports trompent que pour leur offre nous sommes
Tout s’éloigne de cette noire énergie,
Où son feu qui embrasse le passage disparu,
Est vaincu à travers nos Trous Noirs,
Leur conscience invite toutes les âmes, où nos rues
Se souviennent par l’énorme mémoire.
Dans les Trous Noirs, il n’y a que des cordes sans fin,
Les images en raison de leurs notes.
Par nos treize dimensions s’ouvrent tous les chemins,
La lumière intérieure n’a nulle faute.
Contre les énergies noires, nous crée Absolu,
Sauve nos contradictions et remplace
Le passé restauré. Son futur est son glu
Entre tous nos objets en espace.
ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME
L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix-sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques des maux cosmiques au temps pour être vieux
Et l'on décède dans ce futur sans connexion des lieux.
Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront le sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par nos derniers rapports.
La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères
Nos évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.
Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l’ordre, la puissance
De leur donner l’union partielle
Avec ses mondes d’Absolu…
Années, quatorze milliards! Dans
L’une de ces sphères, aviez voulu
Dire l’infini à un mutant
De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l’ordre présent
Passé pour son prochain non lu.
Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum... L’enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d’années, aux chances:
Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
Où il n’existe pas danger de l'être qui menace
À l’harmonie, là-bas sa place domine surtout en face.
Alors dix-sept mesures plus dures ont figuré le fond
Plus grand que ce même univers dans son petit neutron…
Ses opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.
Milliard de fois, les quantités des forces dominaient
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l’énergie noire de nulle couche qui tente d’éloigner
Ses électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Les galaxies disparaîtront.
L’obscurité énorme
Fera éteindre nos étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l’abîme spatial
Qui nous approche des chutes,
Où nos gravitations grosses luttent
Que l’unité soit maximale.
Son signe «minus» casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l’un idéal
Que notre astre dorme
Des cinq milliards d’années au trône
De l’homme. Encore, comme l’orme,
Que se grandisse l’humaine personne.
Trois cercles des réincarnations et leurs trois dimensions
Par chaque étoile, continue toute notre vie inorganique
Des créations. Ces sont leurs raisons méta galactiques.
Pour l’intellect éternel, nous tient sa puissance physique
Contre la noire énergie sans visage, d’obscur mal statique.
Par le destin aux élus se donne le pouvoir sur la Terre.
Crée ses ravages à travers l’argent de l’été à l’hiver.
Ses sacrifices sont nos chutes demain, aujourd’hui et hier.
L’empire n’aveugle pas l’un et invite l’autre à l’enfer.
Un homme meurt par Mozart. Où il est sa diversité?
Là, son opposé porte le chagrin de Salieri, luttait
Dans sa prison de la rue. Mais la jalousie sans clarté
A maudit toute l’harmonie et sa propre génialité.
Trois cercles sont. Le premier de mères détermine ses entrailles.
Dieu veut choisir: à quel siècle naisse l’âme, où elle se réveille
Que l’embryon passe toutes leurs hypostases dans son divin sommeil
Pour être le créateur de l’art et non son ombre vieille.
Le tour suivant fait devenir vieux, oblige à décéder,
À son troisième monde voler à travers l’éternité.
Son Paradis nous débarrasse des cultes, pour l’unité
Avec Dieu de tout. Dans l’escalier, vers Absolu montez.
Éuterpé cóhibét // néc Polý-hýmniá
Lésborúm réfugít // ténderé bárbitón;
quód si mé lýricís// vátibús ínserés,
súblimí fériám // síderá vérticé.
Euterpe, sois résonnée pour moi que Polhymnie
Veuille donner l’harmonie de sa lyre à Lesbos.
Tu m'admets le poète plus fameux de lyrique,
Mon front très orgueilleux touchera ce ciel feu.
(Quinte Horace Flacce, fin de l’«Ode à Mécène».)
/20 avant Jésus Christ/
(Traduction française d’Alexander Kiriyatskiy)
Poétique des promotions d’infirmité
Des graphomanes qui ont douté
Du vingt et unième siècle mal heurté
Sans rime, l’un culte des strophes tient
L’absurde… Merde sur ta main…
Avec tes selles, son trou va bien.
Les jette vers le plafond, gardien
Des blancs «poèmes», tes mots sont morts,
Essaie de vaincre leur rapport.
Coupe toutes les rimes par ce couteau,
Tire tes prépuces rosses de nos peaux.
En Amérique, ces «glands» sont gros,
Ouverts toujours pour orientaux.
Sous cette musique, hurle trois notes,
Chante ta gorge râle d’idiote.
Nous tuions l’union des lignes d’ouvrage.
En bas, les gens ont l’un visage,
Car nos gredins cultivent l’image
Qui castre notre héritage
D’Horace, sa poésie jetée
Laisse, à New-York, sa dignité.
* * *
Donc, d’un million d'années, a survécu le troglodyte.
Par la nature d’atrocité, dort son esprit d’hybride.
Et en Egypte, les esclaves construisent leurs pyramides,
Pendant ses guerres, le grec pleure aux théâtres des morts vîtes.
Nos religions affirment que l’âme tombe en enfer,
Car elle est née avant les vies de nos prophètes divers,
Il y a beaucoup de temps avant la foi de notre frère.
Nos rois cachent la pitié à tous: limpides des autres ères.
Les muses et leurs génies étaient choisis par Absolu
Leurs points de vue sont vifs toujours. Ils n’ont pas lu
Deux Testaments et le Coran. Aux cultes n’a pas plu
Ce Paradis de Dieu hors traditions et sans leur glu.
Confronte Colomban de leur Luxeuil et l’homme sauvage.
Ne juges jamais des concubines d’Iran pour leur Moyen Âge,
Toutes nos Croyances nous amènent au ciel de leurs filages
Afin de surpasser par chaque idée pour l’être sage.
Vers l’acte sans violence des bienfaits, l’ordre est bon
Qui ne devient jamais plus cher que toutes les vies qui font
Voir Dieu non pour telle révérence, expliquait Platon:
Par le tourment s’excuse la faute pour sa compréhension.
Depuis l’enfance nous croyons en Dieu traditionnel.
À cette sauvagerie, l’obscurité devient fidèle,
Car elle n’a pas senti l’erreur des livres immortels.
Dans l’autre civilisation, l’âme renaîtra sans fiel.
Aux cosme raisonnable, non à seule l’humanité
Décent ce Don pour naître, vivre et se refléter
Dans l’Univers comme ses cellules afin de l’accepter
Au Créateur des mondes, au Paradis Beauté.
2.23 Palais, oyaseau, par oyaseau deschassé,
Bien tost après le prince parvenu:
Combien qu'hors fleuve ennemi repoussé
Dehors saisi trait d'oyaseau soutenu.
(2.23 Au palais, se remplace l'oiseau déchassé,
Tard, bientôt combien d’eau, le prince est parvenu?
En dehors des fleuves, l’ennemi s'est stressé,
Car le trait de l'oiseau est saisi et soutenu.)
(Nostradamus 1555)
Modifie le Globe Terrestre,
Chère machine du temps, orchestre
Par le vingt troisième
Siècle, sa vitesse énorme
Change et explose les formes
Tous deviennent leurs crèmes.
Au passé, l’action stupide
Bat la vie! Par celle si vide,
L’autre prévision
A quel but? L’espace amène
Aux questions: «Aux âmes humaines,
Dieu donne le grand trône.
Dieu est en dehors des ordres
Du présent. Le temps peut mordre
Les imperfections.
L’homme n’était jamais l’image
D’Absolu. Rompt son voyage,
Toutes ses illusions.
À l’ère chaude Mésozoïque,
L’homme est dans sa fantastique
Digne machine du temps.
Pour manger, tue une mouffette.
Celle-ci ne donne pas ses bêtes
Pour remplir les champs.
Le futur ira par l’autre
Route qui ne sera plus notre
Règne des mammifères.
Les reptiles mangèrent l’ancêtre
Des souris pour ne pas être
L’homme sur notre Terre
Au cerveau des raisonnables,
Que l’oiseau fasse sa plus stable
Civilisation,
Sous le bec est la poitrine,
Leurs croyances sont divines,
Veulent dire à l’homme: «Non!»
Le destin de la nature
Des oiseaux crée sa peinture.
Leur bouche c'est leur bec.
Car l’époque des dinosaures
Ferme nos voyages sans heures
Que mon sang soit sec.
Au passé, notre mesure
Du temps ouvre nos blessures,
Dieu corrige l’histoire,
Cache nos dangereux ouvrages,
Ne laisse pas à l’équipage
De faire ce cauchemar.
2.28 Le penultièsme du surnom du prophète
Prendra Diane pour son jour et repos:
Loing vaguera par frénétique tête,
Et délivrant un grand peuple d'impôs.
(2.28 Le pénultième surnom du prophète
Prendra Diane pour son jour de repos:
Et loin voguera par la frénétique tête,
En délivrant un grand peuple de l’impôt.)
(Nostradamus 1555)
Chaque vingt cinq siècles, Dieu crée, // tourne la Drachme en route,
Son invisible moteur // de nos esprits, trouve l'union
Par les niveaux des étoiles… // L’innovation nous écoute,
Celle-ci reflète tous les temps // pour l’infinie rotation.
La subconscience de l’homme // prend les idées de sagesse,
Fait diriger la planète, // par seules les femmes en raison
Qui sauvent la télépathie,// l’ordre des enchanteresses,
Coulent la lumière de la lune // plaine, à la méditation.
Le troisième œil de Dhyâna // donne la frontière, par sa ride,
Entre deux indépendants // de nos conflits… En sanskrit,
La prophétesse l’a prévu // dans les douleurs d’Atlantide.
Pour le futur de nos races, // sa prophétie est décrite.
Nos malheureuses âmes en feu // quittent, en futur, notre Terre,
Nostradamus nous conduit // par les antiques souvenirs.
Et quel destin nous attend? // L’œil de Dhyâna doit se taire,
Dont je démêle son mystère // qu’il ne faut pas revenir.
Sans mal, l’un est l’animal, // l’autre nettoie sa conscience.
Mais tous savent lire les pensées // de tout le monde partout.
Qui a des ailes, perd ses pieds // par leur belle indépendance
Pour séparer ceux tombés // et ceux qui ont le bien doux.
2.41 La grand' éstoille sept jours brûslera,
Nuée fera deux soleils apparoir:
Le gros mastin toute nuit hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.
(2.41 Pendant sept jours, la grande étoile brûlera,
Car son nuage obligera deux soleils à apparaître
Toutes les nuits, le gros chien hurlera,
Le grand pontife changera la terre pour naître)
(Nostradamus 1555)
La flamme orageuse des comètes brûlera l’atmosphère,
Les villes tomberont, l’homme habitera sous leur terre.
En raison de l’air chaud, un chien hurlera sous les murs.
Leurs grottes sauveront la vie à travers les sous-sols obscurs.
L’attaque des météores ouvrira leur nouveau siècle dur,
Alors que deux soleils couvriront l’enfer par nos blessures.
Les individus choisiront les élites en mystère
Avec un prophète pour sauver, par nos âmes, leur lumière.
Titan de Saturne deviendra le but des navires
Spatiaux, ses robots tenteront de construire
L’énorme station pour faire là, par le méthane, l’oxygène.
Mais la coupole ne défendra plus nos maisons humaines.
Et l’être devra habiter dans leurs villes souterraines,
Où, comme le loup, criera un chien sous les antennes
Sans vie. Son urne paraitra une prison pour souffrir.
Nos rêves ne seront que le ciel, comme le cosmos de Sir.
2.62 Mabus (1) puis tost alors mourra, viendra, 1 (en miroir - sudaM)
De gens et beste une horrible défete
Puis tout à coup la vengeance on verra,
Cent, main, soit, faim, quand courra la comète.
(2.62 Alors que Saddam mourra plus tôt, viendra
Une défaite horrible des gens et des bêtes:
Puis, tout à coup, la vengeance, on verra,
Que cent mains aient faim, lorsque courra la comète.)
(Nostradamus 1555)
Nostredame décrit // l’aujourd’hui sévère,
Où ce siècle a // soif des autres guerres.
Dans les pays sauvages, // passe leur l’Âge de Pierre,
L’art de chimères.
L’occident a peur // de leur haine profonde.
Qui a faim d’argent, // unira ses ondes
Contre l’industrie // de nos vies secondes,
Par tout ce monde.
Manque l’or droit sur // leur reconnaissance,
Nulle consécration // des perdus sans chance
Idéalise Saddam // en l’Europe, en transe,
Sans indulgence.
Tous voient la raison // d’être, pour laquelle,
Son Coran formule // quelle croyance belle
De l’âme rejetée! // Naît tel vite modèle
Des morts fidèles!!!
Nos Diplômes d’Europe // nous annulent Leurs Titres,
Sont comme mes carnets // de libre arbitre,
Leur mafia oblige // à faire leurs pupitres,
Rompt sous ses vitres.
Que nos Masters Deux // de toutes vos Sorbonne
Distribuent, partout, // les réclames mignonnes
Sous la pluie sans fin, // l’esclavage pomponne
Quelles richesses bonnes!
Et nos professeurs // portent la réclame,
Ne sont pas entrés // dans le gris programme
Des États Unis. // Qui oublie leurs drames,
Aide à Saddam, et
Coule les lacs salés // très froids dans nos bottes,
Lorsque je me traîne, // où les buts pilotent.
Mon corps se mouille pour // la réclame idiote:
«Goût de biscottes».
De l’aube à la nuit // doit tomber l’averse.
Mais la Vie trempée // se vend aux commerces,
Où nos larmes chaudes // ont leurs causes diverses,
Aux vents se versent.
Les douleurs s’abaissent. // Sur ses pierres dures,
Tu ne chemines plus... // Tirent plusieurs piqûres.
Aux gazons, l’on voit // l’herbe douce. Ses cures
Sont moins obscures.
Devenons misères! // Les revues pesantes,
Dans les «publie-sacs» // noirs nous alimentent,
L'escalier amène // aux Riches qui nous mentent,
Montrent leurs plantes.
Sous Leur pOrte est // une chaise en plastique,
Ce miracle jette // le plaisir cosmique
Aux esclaves mouillés… // Le chauffeur panique:
«Levez vos cliques!»
Donne nos yeux aux pieds! // Nos passions reviennent.
Deux genoux calculent // chaque coup de mes veines.
Apparaît Saddam, // où retiennent leurs chaînes,
Sonnent nos sirènes.
Nostradame prédit // les effervescences
Du temps relatif. // L’homme sans expérience
Ne doit pas savoir // toutes ses providences
Comme leur absence.
2. 75 La voix ouye de l'impolit oyseau
Sur le canon de respiral éstage
Si haut viendra du froment le boisseau,
Que l'homme d'homme sera Antropophage.
(2. 75 Entend la voix de l’impoli oiseau
Sur le canon, où respire chaque étage:
Car le froment haut viendra du boisseau,
L'homme mangera l'homme en Anthropophage.)
(Nostradamus 1555)
La forêt infinie voit le champ de froment,
Le bonheur du miracle en rage,
La couleur des épis vous éduque un enfant
Qui respire, dans le ciel, par chaque âge.
Les tentures transformèrent son plancher de l’enfance,
Dans l’image du jaune adolescent,
Son chemin s’attira, par sa reconnaissance,
À l’heure de l’espionnage et descend
Au jeune homme qui écoute ses chanteurs populaires.
Dans chaque mal, dort l’abîme des ordures.
Mais l’absence de Muse a les voix de chimère,
Se soulève par plusieurs aventures.
Par dessus des fenêtres volaient les corbeaux,
Sur l’appui s’est assis l’un des freux.
Celui-ci interdit de donner un verre d’eau
Aux derniers, qu’ils soient morts malheureux.
Au Monarque au trône toute la Terre se soumet,
Tous les autres hommes sont les zéros.
Sans lumière, sa couronne saura être charmée
À travers nombreux ordres très gros.
Il prendra le pouvoir sur beaucoup de pays
Dans nos ans liés à la liberté,
Brûlera ses amis à l’époque de leur nuit,
Notre être devra s’abonder.
2.81 Par feu du ciel la cité presque aduste,
L'urne menace encore Ceucalion,
Vixée Sardaigna par la Punique fuste,
Après que Libra prend son Phaëton.
(2.81 Par le feu du ciel, la cité se brûle, car saigne
L'urne qui menace, encore, Deucalion,
Par sa Punique des Vaisseaux, est en Sardaigne,
Plus tard, leur Balance prend son Phaéton.)
(Nostradamus 1555)
Mais trois mille ans passeront et sept cent quatre-vingt-dix sept
De la naissance de Christ, leurs météores brûleront la tête
De la plastique ville en gomme. Sa coupole, sous la Terre sans bête,
Ne défend plus du soleil mais chasse l’homme des sous-sols au front
Contre le fleuve en métal et à l’Ordre de Deucalion.
L’Art des croyances dira pourquoi s’est explosé Phaéton
Entre le Mars et le fluide Jupiter pour donner la chance
Aux mammifères de faire l’homme à la constellation Balance.
Notre élu montrera ses étoiles des Gémeaux, l’urgence
Aux raisonnables perdus leur patrie et leur rêve dernier
Qui attendra l’aide des constellations du Cancer, est lié
À l’illusion sur la Terre, car cette vie est trop éloignée.
L’air sans coupole rompue nous enverra les rayons des nuits,
Les mutations génétiques aimeront sa sociale hernie,
Refuseront le prophète au pouvoir du menteur fourni,
Et soutiendront leur tyran qui voudra voler au Saturne.
La Providence prédit le destin de son être diurne
Sur le Titan, où ce culte devra tomber dans son urne,
Lorsque la constellation de Balance brûlait le Phaéton pour nous,
Dieu a prévu que, parfois, l’homme devait être à genoux.
L’imperfection des pécheurs tomberait avec l’ordre mou,
Si nos stupides jetaient cette prophétie, par les animaux
Dans l’atmosphère du Saturne. La constellation Gémeaux,
Fait la lecture des pensées provoquer nombreuses guerres sans mot.
2. 91 Soleil levant un grand feu l'on verra
Bruit et clarté vers Aquilon tendant:
Dedans le rond mort et cris l'on orra
Par glaive, feu, faim, mort et attendant.
(2. 91 Le soleil qui lève un grand feu, l’on verra
Le bruit et la clarté vers Aquilon tendent:
Dans le rond mort et les cris l’on aura
Par leur glaive, feu, faim et mort ils attendent.)
(Nostradamus 1555)
Vers l’incendie dernier, les ventres
De nos vaisseaux cosmiques veulent prendre
Nos plantes et nos animaux.
L’invite Saturne au Titan,
Fait une station, car sait comprendre
L’homme qui décrit, par les forts mots,
Qu’il a sauvé tous les rameaux
De notre vie chère qui l’attend.
La Terre cache ses bateaux étant
Dans une trémie qui est l’armoire
Sous une montagne. Partout, sans gloire,
Sous ces feux morts il n’y a nul ciel.
Sa lave détruit l’esprit rompu.
Mais nous supprime toutes les mémoires.
L’espoir, comme le passé partiel,
S’oublie sous notre poids mutuel.
Mais les cerveaux perdirent leurs rues
Derrière nos dos. Le mal a pu
Dicter le culte d’une personne.
Et sa télépathie couronne
Le règne qui semble absolu.
Dans ces vaisseaux, leurs gens quittaient
La Terre brûlée. Et par le trône,
Toutes les pensées humaines sont lues
Et la fusée vole dans leur flux!
Mais, à genoux, l’humanité
Aveugle ne peut plus goûter
Notre beauté d’indépendance.
Il est Dieu, notre Providence.
L’homme imparfait endure son tort
Du temps bref de la dictature.
Mais le Titan cesse son échéance.
Ce grand voyage finit, la mort
Arrive au dictateur, son corps
Descend dans l’atmosphère du pur
Géant Saturne en dehors
De leurs souffrances, hors des murs.
2. 95 Les lieux peuplez seront inhabitables,
Pour chans avoir grande division:
Règnes livrez à prudens incapables,
Lors les grands frères mort et dissention.
(2. 95 Les lieux peuplés seront inhabitables,
Pour chanter leur grande division:
Livre les Règnes aux prudences incapables,
Mort des grands frères par la dissension.)
(Nostradamus 1555)
L’âme de vie prolonge l’être, fait changer l’air d’atmosphère
Du Titan… Saturne crée l’homme qui a laissé la Terre!
Les nouveaux concepts nous montrent la station particulière,
Où dans le passé, sans diable les Atlantes s’en sauvèrent.
Le cerveau de cette planète envoie vite, aux cellules en fluide,
La mémoire et la conscience du dernier prophète… Nous guide
Vers l’ère qui nous débarrasse de chaque émotion hybride
D’animal. Sans mal, nos sciences des hommes et nos arts sont vides.
Les individus s’unissent dans leur claire macro intellect
Qui n’a pas besoin des prix comme des punitions d’affect…
Sans raison, l’autre plupart a peur et veut tuer tous ses mecs
De la pure télépathie, prévision antique des grecs.
Et Saturne raisonnable, croit que son homme animal
Ne vit pas sans ennemi, car son but n’est pas sans mal.
Il prie Dieu que Jupiter ne nous ferme pas l’étoile,
Pour l’obscure Titan afin de nous voler, où Dieu dévoile.
Tous lisent les pensées des autres et transforment leur acteur
Dans ce sacrifice de torts responsable de l’erreur.
Dont ses funérailles déversent le pardon par les rêveurs
Qui brûlent le pouvoir du trône et cessent d’être les pécheurs.
Cette nouvelle lumière sépare dure les gens pures et leurs sauvages,
Que pendant certaines années, le Titan fasse le passage
Des hommes de conflits aux Êtres Raisonnables sans ombrage,
Aux constellations de l’autre galaxie, fixe leur voyage.
Les hommes modifient leur monde intérieur pour faire l’union,
L’harmonie prend l’Univers galactique dans les chaînons,
Absolu permet aux âmes de sentir les prévisions
Et sa providence brame que, de Dieu, nous l’obtenions.
Sur l’aiguille,
une famille dure brille
et le loup se grille
pour ses propres filles:
L’ordre des gens,
Est le vent.
L’œil du chasseur, fasse le grand
Assassinat en gardant
L’Être des morts utiles!
Quand les montagnes
Voient le temps
Qui tirent nos loups? Notre sang
Est sur leur neige reste. Et l’homme gagne
À tuer par ce gris style.
L’air laisse ma trace
Aux chiens grâce
À mon odeur… Que l’homme chasse
Sur moi, quitter cet espace
Dans l’âme sans corps débile.
L’hélicoptère
De chimères,
Me persécute sur ma terre!
Sauve tous nos fils en guerre
Du sacrifice, en fil!
Rapidité
Non voûtée,
Ne permet pas de noter
L’Être sans vie enchantée
Par ma famille sous l’île.
Dans le terrier,
Vous pourriez
Vivre cachés du mûrier,
Vous rappelez le dernier
De ce bonheur fragile.
Balle en fer digne,
M’assassine!
Pour le futur de vos mines
Trop nourrissantes sans vignes
Comme sans malheur en mille.
Que ma lignée
Des poignées,
Dans un printemps, soit régnée.
Mes louveteaux sont soignés
Par leurs enfants gentils.
Sur ce sommet
Animé
De nos montagnes abîmées,
Ne bravez pas d’en aimer
La jalousie hostile.
Pénal du mal
Qui a Fortune, ce feu d’amour,
Son bon est la bougie en jour…
En vain, nous attendons ta cour,…
Muse, tu nous donnes
Tes souches de Rome – en Grèce… Ton mur
Contre l’icône.
Tes reconnus rédigent: «Dormait
Mon chat aux pieds» et n’ont jamais
Écrit pendant leurs vies… Aimez
L’ordre en gloire.
Ce culte naît. Mais fait charmer
Nos goûts non rares.
Chaque tradition est l’intestin
Qui, comme son fleuve, boit les destins,
Mais bat, pour nos malheurs, ses chiens,
Mes strophes en fête.
Car ta reconnaissance tient
L’or de comète!
L’ivrogne ne veut jamais le thé.
Il interdit de répéter
L’art romantique de la beauté:
Tinte quel cuivre!
Lutte contre son éternité
Pour ne pas vivre.
Léon Trois coule ce sang. Byzance,
Tu tues nos frères par ta puissance,
Dont tu es contre la balance
Entre les peintres.
Gouvernement! repousse l’urgence,
L’arbre pour teindre.
Tes ennemis deviennent les gendres
De l’empereur qui perd ses tendres
Cortèges. Les Turques peuvent te rendre
Les dates précises?!
Partout, l’islam fera s’entendre
Dans tes églises.
Ce populaire te fait fermer
Chaque homme ouvert, il y a l’armée
Que nos consécrations brimées
Cachent l’aire absence
De sa «robe» bien illuminée
Par l’indulgence!
L’Aime chaque roi russe, caméléon,
Pour GorbatchOv, embrasse le trône,
Il y a le Règne, nous lui jetons
Quelles fleurs aux jambes!
Sans ce pouvoir, détruit son don,
Chasse de sa rampe.
Figure que Christ n’est pas comme Dieu,
Se bouche le nez, méprisent nos yeux:
Lisent chaque blessure dans ses cheveux.
Cette sueur répugne?
Son sang nous semble contagieux
Sous ses loques brunes.
L’esclave, battu par ses gardiens,
soulève deux planches grosses, en vain,
Crée sa nausée de voir leur bien.
Crève, tu nous guide
Cloué aux bois, as soif du grain
Dans nos cœurs vides.
Que Christ avale le fiel vinaigre,
Sa bouche brûlée t’approche du Maigre
Prophète Divin, sa mort intègre
L’être de frère:
En Absolu, pour son allègre
Fils sur la Terre.
Sur la Croix merde Ce Piteux,
Et sa puanteur nous sauve du feu,
Que sa Rome crie: «Ne touche pas mieux
L’Aile Croix, impie!»
Tels excusés deviennent quels preux
Par leur graphie.
Si l’on pensait encore comme hier:
«Christ ne sauve plUs l’âme de l’enfer!»
L’on enverrait à Dieu les vers
Plaints des offenses:
«Ta Croix-Peine est bonne en hiver
Sans tes défenses!!!»
Rappelle nos dissidents misères
Qui sont montés pendant la guerre
Froide, y lisaient en pires manières
Leurs chants aux bêtes.
Pour ce ventage, s’intitulèrent
Nos grands poètes.
Brille, en reconnaissance, l’orgueil
Qui n’était pas permis au seuil,
Car ne pouvait plus croire qu’on veuille
Voir ses poèmes
Laurés par la couronne des feuilles
Des Âmes Suprêmes.
Saut du vers nuage
Chaque ergot
Rompt les liages
De son gros
Esclavage,
Les cadeaux
Du courage
Vont au beau
Vers, Moyen Âge,
Ton grand mot
Trouve nos sages
Âmes… Il faut
Lire ses pages.
Nos oiseaux
Quittent leurs cages,
Nagent sur l’eau
Des images,
Pour nos dos,
Sans chômage.
DEUX VISAGES
Appréciez l’espoir du cœur
Et la rouge couleur des fleurs
Qui conduisent vers le bonheur
Par nos subconsciences,
Reflétez deux roses, penseur,
Et l'aire des Croyances.
L’Univers crée nos pensées,
Animez leurs rimes passées,
À l’humanité dansée
Donne l’abîme des chances,
Et l’histoire fait renforcer
Notre route immense.
Stábat máter dólorósa
Jacopóne da Tódi
Le statut de «réfugié»
Présuppose nos étrangers
Qui coupent leurs chrétiens âgés
Dans les guerres civiles.
Nos esclaves européens
S’abaissèrent aux gales de chiens,
Ils grattèrent la peau, pour rien,
Par cette vie tranquille.
L’on enchantera chaque mot
Des persécutés «normaux»
Qu’ils soient forts par quels trumeaux
Des beautés habiles!
Qui n’était jamais malade,
Lave vos culs pour tous ses grades,
Il n’est pas le camarade
Des stupides de Nil.
Seules ces bêtes reçoivent l’argent,
Comme vos supérieurs des gens,
Elles obtiennent l’or, en bougeant
Par leurs pipes si viles.
Camp de nos concentrations,
Tu as, pour une expression
De la civilisation,
Ton futur péril.
La raison s’est déchirée.
À genoux, l’âme perd son gré.
De l’asile, elle apparait
Comme un bon AcheteuR
De NombreuX JugeS qui t’ont dit
Que les cieux soient interdits,
Que vivent leurs drogués bandits
Comme leur Grand Voleur!
Car l’Europe est leur rencontre
Comme le cul qui nous démontre
Que ces vers seront gluants contre
L’ombre du bonheur.
La Russie les intitule
Ses Dieux, mais ceux-ci la brûlent
L’ordre bat, comme les crapules,
L’infinie douleur.
Les vieux sont dans le marasme,
L’on les lave par l’enthousiasme
Des savants russes, car l’orgasme
Pisse sur leurs MeilleurS.
Reconnus sont les tchétchènes
Qui voient, en Russie, l’arène
Des batailles, où nous amènent
Aux antiques vendeurs
Des esclaves… Les autres peuvent
Endormir parmi les fleuves
Dans la rue pour les épreuves
De vos Droits de l’Homme,
Où se cache la Cour énorme.
Sa réponse a telle forme:
Attendez-moi sous vos ormes,
Tous conduisent à Rome.
Votre illusion vient vide.
Sous celle, souffre l’invalide.
Par le front, il a quelles rides:
«L’âme n’est pas en gomme!»
Qui tuait tous ses fascistes,
Est, par cette Cour, dans la liste
Des tirants, comme l’extrémiste,
En enfer, nous sommes,
Murmurez par ses bleues lèvres:
«Ce vieux perd la vue, en fièvre
Pleure, en fou malade énerve,
Il cherchait sa pomme.»
Qui passait cette vie très pure,
N’est pas liée à la piqûre
Des drogués, car sa blessure
A plusieurs diplômes.
Mais vous plaisent seuls les mensonges,
Car, par eux, vos pouvoirs prolongent
À manipuler nos Songes,
L’Être à genoux.
Leurs robots règnent sur la France,
Car séparent, sans différence,
L’eau de leur Reconnaissance
Et la Mort pour nous.
L’Univers n’a rien et grève
Mais sa déception est brève,
Tous les êtres ont leur rêve,
La lumière des trous.
Dans l’obscurité sans chance,
Ce feu a la voix d’enfance,
Lorsque l’autre vie commence,
Dieu se trouve partout:
«Stábat máter dólorósa
Júxta crúcem lácrimósa»
Víta brévis ést, curiósa,
Práti frigidú
Mère, tu as la douloureuse
Larme, ta croix amoureuse,
Donne la vie brève et curieuse
Le vent froid est doux.
ESPOIR
Jam satis terris // nivis atque dirae
grandinis misit // Pater et rubente
dextera sacras // jaculatus arces
terruit Urbem,…
(Pour la terre en grêles, // neige, tu es funeste,
Zeus régnait longtemps, // par sa main ardente,
dont il fulgurait // l’aire des rues célestes,
aux sols, la crainte,…)
(Quinte Horace Flacce)
Mon espoir rappelle, // par la voix d'Horace,
Nicolas de Cues. // Sa richesse embrasse
La philosophie // médiévale. Quelle trace
C’est la lumière.
L'Aréopagite // voit le ciel. Sa terre
Le conduit vers Dieu // grâce à chaque prière
Qui unie les mots. // Et leur but commence
Notre silence.
A travers l'esprit, // se réveille quelle chance
D'élever mes yeux // vers leur expérience
Pour l'humanité. // «Docte Ignorance»,
M'ouvre l'audience
Du Beau Doctorat // à travers l'histoire.
Renaissance, tu // vas des hauts armoires,
Où je suis ravi // par les sages mémoires...
Oh Globe Terrestre,
Cesse de diriger // ce cosmos d'orchestre,
La médiocrité // n'a aucune palestre
De la même façon // dont n'a ni un centre
Ni tête, ni ventre.
C'est l'inquisition // qui a peur du chantre,
N'aime aucune beauté, // et promet mais ment_trop
Que tout l'Univers // est le sien qu’il entre
Dans l'être tendre.
HAUTE RECONNAISSANCE
Je vous désire le grand bonheur,
Je ne dois pas ouvrir mon cœur,
Mais je raconte mes douleurs
Pour votre terre.
La poésie contemporaine
N’aime pas les rimes, alors qu’elle règne
Car ses chanteurs heureux amènent
L’âme à la guerre
Avec les idéaux rompus,
Ma lettre a perdu leur but…
Auprès du mal, je n’ai rien pu
Savoir et faire.
L’on cracherait sur la beauté,
Si cette dernière avait goûtée
Mes coups par leur éternité.
Reconnaissance,
Tu es plus chère que les talents,
Sans toi, plus vite devient plus lent,
Son diable noir tue l’ange blanc,
Par ses puissances.
Il n’y a que seuls leurs gris menteurs,
L’art reconnu tient le moteur
De toute la vie, et la belle fleur
N’a aucune chance.
Le doctorant en philosophie à l’Université
de Strasbourg (2007-2010) Alexander KIRIYATSKIY
La neige était tombée, celle-ci n’a pas supprimé
Un grand visage bien vu sur la montagne en hiver,
Car les bateaux cosmiques l’ont gravé, l’homme les aimait.
Dont il les aidait à creuser l’or dans sa froide Terre.
Lors les flocons de glace n’ont pas fermé ce profil,
La couronne passe à ses paupières, vers le menton.
Mais ne s'oublient jamais le nez avec ses sourcils
Sa barbe ne s’est pas modifiée de cette façon.
À ce temps en Europe, il y a trois mille ans avant
Jésus Christ baptisé, ses extraterrestres sont
Les dieux aux rois afin de diriger tous leurs gens
Que soit l’espoir, qu’aux forts plaisirs travaille chaque personne.
Au-dessus de la ville Conthey en Suisse au canton
Sous le titre Valais n’a pas disparu l’image
De cette colline. Toujours la voit l’état francophone.
De celle, regarde l’un de ses premiers héritages.
Là, les indépendances du mal ont séparé
Tous les langages et la télépathie par nul mot.
Nous devenions leurs jeux plus despotiques, c’était vrai.
Les prophéties créent les mensonges par quels jumeaux.
Éuterpé cóhibét // néc Polý-hýmniá
Lésborúm réfugít // ténderé bárbitón;
quód si mé lýricís// vátibús ínserés,
súblimí fériám // síderá vérticé.
Lésborúm réfugít // ténderé bárbitón;
quód si mé lýricís// vátibús ínserés,
súblimí fériám // síderá vérticé.
(Si Eutrope ne fait pas // taire une flûte toutefois
En Lesbos, Polymnie // ne défend plus quelles lyres,
m'accordez, car donnez // leurs places des âmes lyriques
pour ma tête orgueilleuse, // frappe nos astres bien fort.)
(Quinte Horace Flacce)
Pour l’asile d’un destin neutre, contre le mal
Vive l’étoile de justice, // car Suisse a l’idéal,
Sa sagesse neutre est // éternelle d’or égal,
Qui, pendant deux cent ans, // garde son Piédestal
Afin d’être pour tous // l’arbre des lois morales.
Comme il y a deux mille ans, // je rédige, par Horace,
Mon vers chez Mécénat. // Comme à Rome, Berne, grâce
À sa gloire du savoir, // brille dans tous ses espaces
Car permet de sauver // l’ordre de toutes nos races.
Je suis, par mes quatrains, // requérant d’Asile-Bagne,
Je consacre chaque groupe // des syllabes aux montagnes.
Quatre langues s'unissent, // par lesquelles, leurs gens gagnent
La richesse infinie // opposée à l’Espagne.
L’allemand crée l’ouvrage // du langage essentiel,
Lit Albert de Hallèr, // par ses Alpes du ciel,
Où Burkàrt Erikà // poétesse actuelle
Gagne le prix de Schillèr // mais rappelle Pierre Hebèl.
Aymon de Montfaucon // touche l’esprit médiéval,
Des lecteurs francophones. // L’aile de la cathédrale
Donne Jean Georges Lossier. // Pour nos jours, l’art dévoile
Jules-Émile Hilberer // sous leur forme cristale.
Martin Bovollinò // du Tessin a fourni
L’écouteur italien // de sa Suisse. L’on unit
Soave Francisque pour l’air // de Diegò Madernì,
Pierinò Pasquottì // trouve Vin-cE Fascianì.
Le romanche Grison // tient sa propre grammaire
Par cinq types de patois. // Leurs rapports sont ces vers
Des chanteurs... Leur trois frères // défendront l’atmosphère
De leur sœur plus cadette // qui se lève pour sa terre.
Et ici, je n’aurai // nul droit sur l’existence?
Mon destin dépendra // des Grands Hommes. Leur puissances
Peuvent, sans cause, m’abaisser // ou donner toutes mes chances
Comme Auguste d'Ovide.// Sous son trône, Horace danse.
Et l’histoire vous fera // rappeler mes souffrances
Comme pourra remercier // votre reconnaissance
De cette persécution // pour l’indépendance
Des clans qui chassent mes yeux // raisonnables aux transes.
L’Univers doit m’aider! // Ma Muse est son miroir
Qui reflète toute ma vie // le cadeau du trou noir.
Acceptez son futur // qui supprime toutes les gloires
Des fantômes reconnus // à travers leur pouvoir.
Sion est israélienne? L’actrice?
Tous les crimes s’invitent en Suisse
Par ses magasins. Qu’ils puissent
Faire plus riches cadeaux aux fils,
Car tu craches sur la police.
Pour détruire l’économie,
Le voleur devient l’ami.
L’ordre d’or s’est endormi
Mais, au diable, s’est soumis.
Vole plusieurs vestons gratuits!
La mafia but d’aujourd’hui
Forme ses bandits depuis
Leur défense pour ta nuit
Sur tes êtres des hommes blancs
Qui sont les esclaves des clans
Durs, pour leur horrible plan,
Qui tuent leurs non juifs méchants.
Le mot «Sion» a l’origine
Du sionisme. La divine
Émotion nous chasse aux mines
Du carcel plein, sans cuisine.
Les révolutions d’Afrique
Créent l’erreur pour la panique.
Se réveillent leurs fanatiques
Réfugiés très hystériques.
Que la race européenne
Se battait par ses hyènes.
À l’Europe, l’on crie: «La Mienne,
Sous Ma Foi, n’est plus chrétienne»,
Que chaque milliardaire retire
Son argent des banques? Sir
Quitte sa Suisse, pour son plaisir,
Qu’Israël ne puisse pas rire?
Vive l'absence des voleurs
Qui détruisent l’oeil d'un bonheur
Ne rompez jamais les mœurs
Du soleil en sept couleurs.
Essaye de toucher l’horizon
Avant mille neuf cent trente un,
Staline ne croit pas au fort trône
Parmi nos esclaves… Qui lui donne
Beaucoup de miracles du Bon?
Dont chaque camp de concentration
Se prépare déjà aux répressions.
Encore, le cœur cache l’illusion
Qu’il évitera les prisons.
De cette même façon, tous les pays
De l’Europe de pigeons répètent: «Oui!»
Aux nouveaux stalinismes depuis
Ses grosses listes noire d’aujourd’hui.
Chacun dit: «Je ferme mes yeux
Sur plusieurs sacrifices sérieux,
Pour ma belle richesse l’on fait mieux
Qu’après ma pratique des droits vieux.»
Oublie! que renaissent leurs bourreaux
Qui conduisent à l’armée de PRO,
Car l’homme devient le poireau:
Et soutient leurs misères de zéro.
N’importe quel bandit français
Peut battre dans les rues.
Ses sacrifices, qui se stressaient,
À la police, l’ont crû.
Nos défenseurs vivent au passé,
Dont notre temps les expulsaient
Vers les drogués qui ont cessé
D’être les porcs parus
Aux hommes, pour l’ombre inutile,
Qui peuvent faire tout qu’ils veulent
Avec des gens dans toutes les villes,
Car font fermer nos gueules.
Partout, notre destin est seule –
L’introduction des rôles,
Parmi les âmes civiles,
Des «ennemis» du peuple drôle.
La Préfecture d’Alsace sait que je porte plainte
Contre son clan et je l’imprime en Internet,
Dont je ne puisse jamais me justifier, sa crainte
M’illustre dangereux aux riches qui me rejettent
De cette Europe. Mais leur mafia vit très puissante.
Pour moi, toutes ses Écoles de thèse seront fermées.
L’attribution au feu extrême est suffisante
Que, sans explication, mon nom n’était jamais
Parmi leurs doctorants des Sciences d’Homme en France,
Et aux Départements de Sa Communauté.
Que toute l’Europe annule, sans causes, mes expériences,
Car tous ont peur de faire montrer ma vérité.
Vers cette tente très froide d’une souris
Un Homme avait, en Sibérie,
Une chambre. Des bandits l'ont pris
Nos clans russes dictent aux Mairies
Qui doit quitter,
Vite, quel appartement gratuit,
Leur propriété?
À leurs patrons, l'on ne dit rien.
Auprès du clan, l'Homme est le chien,
Laisse sa maison. Il prend le train,
Va à Moscou,
Où l'on lui ferme ses chemins:
«Comme toi, beaucoup
De peuples pauvres prient des droits!
Oublie des journalistes. Crois
À nos journaux, où seuls leurs rois
Sont populaires
Sur chaque Fortune. Mec, c'est pourquoi,
Vis sous ta terre.
Ami, avec ton corps très géant
Vas à l'Europe. Là, passe un an.
Au champ, trouve un travail à l'âne,
Face tous les genres.
Mec, donne tes pieds aux hauts paysans
Pour te surprendre.»
Un peu plus tard, ce Sibérien,
Est le touriste au Jardin
Du Luxembourg. L'État du Bien
Quel riche t'indique:
Vers l'Angleterre vole son copain,
Par l'or d'Aspic.
Dévoile au Russe un beau village
En Belge. Veut gagner un stage.
L'Homme ramassait, à son jeune âge
Par l'un glaneur,
Plusieurs maïs. Ce grand courage
Aime toutes vos mœurs,
Avait voulu passer une nuit
Au champ, où l'œil s'est endormi.
À l'aube, il n'a pas peur des bruits
De son moteur:
Coupait son pied, comme du coq cuit,
L'agriculteur
Flamand qui n'a pas arrêté,
Tout de suite, sa machine. Broutaient
Tes vaches. Là-bas, l'Homme russe goûtait
L'image du ciel.
Ses pantalons étaient jetés
Dans la poubelle
Comme les morceaux de son passeport
Sanglant. À l'hôpital, son corps
Passait deux jours, car un loup fort
D'un ministère
Criait que l'Homme aura sa mort
Dans cet enfer,
Comme les malades «Mentaux». Leurs murs
Ont rappelé toutes les blessures.
Ce diable de la Préfecture,
Qui parle russe,
Lui a menti que ce futur
Lui donne des puces
Et expliquait: «Mec, ta gangrène
Infectera, par toutes les veines,
Ton sang et tu voudras tes chaines
Qui sont bien mieux
Que ta mort lente, où l'hyène
Verra ton Dieu!»
Nombreux journaux ont publié
Cinq phrases: ce sang était trop lié
Avec l'homme qui avait brûlé
Toute sa conscience,
Qu'il ne pouvait bien calculer
Aucune distance
Entre l'esprit malade mental
Et les hommes qui ont vu ce mal.
Là, leur blessé est l'animal.
L'on l'avait su.
Mais l'a fermé dans l'hôpital
Des aperçus,
D'où l'Homme sans pied est réfugié
Un jour plus tard, car il neigeait.
Aux journalistes, il bougeait
Par le jaune pus.
Sa jambe bleue fait opérer
Ce pied rompu.
Au Nouvel An, l'arme l'a fait
Quitter cet hôpital de prêt,
L'Homme sans prothèse a immigré
Dans vos Pays-Bas.
À Amsterdam, malgré son gré,
L'ordre le bat,
A fait tomber sur le plancher,
Dans sa prison pour lui cacher
Toutes nos fiertés. Dans leurs clichés,
Montrait ces grèves
Sur l'invalide, car il cherchait
Ses fruits des rêves.
Lorsqu'il arrive en Allemagne,
Sans cause son existence gagne
Ce même carcel. L'on coule ce sang
À Offenbourg.
Sans noire peur, l'homme s'approche des bagnes
Seul à Strasbourg.
Sous un chemin se trouve sa tente,
Grâce à ce rare bonheur, l'âme chante.
Aux pauvretés très différentes
L'on aide en France,
Où seules les Muses, qui sont brillantes,
N'ont aucune danse.
Aime tes richesses qui font te vendre
Pourquoi je n’ai pas pu comprendre
Ni à Strasbourg, ni à Amiens:
Qui m’a fermé plusieurs chemins?
Selon ses ordres, je n’ai rien,
Où mes travaux physiques font rendre
Ma vie aux listes des destins
Qui sont les choses pour chaque doyen,
Car j’ai le rôle concret d’un chien
Qui doit entendre une voix tendre.
Sans clan, mon vers n’est que la merde
Du souteneur, tous mes talents
Ne se lèvent plus que mon gris chant
Du misérable sans argent.
Dans ces jardins, les vies se perdent.
L'époque supprime tous mes diplômes,
Dont les syllabes antiques de Rome
S’oublient. Individus, nous sommes
La ruine sans but pour l’herbe verte.
Mon bon usage ne veut que rompre
Cette tradition – des hommes de masses
Sans opinion. Que ceux-ci fassent
Nos vies distinctes pour chaque classe,
Mais sans mafia, je suis leur ombre.
Pour correspondre aux standards
Des hommes médiocres, mon regard
Doit imiter les goûts bizarres
Que je ne sois que leur concombre.
La France ne donne pas sa carte
De mes séjours de doctorant.
Où puis-j’être l’immigrant?
Et demander l’asile aux Grands
Fils Riches? Consécration, ils partent
Des Pays Traditionnaux de Faim!
L’Europe, qui Leur rédige ses poèmes
Blancs sans métrique, sans rime, sans thème,
Par sa reconnaissance, tarde.
Pour vos fascistes comme Schulze...
L’offre n’estime pas mes pulses,
Trouve sa cause et l’on m’expulse
De l’Europe… En Israël,
Je passe chaque nuit sous le ciel,
Où je ne bois pas le miel,
Car je suis un juif partiel.
En été, je n’ai pas froid
Dans la rue, je dors sans droit:
Sur un lit qui n’est pas cher
Dans une chambre, en hiver.
L’on rappelle là à Hitler
De vos morts, pendant ses guerres:
Et pour moi et pour ces juifs...
Vos derniers bandits me griffent
L’âme que je sois animal
Sans aucun travail très sale,
Sans nul bon concept moral,
Contre l’homme hébreu sans mal.
Ignorance du Titan
Je consacre vingt ans
Pour la guerre des tyrans
Contre l'homme nu. Dont quand
Ai-je pu étudier?...
J’ai quitté mon quartier
Parfait. J’ai travaillé,
Avec mes bras, au clan.
J’ai la vie des esclaves.
L’ours ignore l’amitié,
Aime nombreuses douleurs graves.
Mais je dois oublier
Mon jeune âge qui est liée
Aux soirs, aux hôteliers,
Pour porter leur poubelle
Du sous-sol, sous l’hôtel,
Aux cours sales vers le ciel.
Dieu crée l’or du collier
Fantastique des étoiles.
Le bonheur est partiel,
Car l’on rompt l’idéal.
Mes diplômes ont leurs droits
Aux mains de seules nos rois
Qui trompaient. Et je crois
À l’argent des fascistes
Qui isolent l’île des pistes,
Leurs meilleurs spécialistes
S’uniront contre moi.
Dieu m’aide par l’Univers,
Cette lumière d’amidiste
Vous illustre mes vers.
Sur la vie de mon corps
Vive ma thèse ou ma mort!
Mon esprit est très fort
Et se sert du vers d’or.
Son Miroir formidable
Me reflète tout encore,
Où Il n’est pas d’accord
Avec l’arbre de diable
Mais me jette comme une balle
Pour gâter l’air moral,
Où ce poème vous dévoile
L’existence des pauvres.
Contre le service mal
Trop secret, l’art cristal
Se lève dans mes belles œuvres.
C'est le ciel avant l’aube,
Car toujours, l’on dit: «Stop!»
À ma chance d'Europe.
Mon nom est dans la liste
Noire, parmi les microbes
Qui occupent toutes vos robes,
Par nombreux extrémistes.
La mafia serait nue,
Si ma thèse soutenue
Traversait l’avenue
Des Fils Gros de ses membres
Qui cachent ce Contenu
Du clan. Ils sont venus,
Pour l’argent, à leurs chambres,
Dont pratiquent la prison
Où je n’ai nulle maison
Que j’oublie ma raison
Sans recherche de l’Être.
Comme plusieurs jeunes garçons,
Que j'étais un poisson
Sans espoir sur mes lettres.
Liberté au savants!
Qui veulent suivre mes plans
Des travaux: tant avant
Vos pressions des puissances
Sur nos traits dépendants
De chaque crainte dedans
Leurs obscures subconsciences.
Pour me persécuter
Par l’esclave qui dictait
Seule sa sécurité
Du roi des démocrates,
Vous plaît l’éternité
De Staline qui goûtait
Ses soldats qui se battent
Et se vendent aux peurs,
Ils brûlent l’ordre de mœurs,
Leur nouveau dictateur
Fait ouvrir sa fenêtre,
Par l’homme qui perd son cœur,
Dans le règne du malheur
Qui l’oblige à renaître.
Poème en fer du tank
Je ramasse vos vers mangues,
Troubadours, je vous tangue,
Je comprends bien la langue
Occitane.
Pour nous, vos rimes riches manquent,
Comme ma liane.
Lorsque je vous traduis,
Par mes mots d’aujourd’hui..,
Ma musique vous conduit
De mon sens
D’«autre Non» et d’«autre Oui»
Aux balances.
L’on attend mes brèves pauses,
L’haut menteur trouve sa cause,
Et refusent ma belle rose
Musicale
L’on la calque en prose
Grise, très sale
Pendant nos huit cents ans…
Mais pourquoi chaque chaire ment?
Son service secret rend
Ma clarté:
Pour moi, mes documents
Rejetés,
Déportés
Qui luttaient
Sans beauté.
Acception comme existence réelle
Tout notre Univers est très conditionnel,
Ce monde s'élargit par ses matières partielles,
Car nos atomes sont vides, il n'y a rien éternel,
Dont mon cerveau explique cette illusion du ciel:
Partout, l'espace grandit. Mais l'assassinent ses drames.
Ces trous noirs créent leurs vies cosmiques à l'île des champs,
D'où naît chaque galaxie par l'être de ses rames.
Là, vos étoiles formulent les branches pour nos âmes.
Que notre aujourd'hui divise demain et hier,
Il est quatre pour-cents de tout à nos matières
De ses atomes qui ont rempli, par soi, leurs sphères
Des astres qui sont vues, ici par la lumière.
Beaucoup de dimensions s'unissent par nos Trous noirs.
Ce cosme est misère, car ne sait pas avoir,
Ensemble, le passé et ce futur d'espoir
Qui ne séparent jamais matin, midi et soir.
Les trous donnent nos raisons, où l'énergie noire fait
Vous isoler des feux et des rapports parfaits
Dans toutes ses créatures afin de les greffer
Sur leurs étoiles que l'on a éloigné ce fait.
Tout, qui s'est explosé, se trouve dans tous les temps
Des annihilations jusqu'à la fin pendant
Toute notre extension, dirige son but créant
Des particules à ses distances au néant.
Parmi tous les atomes naîtra l'infinité
Seul Dieu les unira par sa fidélité,
Son autre construction soutient l'abîme douté,
Alors que disparaît votre dernière fierté.
(Willy Tokarev: À New York, chant du chauffeur de taxi
Déjà, j’habite en Amérique pendant quatre ans
Et j’ai vécu dans toutes ses villes fameuses, sans moeurs.
Je ne sais pas son peuple libre cependant.
À mon futur me persécute ma force peur,
Où j’ai connu rapide cette existence triste,
Par tout, ta croûte de pain nous fait trop labourer.
Ici, bien vivent seuls les banquiers et les ministres.
Sur tous d’ici, n’importe quel fait éternuer.
Par là, je suis venu chaud de ma Soukhoumi.
Ma profession est le voleur du Grand Сauсaze.
Plutôt sécher l’homme aux déserts qu’être soumis
À la condamnation honteuse en autre base.
J’ai essayé de devenir riche doucement,
J’allais aux poches de ma spécialité voleuse.
Était l’aire inconnue. Craintivement,
Ma main adroite tombait bien ennuyeuse.
J’ai fatigué de fréquenter les poches sans code
Un jour, j’avais voulu voler plus d’un million.
Les policiers m’ont mis leurs vites menottes.
Aux criminels, j’étais transmis à la prison.
J’ai invité deux avocats très éminents.
Parfois, l’on justifie le diable pour l’argent:
Je suis sorti pur. Innocent j’étais vraiment.
Sans liberté, un siècle passe ou face serment.
J’ai décidé de rejeter l’or du chacal.
Je me suis dit: «Ne prie jamais pour tous aussi!»
Mais ma conscience m’a soufflé: «Le sens moral
Pouvait gagner un peu, conduire notre taxi.»
J’ai commencé à m’occuper de ce labeur.
Comme un jocrisse, j’ai travaillé de l’aube à l’aube.
Un jour, l’honneur du vieux voleur a vu ce coeur,
Et je me suis craché comme sur sa chatte en robe.
Quoi dit notre discours? J’ai travaillé impur
Pour arriver au paradis occidentaux.
Ici, l’homme soviétique amène sa jaune voiture.
Sur cet asphalte, je vends ma santé bientôt,
Où l’on m’avait pillé, n’a pas voulu payer,
Et m’offensaient les anglophones en leur langage.
Plusieurs racailles m’avaient presque tué.
Chassent mon taxi, reviens-je sans bagage.
Ami chauffeur, ce mème travail fait la lumière
De tes monnaies. Mais par ce «chou», tu dois hacher
Toute ta puissance masculine pour cette affaire,
Tue ton honneur humain, âme embauchée.
À la moitié, j’étais encore intelligent.
J’aimais les femmes par l’intellect mystique.
Je suis taxi qui devenait l’homme impotent.
Vers la gonzesse, ne pas lever moi par le cric.
À la maison, je suis brisé, fermé mes yeux.
Dans ma chemise, je tombe sur le lit.
Demain, pour mes gros parasites très capricieux,
Je me réveillerai matin maudit.
Mais en stramoine d’essence est assis le diable,
Chaque nuit je vois les rêves plus romantiques,
Je fouille mes poches toujours par le sommeil instable:
M’étonnent mes habitudes grosses des voleurs pratiques.
Il faut finir de travailler, par noir, ainsi.
Je dois reprendre mon métier sacré.
Pour vivre comme à Soukhoumi, sans mes soucis
Que le bonheur préfère ma vie malgré...) 1
____________
1 - Traduction en français d’Alexander Kiriyatskiy
Nouvelle chanson Mur cas /Mypкa/
Il y a cinquante-un ans,
L'Europe était plus pauvre
Qu'à cet aveugle siècle maintenant.
Elle estimait ses ordres,
Car ne voulait pas mordre
Nos russes parmi vos autres immigrants.
Lors l'URSS pensait
Que cette "justice" énorme
Régnait sur vos pays pour nous laisser
Ici pour nos bonnes oeuvres
Des soviétiques concombres
Qu'ils s'opposaient à nos régimes passés.
Vous invitez nos gens
Et vos acteurs rencontrent,
Par leurs triomphes, notre dissident,
Car celui-ci est contre
Ton expérience, montre
Comme mon état "décède", car tu descends,
Partout, au prix Nobel
Pour tes poèmes très tristes
Qu'à l'illusion stupide tu sois fidèle.
Tu bats tes communistes,
Tes spectateurs existent
Et tu vois que ta gloire est éternelle.
Tu chantes, Tokarev,
Et tu crois que tu portes
Tes belles chansons aux âmes par l'autre rêve,
Où l'URSS est morte.
L'on ferme toutes nos portes,
Dont cette consécration s'illustre brève.
L'on ouvre vos foyers
D'asile pour l'ignorance
De nos meilleurs diplômes. Vos ouvriers
Sont tous les russes en transe,
Nous sommes ta concurrence
Au monde qui nous fait ses mecs derniers.
Lésbió primúm // moduláte cívi
quí feróx belló, // tamen ínter árma
síve jáctatám // religárat údo
lítore návim,
(À Lesbos, premier // citoyen, respecte
notre guerre pour l'île. // Entre beaucoup d'armes,
ce bateau nageait // dans le port étrange,
plage sous l'averse,) 1
/Quinte Horace Flacce/
Strophe d'Alexander Kiriyatskiy
Consécration de Josef Brodsky
Un homme russe obtient // sa reconnaissance!
L'on tue chaque talent, // garde son absence...
Tombe ma Russie. // Pour l'intelligence,
Donne plusieurs chances
À ses favorites // que puissent apparaître
Nos personnes fameuses // des médiocres Lettres,
Car votre Pouvoir // ouvre sa fenêtre
Pour seuls Ses maîtres.
Sans sa Protection, // tout est impossible,
Leur médiocrité // deviendra horrible.
C'est son Diable qui // interprète la Bible
Aux murs sensibles.
L'on ne t'oblige pas // à caver nos plantes
Ou couper chaque pierre // qui est éprouvante.
Sans aucun diplôme, // ta carrière brillante
Mort exigeante.
Ton école secondaire // est plus importante
Que mon master deux, // "astre" enseignante!
À tes étudiants, // Amérique Méchante,
Que l'être mente.
Qui n'avait nulle voix, // de ta scène te chante,
Que, vieux écolier // "professeur", tu tentes
D'ignorer l'idée, // tes paroles prudentes
Sont différentes
Dans ta poésie // qui formule leurs ordres
De ton prix Nobel. // Mélodie de cordes,
À Venise décède, // hirondelle plus forte,
Tu dois te tordre.
Tes persécutions // soviétiques s'estompent
Sous mes vingt-deux ans // en Europe qui trompe,
Où je suis sans droit. // Excellence, rompe
L'hiver des ombres!
____________
1 - c'est la traduction poétique d'Horace en français d'Alexander Kiriyatskiy
(Josef Brodsky: Vers pour l'indépendance de l'Ukraine en 1992
Cher Charles roi douzième, votre bataille est échouée, Poltava
Garde Dieu russe. Par sa gorge, comme il disait seul: ça va,
Temps, tu dévoiles ta "mère baisée" en ruines des chaînes,
L'os des gloires posthumes unit le goût de l'Ukraine.
Non quelque verdure se voit, elle se perd par l'isotope.
En jaune blocage, Lénine la tient sur la coop.
Coupe l'idole de toiles, sache, l'aime le Canada,
Les ukrainiens ne le veulent pas gratuit sans croix.
Aigre pou l'argent, oh graines des sacs plains, bons.
Non pour nous, russes, il faut les accuser de leur trahison.
Pendant soixante-dix ans, ils habitaient à Riazan.
Sous nos images, ils vivaient comme lors de Tarzan.
Signe les pauses par leur "mère sonore", rudement nous disons,
Soit le chemin de table pour vos rues, toupillons.
Foulez de nous vite, habillez vos jupons et vos tenues,
C'est l'adresse des pipes, aillez sur quatre côtés d'avenus.
Qu'aujourd'hui dans les huttes, vous mettent les mains
Des polonais sur quatre arêtes des gredins.
Des brousses aux pendaisons sur la branche, ensemble allez.
Mais, pendant votre solitude plus douce, rongez mieux le poulet.
Excusez, toupillons. Avec nous, vous ne vivez plus,
Crache dans ton fleuve, modifie son cours contre les russes.
Dédaignez-nous, fiers, bourrez-vous par le but embêtant,
Par plusieurs coins rejetés, par vos vieux ressentiments.
Ne rappelez pas nous par votre pain au miel du ciel.
Pour nous, étranglez-vous par le tourteau du crime partiel.
Ne gâchez pas le sang par nous sans chemise sur la poitrine liée
À l'amour fini qui n'existait pas entre vos pies.
Il ne faut pas traîner les racines par vos bêchages,
Car l'humus vous a donné lumière pour vos chômages.
Que vous cessiez de coudre tous vos droits pour voter.
Haches, cette terre ne vous ne donne pas votre tranquillité.
Toi, pâturage, melonnière, steppe, boulette, femmes et gens,
L'on a perdu les hommes bien plus que la quantité d'argent.
Nous nous limiterons. Mais selon la larme de l'oeil, pourquoi
Pour celle il n'y a aucune loi afin d'attendre son autre fois?
Dieu est avec plusieurs aigles, casaques, gardiens et hetmans,
Lorsque et vous devrez mourir, oh taureaux des corps géants,
Vous râlerez et grifferez les matelas des terrasses
Par les strophes d'Alexandre et sans bobard de Taras.) 1
____________
1 - c'est la traduction poétique d'Alexander Kiriyatskiy
À l'Ukraine notre Patriarchie?
Oh María,
Luz del día
Tú me guía
Todavía.
(Johan Ruýs,
arçipreste de Hita)
Marie, pure,
Ciel du jour,
Amènes, Sûre,
À l’amour. 1
(Jean Ruis,
archiprêtre de Hite)
L’âme d'Hitler
Lucifer
Plaît, Chimère,
Pour Bandère.
Ses fenêtres
Cachent la guerre
Des ancêtres.
Qui nous tue,
Est perdu,
A rendu
L’or cher du
Sang et crie que
T’a vendu
L’Amérique.
Vive le chien
Ukrainien,
Vents ses mains
Aux gardiens
De Sire, contre
Le chemin
À ses ordres.
Mais cette bête
Perd sa tête.
Par la fête
Des conquêtes,
Tire la Byzance.
Elle rejette
Sa tolérance:
«Cependant,
Frère gourmand
Russe, attends
Ton fin lent.
L’antagonisme
À tes gents
Aime ce fascisme.»
Monde Entier,
Sans pitié,
Amitié
En moitié,
Kiev décharge,
Lui mentiez,
Ses places larges.
Président
Pipe, géant
Très urgent,
En bougeant
Par ses marches,
Vole l’argent
Au patriarche.
Mère des villes,
Laure des styles,
Donnes ta file
Au péril
Bien probable.
L'homme fragile
Voit ton diable.
Au destin
Des chrétiens,
Constantin
Trouve le lien
Au futur de Byzance,
La Rome sienne
En croyance.
Hippodrome,
Car ta Rome
Perd son nom,
Les sous-hommes
Veulent disparaître.
Lors nous sommes
Sous leurs Maîtres.
Contre toutes trois Romes en charge
Amérique, tu “prends” et changes
Nos concepts, car tu nous manges,
Deux églises colombes anges.
Contra todas las trés Romas
Tú, América, nos “tomas”
Para que ya nunca comas
Dos iglesias palomas. 2
____________
1 - La traductions de l'épigraphe a été rédigé par Alexander
Kiriyatskiy, l’auteur de ce même poème en français et en espagnol - 2.
Règle dure du court essai
N’étudiez pas leur français,
Ce langage veut me laisser
Pour l’élite qui commençait
À me tuer, vous battre.
Crache, sa civilisation,
Sur tous sans consécration,
La sagesse a cette fiction,
L’être du théâtre.
Je suis vieux et sans anglais!
Où plus tard dois-je aller?
Et, sans allemand poulet,
Sache mes langues.., quatre
Inutiles patois romans
Qui abaissent nos russes savants
Pour caver vos champs pendant
Toute la vie bien ladre.
Justifiez l’argent des hommes
Par leurs magnifiques diplômes:
«Avec eux, ramasse nos pommes,
Toi, esclave des listes
Noires du haut service secret!»
Là se trouve mon nom concret.
C’est pourquoi, j’ai consacré
Mes idées très tristes
À l’Europe totalitaire
Qui était aimable hier
Pour nos russes pendant la guerre
Froide, car il existe
Votre crainte de dire: «Non»
Aux stupides sans instruction
D’ombre soviétique, aux trônes
D’or et aux ministres.
Aujourd’hui il n’y a nulle peur
Et l’on crie: «Non» aux jongleurs
Des métriques, car leur honneur
A l’indépendance.
En histoire inscrit est qui?
Chaque médiocre comme Brodsky!
Ô leur pierre, qui fait du ski,
Ne passe nulle distance
Sans nombreux fils de fortunes!
Au temps nécessaire de Lune,
L’on illustre vos ères brunes
Et formule nos chances
De monter dans l’escalier,
Où la paix fait annuler
Son bonheur des herbes liées
Au pouvoir qui pense.
Préfecture de Strasbourg, je prie l’ordre pour moi,
Je viendrai pour te dire: «Touche ta merde!»,
Je voudrai demander tous: «En outre, pourquoi
Tu abaisses nos étoiles en prisons par tes lois?»
Tu massacres l’amours que l’âme perde
Ses espoirs sous ta cour de l’homme pauvre sans droit.
En Lesbos, Polymnie // ne défend plus quelles lyres,
m'accordez, car donnez // leurs places des âmes lyriques
pour ma tête orgueilleuse, // frappe nos astres bien fort.)
(Quinte Horace Flacce)
Pour l’asile d’un destin neutre, contre le mal
Vive l’étoile de justice, // car Suisse a l’idéal,
Sa sagesse neutre est // éternelle d’or égal,
Qui, pendant deux cent ans, // garde son Piédestal
Afin d’être pour tous // l’arbre des lois morales.
Comme il y a deux mille ans, // je rédige, par Horace,
Mon vers chez Mécénat. // Comme à Rome, Berne, grâce
À sa gloire du savoir, // brille dans tous ses espaces
Car permet de sauver // l’ordre de toutes nos races.
Je suis, par mes quatrains, // requérant d’Asile-Bagne,
Je consacre chaque groupe // des syllabes aux montagnes.
Quatre langues s'unissent, // par lesquelles, leurs gens gagnent
La richesse infinie // opposée à l’Espagne.
L’allemand crée l’ouvrage // du langage essentiel,
Lit Albert de Hallèr, // par ses Alpes du ciel,
Où Burkàrt Erikà // poétesse actuelle
Gagne le prix de Schillèr // mais rappelle Pierre Hebèl.
Aymon de Montfaucon // touche l’esprit médiéval,
Des lecteurs francophones. // L’aile de la cathédrale
Donne Jean Georges Lossier. // Pour nos jours, l’art dévoile
Jules-Émile Hilberer // sous leur forme cristale.
Martin Bovollinò // du Tessin a fourni
L’écouteur italien // de sa Suisse. L’on unit
Soave Francisque pour l’air // de Diegò Madernì,
Pierinò Pasquottì // trouve Vin-cE Fascianì.
Le romanche Grison // tient sa propre grammaire
Par cinq types de patois. // Leurs rapports sont ces vers
Des chanteurs... Leur trois frères // défendront l’atmosphère
De leur sœur plus cadette // qui se lève pour sa terre.
Et ici, je n’aurai // nul droit sur l’existence?
Mon destin dépendra // des Grands Hommes. Leur puissances
Peuvent, sans cause, m’abaisser // ou donner toutes mes chances
Comme Auguste d'Ovide.// Sous son trône, Horace danse.
Et l’histoire vous fera // rappeler mes souffrances
Comme pourra remercier // votre reconnaissance
De cette persécution // pour l’indépendance
Des clans qui chassent mes yeux // raisonnables aux transes.
L’Univers doit m’aider! // Ma Muse est son miroir
Qui reflète toute ma vie // le cadeau du trou noir.
Acceptez son futur // qui supprime toutes les gloires
Des fantômes reconnus // à travers leur pouvoir.
Sion est israélienne? L’actrice?
Tous les crimes s’invitent en Suisse
Par ses magasins. Qu’ils puissent
Faire plus riches cadeaux aux fils,
Car tu craches sur la police.
Pour détruire l’économie,
Le voleur devient l’ami.
L’ordre d’or s’est endormi
Mais, au diable, s’est soumis.
Vole plusieurs vestons gratuits!
La mafia but d’aujourd’hui
Forme ses bandits depuis
Leur défense pour ta nuit
Sur tes êtres des hommes blancs
Qui sont les esclaves des clans
Durs, pour leur horrible plan,
Qui tuent leurs non juifs méchants.
Le mot «Sion» a l’origine
Du sionisme. La divine
Émotion nous chasse aux mines
Du carcel plein, sans cuisine.
Les révolutions d’Afrique
Créent l’erreur pour la panique.
Se réveillent leurs fanatiques
Réfugiés très hystériques.
Que la race européenne
Se battait par ses hyènes.
À l’Europe, l’on crie: «La Mienne,
Sous Ma Foi, n’est plus chrétienne»,
Que chaque milliardaire retire
Son argent des banques? Sir
Quitte sa Suisse, pour son plaisir,
Qu’Israël ne puisse pas rire?
Vive l'absence des voleurs
Qui détruisent l’oeil d'un bonheur
Ne rompez jamais les mœurs
Du soleil en sept couleurs.
Essaye de toucher l’horizon
Avant mille neuf cent trente un,
Staline ne croit pas au fort trône
Parmi nos esclaves… Qui lui donne
Beaucoup de miracles du Bon?
Dont chaque camp de concentration
Se prépare déjà aux répressions.
Encore, le cœur cache l’illusion
Qu’il évitera les prisons.
De cette même façon, tous les pays
De l’Europe de pigeons répètent: «Oui!»
Aux nouveaux stalinismes depuis
Ses grosses listes noire d’aujourd’hui.
Chacun dit: «Je ferme mes yeux
Sur plusieurs sacrifices sérieux,
Pour ma belle richesse l’on fait mieux
Qu’après ma pratique des droits vieux.»
Oublie! que renaissent leurs bourreaux
Qui conduisent à l’armée de PRO,
Car l’homme devient le poireau:
Et soutient leurs misères de zéro.
N’importe quel bandit français
Peut battre dans les rues.
Ses sacrifices, qui se stressaient,
À la police, l’ont crû.
Nos défenseurs vivent au passé,
Dont notre temps les expulsaient
Vers les drogués qui ont cessé
D’être les porcs parus
Aux hommes, pour l’ombre inutile,
Qui peuvent faire tout qu’ils veulent
Avec des gens dans toutes les villes,
Car font fermer nos gueules.
Partout, notre destin est seule –
L’introduction des rôles,
Parmi les âmes civiles,
Des «ennemis» du peuple drôle.
La Préfecture d’Alsace sait que je porte plainte
Contre son clan et je l’imprime en Internet,
Dont je ne puisse jamais me justifier, sa crainte
M’illustre dangereux aux riches qui me rejettent
De cette Europe. Mais leur mafia vit très puissante.
Pour moi, toutes ses Écoles de thèse seront fermées.
L’attribution au feu extrême est suffisante
Que, sans explication, mon nom n’était jamais
Parmi leurs doctorants des Sciences d’Homme en France,
Et aux Départements de Sa Communauté.
Que toute l’Europe annule, sans causes, mes expériences,
Car tous ont peur de faire montrer ma vérité.
Vers cette tente très froide d’une souris
Un Homme avait, en Sibérie,
Une chambre. Des bandits l'ont pris
Nos clans russes dictent aux Mairies
Qui doit quitter,
Vite, quel appartement gratuit,
Leur propriété?
À leurs patrons, l'on ne dit rien.
Auprès du clan, l'Homme est le chien,
Laisse sa maison. Il prend le train,
Va à Moscou,
Où l'on lui ferme ses chemins:
«Comme toi, beaucoup
De peuples pauvres prient des droits!
Oublie des journalistes. Crois
À nos journaux, où seuls leurs rois
Sont populaires
Sur chaque Fortune. Mec, c'est pourquoi,
Vis sous ta terre.
Ami, avec ton corps très géant
Vas à l'Europe. Là, passe un an.
Au champ, trouve un travail à l'âne,
Face tous les genres.
Mec, donne tes pieds aux hauts paysans
Pour te surprendre.»
Un peu plus tard, ce Sibérien,
Est le touriste au Jardin
Du Luxembourg. L'État du Bien
Quel riche t'indique:
Vers l'Angleterre vole son copain,
Par l'or d'Aspic.
Dévoile au Russe un beau village
En Belge. Veut gagner un stage.
L'Homme ramassait, à son jeune âge
Par l'un glaneur,
Plusieurs maïs. Ce grand courage
Aime toutes vos mœurs,
Avait voulu passer une nuit
Au champ, où l'œil s'est endormi.
À l'aube, il n'a pas peur des bruits
De son moteur:
Coupait son pied, comme du coq cuit,
L'agriculteur
Flamand qui n'a pas arrêté,
Tout de suite, sa machine. Broutaient
Tes vaches. Là-bas, l'Homme russe goûtait
L'image du ciel.
Ses pantalons étaient jetés
Dans la poubelle
Comme les morceaux de son passeport
Sanglant. À l'hôpital, son corps
Passait deux jours, car un loup fort
D'un ministère
Criait que l'Homme aura sa mort
Dans cet enfer,
Comme les malades «Mentaux». Leurs murs
Ont rappelé toutes les blessures.
Ce diable de la Préfecture,
Qui parle russe,
Lui a menti que ce futur
Lui donne des puces
Et expliquait: «Mec, ta gangrène
Infectera, par toutes les veines,
Ton sang et tu voudras tes chaines
Qui sont bien mieux
Que ta mort lente, où l'hyène
Verra ton Dieu!»
Nombreux journaux ont publié
Cinq phrases: ce sang était trop lié
Avec l'homme qui avait brûlé
Toute sa conscience,
Qu'il ne pouvait bien calculer
Aucune distance
Entre l'esprit malade mental
Et les hommes qui ont vu ce mal.
Là, leur blessé est l'animal.
L'on l'avait su.
Mais l'a fermé dans l'hôpital
Des aperçus,
D'où l'Homme sans pied est réfugié
Un jour plus tard, car il neigeait.
Aux journalistes, il bougeait
Par le jaune pus.
Sa jambe bleue fait opérer
Ce pied rompu.
Au Nouvel An, l'arme l'a fait
Quitter cet hôpital de prêt,
L'Homme sans prothèse a immigré
Dans vos Pays-Bas.
À Amsterdam, malgré son gré,
L'ordre le bat,
A fait tomber sur le plancher,
Dans sa prison pour lui cacher
Toutes nos fiertés. Dans leurs clichés,
Montrait ces grèves
Sur l'invalide, car il cherchait
Ses fruits des rêves.
Lorsqu'il arrive en Allemagne,
Sans cause son existence gagne
Ce même carcel. L'on coule ce sang
À Offenbourg.
Sans noire peur, l'homme s'approche des bagnes
Seul à Strasbourg.
Sous un chemin se trouve sa tente,
Grâce à ce rare bonheur, l'âme chante.
Aux pauvretés très différentes
L'on aide en France,
Où seules les Muses, qui sont brillantes,
N'ont aucune danse.
Aime tes richesses qui font te vendre
Pourquoi je n’ai pas pu comprendre
Ni à Strasbourg, ni à Amiens:
Qui m’a fermé plusieurs chemins?
Selon ses ordres, je n’ai rien,
Où mes travaux physiques font rendre
Ma vie aux listes des destins
Qui sont les choses pour chaque doyen,
Car j’ai le rôle concret d’un chien
Qui doit entendre une voix tendre.
Sans clan, mon vers n’est que la merde
Du souteneur, tous mes talents
Ne se lèvent plus que mon gris chant
Du misérable sans argent.
Dans ces jardins, les vies se perdent.
L'époque supprime tous mes diplômes,
Dont les syllabes antiques de Rome
S’oublient. Individus, nous sommes
La ruine sans but pour l’herbe verte.
Mon bon usage ne veut que rompre
Cette tradition – des hommes de masses
Sans opinion. Que ceux-ci fassent
Nos vies distinctes pour chaque classe,
Mais sans mafia, je suis leur ombre.
Pour correspondre aux standards
Des hommes médiocres, mon regard
Doit imiter les goûts bizarres
Que je ne sois que leur concombre.
La France ne donne pas sa carte
De mes séjours de doctorant.
Où puis-j’être l’immigrant?
Et demander l’asile aux Grands
Fils Riches? Consécration, ils partent
Des Pays Traditionnaux de Faim!
L’Europe, qui Leur rédige ses poèmes
Blancs sans métrique, sans rime, sans thème,
Par sa reconnaissance, tarde.
Pour vos fascistes comme Schulze...
L’offre n’estime pas mes pulses,
Trouve sa cause et l’on m’expulse
De l’Europe… En Israël,
Je passe chaque nuit sous le ciel,
Où je ne bois pas le miel,
Car je suis un juif partiel.
En été, je n’ai pas froid
Dans la rue, je dors sans droit:
Sur un lit qui n’est pas cher
Dans une chambre, en hiver.
L’on rappelle là à Hitler
De vos morts, pendant ses guerres:
Et pour moi et pour ces juifs...
Vos derniers bandits me griffent
L’âme que je sois animal
Sans aucun travail très sale,
Sans nul bon concept moral,
Contre l’homme hébreu sans mal.
Ignorance du Titan
Je consacre vingt ans
Pour la guerre des tyrans
Contre l'homme nu. Dont quand
Ai-je pu étudier?...
J’ai quitté mon quartier
Parfait. J’ai travaillé,
Avec mes bras, au clan.
J’ai la vie des esclaves.
L’ours ignore l’amitié,
Aime nombreuses douleurs graves.
Mais je dois oublier
Mon jeune âge qui est liée
Aux soirs, aux hôteliers,
Pour porter leur poubelle
Du sous-sol, sous l’hôtel,
Aux cours sales vers le ciel.
Dieu crée l’or du collier
Fantastique des étoiles.
Le bonheur est partiel,
Car l’on rompt l’idéal.
Mes diplômes ont leurs droits
Aux mains de seules nos rois
Qui trompaient. Et je crois
À l’argent des fascistes
Qui isolent l’île des pistes,
Leurs meilleurs spécialistes
S’uniront contre moi.
Dieu m’aide par l’Univers,
Cette lumière d’amidiste
Vous illustre mes vers.
Sur la vie de mon corps
Vive ma thèse ou ma mort!
Mon esprit est très fort
Et se sert du vers d’or.
Son Miroir formidable
Me reflète tout encore,
Où Il n’est pas d’accord
Avec l’arbre de diable
Mais me jette comme une balle
Pour gâter l’air moral,
Où ce poème vous dévoile
L’existence des pauvres.
Contre le service mal
Trop secret, l’art cristal
Se lève dans mes belles œuvres.
C'est le ciel avant l’aube,
Car toujours, l’on dit: «Stop!»
À ma chance d'Europe.
Mon nom est dans la liste
Noire, parmi les microbes
Qui occupent toutes vos robes,
Par nombreux extrémistes.
La mafia serait nue,
Si ma thèse soutenue
Traversait l’avenue
Des Fils Gros de ses membres
Qui cachent ce Contenu
Du clan. Ils sont venus,
Pour l’argent, à leurs chambres,
Dont pratiquent la prison
Où je n’ai nulle maison
Que j’oublie ma raison
Sans recherche de l’Être.
Comme plusieurs jeunes garçons,
Que j'étais un poisson
Sans espoir sur mes lettres.
Liberté au savants!
Qui veulent suivre mes plans
Des travaux: tant avant
Vos pressions des puissances
Sur nos traits dépendants
De chaque crainte dedans
Leurs obscures subconsciences.
Pour me persécuter
Par l’esclave qui dictait
Seule sa sécurité
Du roi des démocrates,
Vous plaît l’éternité
De Staline qui goûtait
Ses soldats qui se battent
Et se vendent aux peurs,
Ils brûlent l’ordre de mœurs,
Leur nouveau dictateur
Fait ouvrir sa fenêtre,
Par l’homme qui perd son cœur,
Dans le règne du malheur
Qui l’oblige à renaître.
Poème en fer du tank
Je ramasse vos vers mangues,
Troubadours, je vous tangue,
Je comprends bien la langue
Occitane.
Pour nous, vos rimes riches manquent,
Comme ma liane.
Lorsque je vous traduis,
Par mes mots d’aujourd’hui..,
Ma musique vous conduit
De mon sens
D’«autre Non» et d’«autre Oui»
Aux balances.
L’on attend mes brèves pauses,
L’haut menteur trouve sa cause,
Et refusent ma belle rose
Musicale
L’on la calque en prose
Grise, très sale
Pendant nos huit cents ans…
Mais pourquoi chaque chaire ment?
Son service secret rend
Ma clarté:
Pour moi, mes documents
Rejetés,
Déportés
Qui luttaient
Sans beauté.
Acception comme existence réelle
Tout notre Univers est très conditionnel,
Ce monde s'élargit par ses matières partielles,
Car nos atomes sont vides, il n'y a rien éternel,
Dont mon cerveau explique cette illusion du ciel:
Partout, l'espace grandit. Mais l'assassinent ses drames.
Ces trous noirs créent leurs vies cosmiques à l'île des champs,
D'où naît chaque galaxie par l'être de ses rames.
Là, vos étoiles formulent les branches pour nos âmes.
Que notre aujourd'hui divise demain et hier,
Il est quatre pour-cents de tout à nos matières
De ses atomes qui ont rempli, par soi, leurs sphères
Des astres qui sont vues, ici par la lumière.
Beaucoup de dimensions s'unissent par nos Trous noirs.
Ce cosme est misère, car ne sait pas avoir,
Ensemble, le passé et ce futur d'espoir
Qui ne séparent jamais matin, midi et soir.
Les trous donnent nos raisons, où l'énergie noire fait
Vous isoler des feux et des rapports parfaits
Dans toutes ses créatures afin de les greffer
Sur leurs étoiles que l'on a éloigné ce fait.
Tout, qui s'est explosé, se trouve dans tous les temps
Des annihilations jusqu'à la fin pendant
Toute notre extension, dirige son but créant
Des particules à ses distances au néant.
Parmi tous les atomes naîtra l'infinité
Seul Dieu les unira par sa fidélité,
Son autre construction soutient l'abîme douté,
Alors que disparaît votre dernière fierté.
(Willy Tokarev: À New York, chant du chauffeur de taxi
Déjà, j’habite en Amérique pendant quatre ans
Et j’ai vécu dans toutes ses villes fameuses, sans moeurs.
Je ne sais pas son peuple libre cependant.
À mon futur me persécute ma force peur,
Où j’ai connu rapide cette existence triste,
Par tout, ta croûte de pain nous fait trop labourer.
Ici, bien vivent seuls les banquiers et les ministres.
Sur tous d’ici, n’importe quel fait éternuer.
Par là, je suis venu chaud de ma Soukhoumi.
Ma profession est le voleur du Grand Сauсaze.
Plutôt sécher l’homme aux déserts qu’être soumis
À la condamnation honteuse en autre base.
J’ai essayé de devenir riche doucement,
J’allais aux poches de ma spécialité voleuse.
Était l’aire inconnue. Craintivement,
Ma main adroite tombait bien ennuyeuse.
J’ai fatigué de fréquenter les poches sans code
Un jour, j’avais voulu voler plus d’un million.
Les policiers m’ont mis leurs vites menottes.
Aux criminels, j’étais transmis à la prison.
J’ai invité deux avocats très éminents.
Parfois, l’on justifie le diable pour l’argent:
Je suis sorti pur. Innocent j’étais vraiment.
Sans liberté, un siècle passe ou face serment.
J’ai décidé de rejeter l’or du chacal.
Je me suis dit: «Ne prie jamais pour tous aussi!»
Mais ma conscience m’a soufflé: «Le sens moral
Pouvait gagner un peu, conduire notre taxi.»
J’ai commencé à m’occuper de ce labeur.
Comme un jocrisse, j’ai travaillé de l’aube à l’aube.
Un jour, l’honneur du vieux voleur a vu ce coeur,
Et je me suis craché comme sur sa chatte en robe.
Quoi dit notre discours? J’ai travaillé impur
Pour arriver au paradis occidentaux.
Ici, l’homme soviétique amène sa jaune voiture.
Sur cet asphalte, je vends ma santé bientôt,
Où l’on m’avait pillé, n’a pas voulu payer,
Et m’offensaient les anglophones en leur langage.
Plusieurs racailles m’avaient presque tué.
Chassent mon taxi, reviens-je sans bagage.
Ami chauffeur, ce mème travail fait la lumière
De tes monnaies. Mais par ce «chou», tu dois hacher
Toute ta puissance masculine pour cette affaire,
Tue ton honneur humain, âme embauchée.
À la moitié, j’étais encore intelligent.
J’aimais les femmes par l’intellect mystique.
Je suis taxi qui devenait l’homme impotent.
Vers la gonzesse, ne pas lever moi par le cric.
À la maison, je suis brisé, fermé mes yeux.
Dans ma chemise, je tombe sur le lit.
Demain, pour mes gros parasites très capricieux,
Je me réveillerai matin maudit.
Mais en stramoine d’essence est assis le diable,
Chaque nuit je vois les rêves plus romantiques,
Je fouille mes poches toujours par le sommeil instable:
M’étonnent mes habitudes grosses des voleurs pratiques.
Il faut finir de travailler, par noir, ainsi.
Je dois reprendre mon métier sacré.
Pour vivre comme à Soukhoumi, sans mes soucis
Que le bonheur préfère ma vie malgré...) 1
____________
1 - Traduction en français d’Alexander Kiriyatskiy
Nouvelle chanson Mur cas /Mypкa/
Il y a cinquante-un ans,
L'Europe était plus pauvre
Qu'à cet aveugle siècle maintenant.
Elle estimait ses ordres,
Car ne voulait pas mordre
Nos russes parmi vos autres immigrants.
Lors l'URSS pensait
Que cette "justice" énorme
Régnait sur vos pays pour nous laisser
Ici pour nos bonnes oeuvres
Des soviétiques concombres
Qu'ils s'opposaient à nos régimes passés.
Vous invitez nos gens
Et vos acteurs rencontrent,
Par leurs triomphes, notre dissident,
Car celui-ci est contre
Ton expérience, montre
Comme mon état "décède", car tu descends,
Partout, au prix Nobel
Pour tes poèmes très tristes
Qu'à l'illusion stupide tu sois fidèle.
Tu bats tes communistes,
Tes spectateurs existent
Et tu vois que ta gloire est éternelle.
Tu chantes, Tokarev,
Et tu crois que tu portes
Tes belles chansons aux âmes par l'autre rêve,
Où l'URSS est morte.
L'on ferme toutes nos portes,
Dont cette consécration s'illustre brève.
L'on ouvre vos foyers
D'asile pour l'ignorance
De nos meilleurs diplômes. Vos ouvriers
Sont tous les russes en transe,
Nous sommes ta concurrence
Au monde qui nous fait ses mecs derniers.
Lésbió primúm // moduláte cívi
quí feróx belló, // tamen ínter árma
síve jáctatám // religárat údo
lítore návim,
(À Lesbos, premier // citoyen, respecte
notre guerre pour l'île. // Entre beaucoup d'armes,
ce bateau nageait // dans le port étrange,
plage sous l'averse,) 1
/Quinte Horace Flacce/
Strophe d'Alexander Kiriyatskiy
Consécration de Josef Brodsky
Un homme russe obtient // sa reconnaissance!
L'on tue chaque talent, // garde son absence...
Tombe ma Russie. // Pour l'intelligence,
Donne plusieurs chances
À ses favorites // que puissent apparaître
Nos personnes fameuses // des médiocres Lettres,
Car votre Pouvoir // ouvre sa fenêtre
Pour seuls Ses maîtres.
Sans sa Protection, // tout est impossible,
Leur médiocrité // deviendra horrible.
C'est son Diable qui // interprète la Bible
Aux murs sensibles.
L'on ne t'oblige pas // à caver nos plantes
Ou couper chaque pierre // qui est éprouvante.
Sans aucun diplôme, // ta carrière brillante
Mort exigeante.
Ton école secondaire // est plus importante
Que mon master deux, // "astre" enseignante!
À tes étudiants, // Amérique Méchante,
Que l'être mente.
Qui n'avait nulle voix, // de ta scène te chante,
Que, vieux écolier // "professeur", tu tentes
D'ignorer l'idée, // tes paroles prudentes
Sont différentes
Dans ta poésie // qui formule leurs ordres
De ton prix Nobel. // Mélodie de cordes,
À Venise décède, // hirondelle plus forte,
Tu dois te tordre.
Tes persécutions // soviétiques s'estompent
Sous mes vingt-deux ans // en Europe qui trompe,
Où je suis sans droit. // Excellence, rompe
L'hiver des ombres!
____________
1 - c'est la traduction poétique d'Horace en français d'Alexander Kiriyatskiy
(Josef Brodsky: Vers pour l'indépendance de l'Ukraine en 1992
Cher Charles roi douzième, votre bataille est échouée, Poltava
Garde Dieu russe. Par sa gorge, comme il disait seul: ça va,
Temps, tu dévoiles ta "mère baisée" en ruines des chaînes,
L'os des gloires posthumes unit le goût de l'Ukraine.
Non quelque verdure se voit, elle se perd par l'isotope.
En jaune blocage, Lénine la tient sur la coop.
Coupe l'idole de toiles, sache, l'aime le Canada,
Les ukrainiens ne le veulent pas gratuit sans croix.
Aigre pou l'argent, oh graines des sacs plains, bons.
Non pour nous, russes, il faut les accuser de leur trahison.
Pendant soixante-dix ans, ils habitaient à Riazan.
Sous nos images, ils vivaient comme lors de Tarzan.
Signe les pauses par leur "mère sonore", rudement nous disons,
Soit le chemin de table pour vos rues, toupillons.
Foulez de nous vite, habillez vos jupons et vos tenues,
C'est l'adresse des pipes, aillez sur quatre côtés d'avenus.
Qu'aujourd'hui dans les huttes, vous mettent les mains
Des polonais sur quatre arêtes des gredins.
Des brousses aux pendaisons sur la branche, ensemble allez.
Mais, pendant votre solitude plus douce, rongez mieux le poulet.
Excusez, toupillons. Avec nous, vous ne vivez plus,
Crache dans ton fleuve, modifie son cours contre les russes.
Dédaignez-nous, fiers, bourrez-vous par le but embêtant,
Par plusieurs coins rejetés, par vos vieux ressentiments.
Ne rappelez pas nous par votre pain au miel du ciel.
Pour nous, étranglez-vous par le tourteau du crime partiel.
Ne gâchez pas le sang par nous sans chemise sur la poitrine liée
À l'amour fini qui n'existait pas entre vos pies.
Il ne faut pas traîner les racines par vos bêchages,
Car l'humus vous a donné lumière pour vos chômages.
Que vous cessiez de coudre tous vos droits pour voter.
Haches, cette terre ne vous ne donne pas votre tranquillité.
Toi, pâturage, melonnière, steppe, boulette, femmes et gens,
L'on a perdu les hommes bien plus que la quantité d'argent.
Nous nous limiterons. Mais selon la larme de l'oeil, pourquoi
Pour celle il n'y a aucune loi afin d'attendre son autre fois?
Dieu est avec plusieurs aigles, casaques, gardiens et hetmans,
Lorsque et vous devrez mourir, oh taureaux des corps géants,
Vous râlerez et grifferez les matelas des terrasses
Par les strophes d'Alexandre et sans bobard de Taras.) 1
____________
1 - c'est la traduction poétique d'Alexander Kiriyatskiy
À l'Ukraine notre Patriarchie?
Oh María,
Luz del día
Tú me guía
Todavía.
(Johan Ruýs,
arçipreste de Hita)
Marie, pure,
Ciel du jour,
Amènes, Sûre,
À l’amour. 1
(Jean Ruis,
archiprêtre de Hite)
L’âme d'Hitler
Lucifer
Plaît, Chimère,
Pour Bandère.
Ses fenêtres
Cachent la guerre
Des ancêtres.
Qui nous tue,
Est perdu,
A rendu
L’or cher du
Sang et crie que
T’a vendu
L’Amérique.
Vive le chien
Ukrainien,
Vents ses mains
Aux gardiens
De Sire, contre
Le chemin
À ses ordres.
Mais cette bête
Perd sa tête.
Par la fête
Des conquêtes,
Tire la Byzance.
Elle rejette
Sa tolérance:
«Cependant,
Frère gourmand
Russe, attends
Ton fin lent.
L’antagonisme
À tes gents
Aime ce fascisme.»
Monde Entier,
Sans pitié,
Amitié
En moitié,
Kiev décharge,
Lui mentiez,
Ses places larges.
Président
Pipe, géant
Très urgent,
En bougeant
Par ses marches,
Vole l’argent
Au patriarche.
Mère des villes,
Laure des styles,
Donnes ta file
Au péril
Bien probable.
L'homme fragile
Voit ton diable.
Au destin
Des chrétiens,
Constantin
Trouve le lien
Au futur de Byzance,
La Rome sienne
En croyance.
Hippodrome,
Car ta Rome
Perd son nom,
Les sous-hommes
Veulent disparaître.
Lors nous sommes
Sous leurs Maîtres.
Contre toutes trois Romes en charge
Amérique, tu “prends” et changes
Nos concepts, car tu nous manges,
Deux églises colombes anges.
Contra todas las trés Romas
Tú, América, nos “tomas”
Para que ya nunca comas
Dos iglesias palomas. 2
____________
1 - La traductions de l'épigraphe a été rédigé par Alexander
Kiriyatskiy, l’auteur de ce même poème en français et en espagnol - 2.
Règle dure du court essai
N’étudiez pas leur français,
Ce langage veut me laisser
Pour l’élite qui commençait
À me tuer, vous battre.
Crache, sa civilisation,
Sur tous sans consécration,
La sagesse a cette fiction,
L’être du théâtre.
Je suis vieux et sans anglais!
Où plus tard dois-je aller?
Et, sans allemand poulet,
Sache mes langues.., quatre
Inutiles patois romans
Qui abaissent nos russes savants
Pour caver vos champs pendant
Toute la vie bien ladre.
Justifiez l’argent des hommes
Par leurs magnifiques diplômes:
«Avec eux, ramasse nos pommes,
Toi, esclave des listes
Noires du haut service secret!»
Là se trouve mon nom concret.
C’est pourquoi, j’ai consacré
Mes idées très tristes
À l’Europe totalitaire
Qui était aimable hier
Pour nos russes pendant la guerre
Froide, car il existe
Votre crainte de dire: «Non»
Aux stupides sans instruction
D’ombre soviétique, aux trônes
D’or et aux ministres.
Aujourd’hui il n’y a nulle peur
Et l’on crie: «Non» aux jongleurs
Des métriques, car leur honneur
A l’indépendance.
En histoire inscrit est qui?
Chaque médiocre comme Brodsky!
Ô leur pierre, qui fait du ski,
Ne passe nulle distance
Sans nombreux fils de fortunes!
Au temps nécessaire de Lune,
L’on illustre vos ères brunes
Et formule nos chances
De monter dans l’escalier,
Où la paix fait annuler
Son bonheur des herbes liées
Au pouvoir qui pense.
Préfecture de Strasbourg, je prie l’ordre pour moi,
Je viendrai pour te dire: «Touche ta merde!»,
Je voudrai demander tous: «En outre, pourquoi
Tu abaisses nos étoiles en prisons par tes lois?»
Tu massacres l’amours que l’âme perde
Ses espoirs sous ta cour de l’homme pauvre sans droit.
Pavlenski
Sur la place de Bastille,
Votre banque vous brille
Par la consécration de l’artiste
Qui ne joue aucun rôle
Et ne sait nulle parole
En français, car l’absurde bien triste
Fait détruire ma Russie,
Au barbare vous dîtes: «Si
Tu blessais tes femmes russes, sataniste,
Tu serais, Pierre génial,
Notre peintre du mal,
Qu’à Paris l’art du diable existe.»
L’homme n’a rien dessiné.
Mais l’Europe l’amenait
Au triomphe parfait des violences.
L’on coupe l’art de peinture
Par le feu des blessures
Pour monter à sa reconnaissance.
La Russie l’a permis
De trouver ses amis
Entre les journalistes qui dansent
À côté du bandit.
Pour Poutine, l’âne rôtit
Ses palais pour quelle indépendance?
L’âme attend la police.
À Moscou, celle-ci puisse
À conduire vers le dur héroïsme.
Pierre répète cette action
Pour la révolution
À Paris, l’on l’appelle l’extrémisme
Par dix ans de prison…
À Moscou nous disons
Qu’en Russie l’on cultive l’égoïsme,
D’où l’Europe sans trésor
Nous approche de nos morts
À travers son «naïf» daltonisme.
À mon sauveur d’Alpes
Vive Robert JAGGI // par l’étoile du Comte
Qui me brille en Suisse, // sauve parmi mes ondes.
Leurs derniers dix ans // de ma vie racontent
Comme Il m’a aidé à bien vivre contre
Mon décès - sans droit // d’exister par l’ordre,
Où ce Noble crée // mon espoir au bord de
Son canton Valais… // Que je sois une ombre,
L’ennemi de Dieu désirait nous mordre
Par l’esprit tombé. // Et l’enfer L’infecte
Comme mes deux amis // pour chaque aide directe
À ma vie d’Europe. // La santé correcte
De Robert s’oppose, par l’histoire, aux sectes.
L’origine soutient // Don JAGGI qu’il reste
En Antiquité... // Le Moyen Âge déteste
Le sénat sans voix // et Boèce. L’âme teste
Quinze siècles par sa sagesse funeste.
Ce nom de famille // du sixième dur siècle
N’oubliait jamais // le soleil des règles.
Aux époques du mal, // il volait comme aigle:
Aux paysans, du ciel - défendait leur seigle.
Sur lui regardaient // tous ses sages ancêtres
De leur Paradis. // Ses parfaites fenêtres
Voient Robert JAGGI // de la Terre pour l’Être
Des justices divines à travers ce maître.
(Alexandre Galitch: Danses des bourreaux
Mal dormaient les bourreaux? Dis à chaque nuit,
Ces bourreaux ont visité leurs amis,
Mais ils ne lésinent pas les vivres beaux,
Alimentent chaque ami des bourreaux.
Sur la table, ils vous mettent le mollet,
Car ils boivent ce tort cognac au soufflé,
Coulent le thé aux ivrognes par l’alcool.
Le muffin donne le biscuit de «Salut»,
Où les maîtres vous touchent vos épaules
Et glorifient Staline «sage» et voulu.
Ils chantent très sincèrement à ce symbole.
Sur la garde sommes-nous, disent les bourreaux,
Quand revient-t-il? Vers nos Êtres moraux,
Apparaisse vite au Politique Bureau,
Lève-toi, Père, enseigne-nous par ce cours aux
Rogues sur les pains blancs des communistes,
Vois les larmes bouillantes plus chaudes.
Et aux âmes des bourreaux il est triste.
Prenez-les en pitié par leur mode:
Vers la nuit, souffrent trop tous les bourreaux,
Aux tyrans ont nombreux mots très gros.
Et pendant notre vie adroite des rots:
Par les gueules, ces «pierrots» frappent nos héros.
Comme jadis fut la jeunesse militaire.
Battent les jambes sous les plexus solaires,
Tuent un cri aux larmes des tortionnaires.
Les étages sautent et disent leurs paroles
Aux médecins d’urgence et vers
La tristesse de Staline, l’on rappelle ce symbole,
Et l’on chante sincèrement à l’enfer.
Il y avait un ordre, disent les bourreaux,
Et l’aisance des Biens Êtres moraux,
Ton affaire nage au Politique Bureau,
S’il te plaît, reçoive-le de ce cours aux
Forts gardiens qui respirent par l’oxygène,
Ne crie pas, car ta voix n’est personne,
Les tourmenteurs avaient une peur de chienne
Prenez-les en pitié par leurs zones.) 1
Pour M. le Capitaine
Sergueï Alexandrovitch Choumilov
Aujourd’hui et en France, Galitch est la bête,
Téléphone au cent quinze, l’on bat mes poètes.
Réfugié, par ton front, un drogué rompt l’assiette,
Mange comme ces français sans raison et sans tête…
Ta Russie se rappelle dans mon cœur…
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
Dors sans pied! Réveilles-toi à six heures
Hors des fêtes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.
L’âme sauvage voudrait tuer l’autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d’obliger, à souffrir,
Un vieillard, requérant de l’asile…
Au passé, celui-ci dirigeait son navire
Commercial, voyageait vers les îles
Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n’ont que leur rage,
Portent l’ère des souffrances dures à tous nos âges.
L’un de ses diables vifs te dévoile son visage.
Il menace notre vieux capitaine…
À Strasbourg, l’Homme ne perd pas l’honneur et ses sages,
Où il ne s’abaisse pas jusqu’aux chiens,
En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l’on donne la nourriture, l’ordre rit.
À sept heures, l’homme quitte ce bâtiment triste, gris…
Le malade très âgé est à pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c’est son prix.
Dans douze heures, il revient au foyer
De souris.
L’on dit qu’il n’est pas le réfugié. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.
Dont il prie l’aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a trente ans, il avait dû
Embarquer son bateau à New-York…
Et l'asile politique pouvait être vendu.
À l’océan, il rattrape l’os de l’orque
Dépendu.
____________
1 - C’est la traduction poétique en français d’Alexander Kiriyatskiy
* * *
(H040) Et l'autre qui a sa grande confusion & tarde repentance la voudra ruiner, seront trois regions par l'extreme difference des ligues, c'est assauoir la Romanie, la Germanie, l'Espagne, qui feront diuerses sectes par main militaire, delaissant le 50. & 52. degrez de hauteur (H041) feront tous hommage des religions loingtaines aux regions de l'Europe & de Septentrion de 48. degrez d'hauteur, qui premier par vaine timidité tremblera, puis les plus occidentaux, meridionaux & orientaux trembleront, (H042) telle sera leur puissance, que ce qui se fera pas concorde & vnion insuperable des conquestes belliques. De nature seront esgaux : mais grandement differents de foy...
(H040) Le deuxième d'ailleurs à la confusion de celui-ci premier, n'hésitera pas à vouloir le ruiner et aura 3 pays adhérents des ligues distinctes, à savoir l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne qui enfanteront leurs divers partis militaires. Ces mêmes ligues seront, malgré leurs ressemblances extrêmement différentes, de côté en laissant le 50e et le 52edegré de l'Angleterre, (H041) et ces états feront certaines hommages aux religions lointaines, on aura lieu surtout du 48e degré à l'Europe du Nord, où malgré des accords de paix, l'on commencera à trembler. (H042) &Puis tremblera presque l'Europe entière jusqu'aux pays les plus occidentaux, les plus méridionaux et les plus orientaux en Russie. Leur puissance sera telle qu'ils réaliseront des alliances et des unions invincibles par leurs conquêtes guerrières. Ces pouvoirs seront militairement égaux de leur nature mais grandement différents de leur croyance...
(H040) Le deuxième d'ailleurs à la confusion de celui-ci premier, n'hésitera pas à vouloir le ruiner et aura 3 pays adhérents des ligues distinctes, à savoir l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne qui enfanteront leurs divers partis militaires. Ces mêmes ligues seront, malgré leurs ressemblances extrêmement différentes, de côté en laissant le 50e et le 52edegré de l'Angleterre, (H041) et ces états feront certaines hommages aux religions lointaines, on aura lieu surtout du 48e degré à l'Europe du Nord, où malgré des accords de paix, l'on commencera à trembler. (H042) &Puis tremblera presque l'Europe entière jusqu'aux pays les plus occidentaux, les plus méridionaux et les plus orientaux en Russie. Leur puissance sera telle qu'ils réaliseront des alliances et des unions invincibles par leurs conquêtes guerrières. Ces pouvoirs seront militairement égaux de leur nature mais grandement différents de leur croyance...
(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)
Staline en Europe
Et en Europe, il n’y a aucune démocratie,
Comme à l’époque du stalinisme en Russie.
Mon nom est dans la liste noire, secrète … - «Merci»,
Crie mon poème aux yeux des démocrates aussi.
Je suis Sacha, le personnage des «Fils d’Arbate»
De Ribakov… L’on nous sépare des masses en boîte;
Mais ne jette pas dans les prisons, les ordres battent
Pour chaque désir de nous lever parmi les rates.
Nos stalinistes d’occident persécutaient
Les professeurs, partout, aux Universités
Qui essayaient de nous inscrire, l’on leur dictait
De retirer leurs lettres par leur volonté.
Que l’on ne nous permette jamais de travailler
Sous nos officieux noms parmi les ouvriers!!!
Car sous l’averse, l’on oblige à nous mouiller
Que, comme plusieurs drogués, nous nous mangions derniers.
Que nos espoirs soient décédés dans la souffrance
Que nous perdions, comme les ivrognes, l’indépendance
Des démocrates d’Europe pour son Staline. En France,
Nous les prions, par ses esclaves, leurs indulgences.
Mais si nous soutenions nos thèses, et nous aurions
L’argent des clans pour l'air des gestes sans crayon,
Les rois perdraient leurs responsables des rayons
Illuminés la vérité que nous verrions.
Car toutes mes nuits passaient // dans les foyers des pauvres
Pendant ma vie sans fleurs // en règne d’obscurité,
Que cet enfer produise, // par les douleurs, mes œuvres
Comme ma syllabe en vers // tentait de refléter
Que je n’ai pas mes droits // de travailler par l’ordre,
Et rédiger ma thèse, // n'est pas aide à Genève,
Or, ma recherche en // Europe oblige à mordre
Mon âme pour mes études, // absence de mon rêve.
* * *
(H046) & sera au moys d'octobre que quelque grande translation sera faicte, & telle que l'on cuidera la pesanteur de la terre auoir perdu son naturel mouuement, & estre abismee en perpetuelles tenebres, seront precedens au temps vernal, & s'en ensuyuant apres d'extremes changemens, permutations de regnes, par grands tremblemens de terre, (H047) auec pullulation de la neufue Babylonne, fille miserable augmentee par l'abomination du premier holocauste, & ne tiendra tant seulement que septante trois ans, sept moys, (H048) puis apres en sortira du tige celle qui auoit demeuré tant long temps sterille...
(H046) Ce règne sera aussi le plus obscur et le plus ténébreux qui ait été depuis la création du monde jusqu'à la mort et passion humaine et de là jusqu'ici, et ce sera au mois d'Octobre qu'une grande translation aura lieu, à tel point que l'on croira que la Terre a perdu son mouvement naturel et qu'elle sera plongée dans certaines perpétuelles ténèbres. Cette translation sera précédée des signes en Printemps. (H047) Puis s'ensuivront d'extrêmes changements avec des permutations de nos règnes par nombreux grands tremblements de terre (les guerres mondiales) avec quelque pullulation d'une nouvelle Babylone (l'URSS), qui augmentera encore sa puissance par l'abomination du 1er holocauste (la 2ème guerre mondiale) et ce pouvoir ne tiendra tant seulement que 73 ans et 7 mois. (En effet de Novembre 1917 à Juin 1991: date de l'élection de Boris Elstine) l'URSS aura bel et bien duré 73 ans et 7 mois: c'est certaine période équivalente à la captivité du peuple Juif à Babylone. (H048) À la fin de la puissance russe et de ses rameaux, sortira la passion des autres peuples qui était restée si longtemps stérile...
(Nostradamus, de sa lettre au roi de la France Henry II)
Sans plusieurs masques
Que mon peuple était // contre son grand pays,
L’Amérique démontrait // que les jours sont nos nuits,
Affirmait que l’idée // des communes c’est le bruit.
Son Europe l’invitait, // car l'on n’a pas détruit
Mon État concourant. // Pour lui rompre le dos,
Tous de nos ennemis // ont reçu leurs cadeaux
Par plusieurs prix Nobel // qui faisaient très prudes aux
Mots des vers qui ne coûtent, // aujourd’hui qu’un verre d’eau
Et donnait les travaux // des meilleurs professeurs
Aux stupides soviétiques // qui n’avaient nulle saveur
Par beaucoup d'ans non plains // aux écoles de soudeur:
Pour leur faire des armées // contre l’île du bonheur.
Qui n’avait aucune languE, // sauf le russe, était lié
Aux plus hautes sociétés, // où habitent aux palais,
Car ils ont obligé // la Russie à aller
Vers l’abîme de l’enfer. // À l’Europe, ce pas plaît.
Il n’y a plus mon Union // qui pouvait contredire
Aux Rois illuminés // par le Cosme bien pire,
Au diamant de la dure // hiérarchie en plaisir
Du control sur chaque âme // et du gris souvenir.
2. 02 La teste blue fera la teste blanche
Autant de mal que France a fait leur bien.
Mort a l’anthenne grand pendu sus la branche,
Quand prins des siens le roy dira combien.
(2. 02 La tête bleue se fera cette même tête blanche
Autant de ce mal que la France leur a fait leur bien.
Le grand mort est pendu. Il a l’antenne sous la branche,
Lorsque, aux princes des têtes, le roi dira combien.)
(Nostradamus 1555)
Nul ordre
Ces esclaves, nous parlons,
Ont construit Babylone
À travers les boulons
Sur le Tibre.
Reconnu est le roi,
Aujourd’hui, c’est pourquoi,
Et je n’ai aucun droit
De l’âme libre.
L’Existence parfaite
Tue mon vers, car Rejette
Ce récit du poète,
Par quelle fibre
Des menteurs et Pratiquent
L’obtention fantastique
Pour l’asile politique.
Cette vie vibre
Entre les exigences
Des lieux qui donnent une chance
De monter. L’expérience,
Qui existe,
Dit: «J'ai peur des tyrans,
Lorsqu'il faut, pour l’argent
Comme il y a quarante ans
Vers l’heure triste.»
Un vieillard canadien
M’a rompu mon destin.
Il s’appelle Michel Venne
Journaliste.
Il défend quels fidèles
Au pouvoir, où leur ciel
Ne plaît plus au bordel
Des artistes.
L’heure rôle fort des acheteurs
Te conduit au bonheur,
À quels riches demandeurs
De l’asile!
Qui est persécuté,
Bat leur sécurité,
Rompt, par la vérité,
L’art débile.
Qui dévoile leurs bougies
Sans aucune énergie,
L’entraîne sa mort, agit
Dans les villes.
Je deviens dangereux
Aux bourreaux trop heureux,
Sur leurs feux, coule l’hébreu
Ce jaune huile.
Lorsque, comme au bandit,
L’état juif m’interdit
De faire tout, Michel dit:
«Quoi tu chantes?…»
Il ajoute: «Du pouvoir,
Te menace quelle mort noire
Sous le ciel?» Chaque gris soir
C’est ma tente.
Il déclare, en même temps,
Ce statut pour une dame
Qui revient, à ses champs,
Très contente.
Paye non vingt mille dollars,
Afin de recevoir
Cet asile pour l’histoire
Qui s’invente.
Esclavage
Le Canada
(Merde dedans)
Bat, cependant,
Ses blanches gens.
Car veut aider
Aux bangladais,
Sur nous merdait
Pour chaque idée.
Aux juges gentils,
Paye pour l’asile
Cinquante mille
Dollars utiles.
Les yeux avares
Tuent vos vieillards
Pauvres et rares
Pour leurs standards.
Que chaque enfant
Quitte ses parents,
Où tout se vend
Par l’ère d’argent.
L’être humain
Perd ses chemins,
Car baise les mains
De ses doyens.
Pire pays
Le Canada est pauvre,
Où l’art a quel destin?!
Consacre toutes ses oeuvres
Aux ordres canadiens.
Tu gagnes un peu pour l’Être,
Portant ses publies-sacs.
Mais frappe à chaque fenêtre,
Réclame, au bord des lacs.
Que, chaque hiver, l’homme tombe
Dans l’escalier en rue,
Sa vie en glace, comme l’ombre,
Sans pieds est disparue.
L’abîme des résidences
Formule vos gens misères.
Ces mêmes foyers commencent
À rappeler l’enfer.
Tes rêves sont impossibles
Aux infinis villages,
Car toutes leurs villes horribles
En boîte n’ont nul visage.
En mille neuf cents vingt quatre,
L’âme riche les a construits,
L’on justifie ce ladre
Alors et aujourd’hui!
Beaucoup de kilomètres,
Il n’y a que ses prisons
Afin de reconnaître
Leurs murs par les maisons.
Les ouvriers du peuple
Préparent la fin d’Hitler
Conservent son gris meuble
Acheté avant sa guerre.
La force incroyable
Invite ses immigrants.
Car vos esclaves de diable,
Travaillent pour le tyran.
Il n’y a que leur mensonge:
«Richesse des froids états»,
Que nos stupides prolongent
L’histoire du Canada.
Íleos, íleos, íleos,
gkhenú imín o pánton anekhómenos
ke pántas ekdekhómenos.
(Bienheureux, bienheureux, bienheureux,
Que sois-tu, céleste, notre observateur
Sortant de tout, cher concepteur. )
(Roman le Mélode)
(Milieu du VIe siècle après Christ)
Au coucher du soleil de l’époque
Constantinople mort sous vos croisades pendant sept jours en feu.
Mais l’empereur traditeur rend son prêt. Sa disgrâce est bien mieux?
Cessent d’exister les statues en Byzance, sur trois Forums… Dieu,
L’âme catholique soutient ce péché. Elle attend l’aide des fous cieux.
Ses chevaliers blancs découpent, en morceaux, les sculptures d’or... Fracassent
Les murs des temples, arnaquent leurs icônes pour telles pires populaces!
Volent cette richesse infinie des hautes tours historiques sur les places
Pour enfoncer l’aiguillon au cerveau qui, aux sauvageries, les menace,
Où leur armée possédait ce César Ville qui est nu pendant:
Un siècle dur et demi… Elle rappelle ses derniers huit cents ans,
Lorsque l’Empire Byzantine ressemblait l’enfer aux musulmans.
Et au quinzième centenaire après Christ, l’islam vainc ce pays grand.
Leurs courtisans ont traîné sa Puissance aux troubles bizarres.
Ses minarets s’opposent aux acropoles… Thaumaturges, dîtes rare:
Contre ou pour beaucoup d’iconoclastes donnent leurs grecs avares
Qui n’ont pas crainte d’orient? Mon État croit aux rois montagnards.
Et au Troisième autre Rome, son Kremlin descend par cette Byzance,
Où le trésor s’est perdu dans ce char de ses Guerres à nulle chance
Vers Istanbul a foncé le sultan! Sois, Moscou,ton cadeau aux influences
Non de la Chine! Chère Russie, réveille-toi, prison des Renaissances
Et pauvreté de tes Astres. Leurs aubes ou leurs soirs créent ta fable?!
Notre Hellade ne restituera pas son miracle en sable.
Mais sous sa peur, ta mémoire étincèle au bonheur d’espoir stable
Au Paradis des visages, où s’élance chaque russe véritable.
Quoi au lieu de l’Ordre Dieu naturel?
Des juifs chrétiens et musulmans,
Dieu est ce rien. Son cosme géant
L’a opposé aux cultes dans
Nos expressions des Dons croyants.
L’idole dirige seul votre frère
Vrai pur. Menace du drôle enfer
Que nous croyons à ses chimères
Qu’on a créé tous l’Univers
«Il y a six mille d’années» au «bieN»
Pendant six jours… L’a fait sa main:
Son Globe Terrestre du gredin
Qu’elle cassera le monde sien
Statique et blanc comme un cristal.
L’esprit l’a dans son piédestal,
Où chaque samedi il dort: pas mal
Et trompe sans pudeur morale
Qu’aux fils cosmiques donne l’ours en chaînes.
Il veut que nos raisons s’éteignent.
Qu’avec «dieu» soit Soumis, enseigne:
«Fermons l’Entré d’ailleurs sans peine!»
Envoie l’œil noir aux créations
Des autres civilisations
Qui lisent: quoi songent?.. Vibration
D’aire, ton accent tire l’agression
Par toutes nos religions. Il ment
Qu’il a sculpté cette Terre avant
Vos jaunes Étoiles «creuses» sous son vent:
Pour endormir sur l’un «divan»?
À ses esclaves, il persuadait
Que ce mensonge peut aider
Après leurs morts, soit abordée
Sa foi qu’elle aille contre l’idée.
Ce n'est pas Dieu. Cet égrégore
Se cache de nos mesures d’abord.
Son pus ne mange que quels corps?
L’attend le châtiment d’un sort:
Comme au «Cinquième (vif) élément»
L’île, qui s’explose, dépend du temps.
Aux punitions tragiques, ses camps
Se perdent à leurs bulles des gammes.
Il est soufi que sa faiblesse
Brisait nos obtentions qui pressent
Son incendie par sa vitesse
D’évolution sans nulle tristesse,
Où l’égrégore ment que cette guerre
Attache vos pauvres à ta terre
Très radioactive avec l’hiver
Pendant l’époque sans atmosphère.
Mais Dieu réel, aux arts humains,
Découvre l’Infinie, amène
Ses âmes parfaites à Ce destin,
Sans cultes de l’autre chemin.
Et le trompeur d’exil, la bête
Essaie d’influer sur les planètes,
A réfugié des Trous Noirs Faîtes,
De Dieu. Toujours rêve des conquêtes.
Au temps, est né de la poussière
Astrale. Il rit sur ses frontières
Des siècles brefs, oblige l’aile fière
À s’incliner. Armée dernière
À ce menteur, l’abîme des mythes
Construit ses temples et ses gîtes
D’Égypte sous sept pyramides
Extraterrestres qui sont vides.
Ce Ra sait claire qu’il est mortel.
Éduque l’humanité fidèle.
Sans tradition devient sa grêle:
Hors sang et sans peurs éternelles.
Pendant millions d’années, les morts
Accomplissaient les hommes sans corps
Vers Absolu, cet égrégore
Ne nous criait jamais: «Non!», fort.
Neutralité de sa matière,
Tu as ta construction… Aux sphères,
La brèche de nos valeurs transfère
Tes changements: aux questions-ères
Qui sont finies dans leur physique.
En Dieu est sa longueur unique
Sans fin... Infinité pratique
Tous nos cadastres galactiques,
Où leurs futurs passés présents
S’unissent par Sa Fusion de rangs.
Tout d’Univers est, cependant,
Parfait en Dieu à tous ses champs.
Dans l’un point sont toutes les espaces
Comme l’un se trouve sur toutes les places
Cosmiques. Encore, Dieu les embrasse
Par soi à ses versions des masses.
Le mot limite ta bouche: «Mille a… »
Des verbes qui se gagnent. Voilà,
La goule rompait leurs buts par là:
Quelle tromperie du mal (!) parla:
«Ce Fond Terrestre de l’idole,
Le puceron de l’Astre colle
Non raisonnable aux PAROLES
Sans sa télépathie du sol!»
L'essence gère LEURS relations,
Perd l’inutile opposition
Et ce CONFLIT, où nous fixions
L’absence des compréhensions.
Suffisamment intelligent,
L’on deviendra. Le mot des gens
S’oubliera. L’esclave urgent
Sera l’un télépathe sergent.
Le fleuve de ses pensées profond
Est délicat à l’abstraction,
Où sans langage brille sa vision
À ses lectures vîtes des notions!
Le nom «divin», toi, parasite,
Dise pour dormir samedi. L’orbite
Tourne au tour de nous. Gravite,
Boule invisible, satellite.
L'éther bestiole n’est pas Satan.
Son existence, en orient,
Est calculé par dix milles ans
Influe sur leurs affaires, souvent.
Dieu nous jugeait pour nos actions.
Avec leurs chutes joue l’extension.
Au timbre, sa contradiction
A évité ses illusions.
Nous ment ta «vérité» binaire,
Touche ses croyances. Aux lumières,
Ni dieu, ni diable Lucifer,
Cet égrégore est par Homère,
A su dompter ses juifs rabbins,
Casse leur passé pré-égyptien,
Unit l’islam et les chrétiens:
L’Asie avec l’Europe sans bains.
Depuis ses «six époques» «créait»
L’odieux aux livres, à leurs prêts…
Au «jour septime» s’endort après
Ses duperies, fatigue… Duraient
Ses fraudes alors. S’appelle Adam
Vers l’aube des MENTERIES infâmes.
Sous Absolu réel, l’entame
Des Hontes purifie les âmes.
Il y a nos treize milliards d’années,
Dieu a formé Cette corde née.
L’enfer l’avait discriminé,
A élargi l’instantanée,
L’une milliardième. Dieu l’a sauvée.
Le diable crie: «L’annule! Je vais
Détruire partout!» Dieu l’entravait
De chaque nouveau présent gravé.
Quelqu’un vivait au loin Futur,
Lui rejetait son haute culture
Et au Moyen Âge renaît l’or dur,
Où décapite son aventure.
Plus tôt s’aggrave en quatre mille.
Après sa mort, l’erreur le pille.
La vie prochaine griffe ses périls
Par l’un croisade tué inutile.
Avec un musulman s’endort.
Jérusalem enterre deux torts.
Au Paradis, ils montent hors
L’espace, où tous s’approchent du bord
De notre Purgatoire salut
Des fous, aspirent vers Absolu.
Illimité t’a résolu
L’incohérence vermoulue.
Qu’au vingt unième preux siècle aillent
Ses nourrissons qu’ils se réveillent
Pour ne pas faire leur mal pareil
Qu’ils l’oubliaient au pire sommeil.
Lors l’homme rencontre son décès.
Mais l’égrégore va les lasser.
Seul l’un feu ouvre nos accès
À Dieu pour tout notre passé.
(11 - 12) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre
Sur toutes nos galeries, a plané leur palais.
Sous un dôme invisible, cette ville
Chatoyait pour l’élite du diadème et volait
Par l’humaine réсompense civile.
Vives pour ses supérieurs au jardin édénique!
L’escalier d’or du lieu fabuleux
Monte à son château sur le nuage fantastique
Au dessus des tours miraculeux.
Les pierres très lumineuses se rappellent aux forêts
Sur nombreuses places en marbre le jour,
Où les ponts mosaïques se perdaient en soirée
Et pendaient au dessus de l’eau pure.
La piscine manifeste le fond du diamant.
Sur ses deux mille mesures en marnière
Du Forum sous-marin qui sépare nos feux péans.
La surface aquatique coupe deux sphères.
Le coussin d'air semblait argenté. De ce voile,
Grandissait le sanctuaire actuel!
Une idée d'Atlantide scintillait comme l’étoile,
Regardait de la mer au bleu ciel.
Les trois âmes ondes ouvrent l’un bût Paradis!
Comme il y a leurs cent siècles.., prévu
A été ce futur des atlantes maudits
Dessiné au passé en revue.
L’arc-en-ciel lumineux a frappé les entrés…
Sous la danse des muets hologrammes,
Où sont dure obscurées plusieurs arches carrées,
Lorsqu’aux pieds sont tombés nos mutants.
Alors qu'ils conquéraient la planète de ses glaces,
Ils n’ont pas distingué les paroles.
Entre des animaux, l’esclavage de leur classe
Apprenait à trouver l’autre rôle.
Trois savants volent sans bruit dans l’une boule translucide.
Les mémoires s’étonnaient des beaux styles.
Le voyage au miracle prépare leur visite
Au Conseil du Suprême Don hostile.
À ses intelligences, se donnent les couleurs
De l’une des Escaliers d’Univers…
Du château s’approchent trois hommes. Pendant cette même heure,
Les attend le chef de toute cette Terre.
Entrent dans ce palais, à travers tous les murs,
En bateau elliptique… Toutefois
Par les branches des vîtes galaxies en structures,
Pour sept ans l’on élue l’Un des rois.
De ses Astres, ce Cercle dirige l’atmosphère
Et reflète ce plus Fort par l’espace.
L’on lui rétribuera là pour toutes ses affaires,
L’âme a crainte d'aller sous sa crasse,
A varié l’apparence de tous trois côtés.
Au ton rouge, sa lumière brille égale:
Au trône en pierreries, à sa difficulté,
Au symbole du Concept intégral.
Sur lequel devant eux, l’Homme Haut a comparu.
Son plancher a construit trois fauteuils.
Par le cosme, la salle a montré toutes les rues
Des conflits tristes au troisième oeil.
Le savant essentiel a pensé: «Roi, ta clé
Permettra de défendre nos gens.
Au Cerveau sans péché, ses rayons doivent rouler
Pour noyer Sa faiblesse dans l’océan.»
Sur des vies antérieures, sous leurs siècles glissait
Plus Puissant. Il prévoit les erreurs
Des trois braves que les aide l’expérience laissée,
Son épître s’adresse à la peur.
(22 - 23) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre
Mars attendait la peine pour son haut intellect
De sa vie tuée là, sous son horion.
À l’écart des époques, leur sacrifice abject
Reflétait l’explosion de Phaéton.
Les martiens hexapodes possédaient leur cerveau
Raisonnable cadeau d’atmosphère,
La planète rouge cache les pyramides, ses caveaux
Ont prévu ce décès en enfer.
Ils avaient quitté Mars avant un coup du météore
À l’année du réveil des volcans.
Sont parti au noir cosme, qu’il les améliore
Tous... et nous crée ses intelligents.
La vie priait Phaéton de ne pas s’exploser
Qu’au futur ne s’engendre pas l’homme
Que ses soixante cinq millions d’année proposées
Aient tenu Mars vif aux astronomes.
Qui aura la conscience de Terre?... Le savait
Mars, donne ce visage au troglodyte.
Entre les roches, ses ouvriers l’ont gravé
À ses extra-martiennes proches visites.
Mais la mort de Phaéton a choisi notre gens
Et elle a abordé ce ciel chaud.
Les tombées des Bolides ont drainé chaque océan
De tout Mars qui rappelle un Cachot.
Ils dirigent et maudissent notre âme par nul coeur
À l’égal des aveugles «amis».
De ce temps, conduisent à Jupiter, tirent nos fleurs.
À son onde sOmmes nous soumis.
Les atlantes, partielles raisonnables et fières,
Enseignaient les mutants sans dure paix.
Seul Saturne Patrie trouve l’abîme des affaires
Aux têtes pour y développer.
Deux flux des électrons, le jeu des hexapodes
Détestait notre gens. Nos avers
Sont, pour eux, sans visages, alors que les périodes
De nos vies passent courts et non divers.
Les martiens descendants enlevaient, sans clarté,
L’homme du singe sauvage sans prière:
Pour faire nous, où Dieu veut sa même neutralité
De deux signes aux limites en matière.
Les insectes de Mars envoyaient plusieurs mers
Des mauvaises particules à nos seines.
À tes fentes étroites, coulent les fleuves des enfers.
Qu’en bateau sa raison sûre s’éteigne.
L'ordre filtre ce sort par le fond et réveille
L’or partout. L’on n’avait aucun choix.
Lors, l’écran protecteur débarrasse du sommeil.
L’autre monde l’Attend la claire Foi.
Par son âme, Phir survole vers Aüm cette nuit lente,
Au dessus de l’océan au palais.
À la vie sans ce mal n’était pas prêt Atlante.
Dans ses mains, Phir ne prend pas sa clé.
Les mutants ne comprennent nul de leurs livres lus.
Donc, la barbe d’Aguive n’est pas Dieu!
Quel cerveau primitif blasphémait Absolu
Par le culte sauvage très odieux!
Qui, il y quelque temps, est sorti des cavernes,
En voyage à Vénus exclamait:
«Mon misère feu de champ et son dieu en caserne
Ne seront plus, de moi, honorés!
Je pensais que ce cosme est bleu, c’est son brai!
Ses péchés règnent sur tout l’Univers.
Il est froid au pire loup en esprit noir! C’est vrai,
Où l’espace s’élargit par l'«hiver».
(24 - 25) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre
Deux flous mythes moins sauvages soulevaint leurs tribus,
L’écrêtage de l’un doigt se remplace
Par l’une circoncision. Sans croyance, ce but
Chasse à l’autre géhenne sur cette glace.
Ses souffrances charbonnent l’âme. Car par la pensée,
Les insectes envoient leurs décrets:
Vers l’homme non raisonnable qui n’a nul passé.
L’abstraction ne gagnait rien doré.
Pour la faute, leurs navires battent ces mêmes hexapodes
En seconde par l'une mille d'idées
Que, pendant plusieurs ères, les gens aient leurs périodes
Des détentes que Dieu les aidait.
Aüm a calculé ses codes de l’influence
Sur l’échec et sur tous vos chagrins.
En cerveau, où est né ce bas tort? L’expérience
A quelle source qui fait l’homme au Bien?
Les martiens réfugiés provoquaient ses faiblisses
Que, sans culte, l’homme n’aiе que l’enfer.
Son panneau de commande se rompe et laisse
Nos lectures des secrets à sa Terre.
Les hommes et les atlantes doivent se séparer,
Nous deuxièmes volerons libres loin.
Car l’unique fort cerveau serons nous amarrés
Vers Titan avant un lourd chemin.
Ce sommeil quitte Aüm. D’invisible augure
Ne peut pas éviter notre perte,
Ne sait pas quelle loi d’autre l’aura сe futur?
Ouvrira le fou cosme d’alerte.
L’aube réveille celui. Le plancher pellucide
Montre que le soleil dore l’océan
Et inspire que prévoient des consciences lucides:
Périra noyé son continent.
Au circuit, l’espace ouvre ce sens maximal
À ses chaînes des cellules, aux beaux temps.
Aux constances d’instant, la lumière va égale
À tous quatre côtés de sa rame.
Ses wagons courent sur une construction matérielle.
Ils restaient au passé. Et toujours,
Leurs visions glissent sur l’arme conscience partielle
Aux adieux avec un ordre pour
Ses schémas reflétés. L’offre change ce mur
Au recours de son ambassadeur.
Ce Conseil Supérieur n’a pas peur des courbures
Et incline l’incident en couleurs:
«Élu est décédé. Mais l’on décidera
En valeur de vos muets hologrammes.
De nos chutes synchrones, tombe plus vite ce même drap
Afin de compliquer l’humain drame. ..»
Aux voix d’apesanteur, se figent les ombres corps.
Dans la sale recèle la literie.
Du plancher transparent voit la mer. Son trésor
Du trille interstellaire s’est chéri.
Sur les yeux disparaît le plafond elliptique.
La mémoire du pouvoir a fondé
Sa lumière concentrée. L’attention la critique
Et elle libre, du mal, l'île vidée:
Nous sommes sur quel rameau des jonctions d’Univers!
Nous fusionnent ses parfaits trous cerveaux
Que flottent toutes nos notions, l’une à l’autre sans guerres
D’abstraction au dessus du rideau.
L’on s’écarte, regarde sur l’un en arrière
Le tableau illumine son édit:
Par Aüm, deux machines abaissent l’ancre solaire,
Débarrasse l’intellect du conflit.
(29 - 30) Des Atlantes qui
ont rapide quitté leur terre:
De la création de l’Univers
Hors nos temps, Tout de Dieu et l'enfer enchaîné
Y dormaient par dix-sept dimensions.
Lors la séparation a chassé leur but né
Pour produire la fin à l’explosion.
Tout ce monde naîtra moins que son Positron,
Où alors qu’il n’y avait nul malheur,
Dans un point, tous nos lieux sans concept d’autre «NON»
S’illustraient magnifiques ou meilleures.
Par les rythmes de l’infinité, chaque ficelle
Supérieure et égale collectait
Toutes ses formes sans fond et n’avait nulle partielle
Difficile à travers l’Unité.
Sa Puissance pouvait unifier tous les signes.
Dont, la couple du pas sans clarté
A jeté l’ombre charge hors chances divines:
Trois temps pour leur diversité,
Il n’est pas paradis infini de matière.
L’être rapidité dépassait
La lumière quatre fois, où grandit l’Univers,
Le présent rappelait son passé.
Un million deux cents mils en seconde, vitesse,
Tu as fait élargir l’extension,
Où ses points opposés s’approchent qu’ils disparaissent
À travers leurs annihilations.
Là se sont dissociés des pouvoirs primordiaux
Qui conduisent à la lutte cependant.
Sans divine harmonie, quittent leurs dons initiaux.
Par les larmes, séparent ses océans.
Toutes nos forces amènent à la source unique.
Microcosme d’abîme étendu,
Absolu a laissé l’île du filtre cosmique.
Au futur, l’inutile est fendu.
Dieu restait dans une seule milliardième de la masse
Explosée par le mal sous le temps.
S’élargie ce même cercle partout. Il nous chasse
Des morceaux qui construisent notre champ.
Mais la noire énergie a ouvert ses frontières
Qui conduisent à sa futilité,
Où les Trous Noires s’opposent aux places vides de l’enfer
Pour suspendre ce cosme voûté.
Chaque période de la vie éloignait nos grises morts
Des microns aux amas galactiques.
Les cadastres de branches dirigent leurs flux forts,
Et inventent une arme physique:
Les Neutrons lourds s'emboîtent à travers les Protons
Afin de formuler nous divers.
Entre nos centres et les orbites d’Électrons,
Les distances séparent l’Univers.
Entre les galaxies et dans tous les atomes
Par ce temps, la sphère creuse s'élargie.
Ses rapports trompent que pour leur offre nous sommes
Tout s’éloigne de cette noire énergie,
Où son feu qui embrasse le passage disparu,
Est vaincu à travers nos Trous Noirs,
Leur conscience invite toutes les âmes, où nos rues
Se souviennent par l’énorme mémoire.
Dans les Trous Noirs, il n’y a que des cordes sans fin,
Les images en raison de leurs notes.
Par nos treize dimensions s’ouvrent tous les chemins,
La lumière intérieure n’a nulle faute.
Contre les énergies noires, nous crée Absolu,
Sauve nos contradictions et remplace
Le passé restauré. Son futur est son glu
Entre tous nos objets en espace.
ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME
L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu,
Leurs dix-sept courtes dimensions sont connectées bien mieux
Que trois métriques des maux cosmiques au temps pour être vieux
Et l'on décède dans ce futur sans connexion des lieux.
Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort,
Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps:
Dont les distances entre eux vaincront le sens plus fort
Des Trous Noirs qui se cacheront par nos derniers rapports.
La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères
Nos évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire
Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres,
Il est possible d’ajourner la fin de l’univers.
Ses Trous Noirs n’ont aucune distance
Entre nos particules fidèles,
Qui ont, à l’ordre, la puissance
De leur donner l’union partielle
Avec ses mondes d’Absolu…
Années, quatorze milliards! Dans
L’une de ces sphères, aviez voulu
Dire l’infini à un mutant
De nul espace. Par aucun temps,
La belle vitesse du haut salut
A fait unir l’ordre présent
Passé pour son prochain non lu.
Nos galaxies sont temporelles,
Elles naissent du minimum... L’enfance
Du diable explosait leur ciel
Aux six milliard d’années, aux chances:
Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace,
L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe,
Où il n’existe pas danger de l'être qui menace
À l’harmonie, là-bas sa place domine surtout en face.
Alors dix-sept mesures plus dures ont figuré le fond
Plus grand que ce même univers dans son petit neutron…
Ses opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont
Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon.
Milliard de fois, les quantités des forces dominaient
Sur notre nombre de matières perdues par leurs années.
À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés
Sous l’énergie noire de nulle couche qui tente d’éloigner
Ses électrons et nos protons.
Par la faiblesse des formes,
Les galaxies disparaîtront.
L’obscurité énorme
Fera éteindre nos étoiles
Dans le futur. Leur but
Élargira l’abîme spatial
Qui nous approche des chutes,
Où nos gravitations grosses luttent
Que l’unité soit maximale.
Son signe «minus» casse toutes leurs routes
Qui le conduisent à l’un idéal
Que notre astre dorme
Des cinq milliards d’années au trône
De l’homme. Encore, comme l’orme,
Que se grandisse l’humaine personne.
Trois cercles des réincarnations et leurs trois dimensions
Par chaque étoile, continue toute notre vie inorganique
Des créations. Ces sont leurs raisons méta galactiques.
Pour l’intellect éternel, nous tient sa puissance physique
Contre la noire énergie sans visage, d’obscur mal statique.
Par le destin aux élus se donne le pouvoir sur la Terre.
Crée ses ravages à travers l’argent de l’été à l’hiver.
Ses sacrifices sont nos chutes demain, aujourd’hui et hier.
L’empire n’aveugle pas l’un et invite l’autre à l’enfer.
Un homme meurt par Mozart. Où il est sa diversité?
Là, son opposé porte le chagrin de Salieri, luttait
Dans sa prison de la rue. Mais la jalousie sans clarté
A maudit toute l’harmonie et sa propre génialité.
Trois cercles sont. Le premier de mères détermine ses entrailles.
Dieu veut choisir: à quel siècle naisse l’âme, où elle se réveille
Que l’embryon passe toutes leurs hypostases dans son divin sommeil
Pour être le créateur de l’art et non son ombre vieille.
Le tour suivant fait devenir vieux, oblige à décéder,
À son troisième monde voler à travers l’éternité.
Son Paradis nous débarrasse des cultes, pour l’unité
Avec Dieu de tout. Dans l’escalier, vers Absolu montez.
Éuterpé cóhibét // néc Polý-hýmniá
Lésborúm réfugít // ténderé bárbitón;
quód si mé lýricís// vátibús ínserés,
súblimí fériám // síderá vérticé.
Euterpe, sois résonnée pour moi que Polhymnie
Veuille donner l’harmonie de sa lyre à Lesbos.
Tu m'admets le poète plus fameux de lyrique,
Mon front très orgueilleux touchera ce ciel feu.
(Quinte Horace Flacce, fin de l’«Ode à Mécène».)
/20 avant Jésus Christ/
(Traduction française d’Alexander Kiriyatskiy)
Poétique des promotions d’infirmité
Des graphomanes qui ont douté
Du vingt et unième siècle mal heurté
Sans rime, l’un culte des strophes tient
L’absurde… Merde sur ta main…
Avec tes selles, son trou va bien.
Les jette vers le plafond, gardien
Des blancs «poèmes», tes mots sont morts,
Essaie de vaincre leur rapport.
Coupe toutes les rimes par ce couteau,
Tire tes prépuces rosses de nos peaux.
En Amérique, ces «glands» sont gros,
Ouverts toujours pour orientaux.
Sous cette musique, hurle trois notes,
Chante ta gorge râle d’idiote.
Nous tuions l’union des lignes d’ouvrage.
En bas, les gens ont l’un visage,
Car nos gredins cultivent l’image
Qui castre notre héritage
D’Horace, sa poésie jetée
Laisse, à New-York, sa dignité.
* * *
Donc, d’un million d'années, a survécu le troglodyte.
Par la nature d’atrocité, dort son esprit d’hybride.
Et en Egypte, les esclaves construisent leurs pyramides,
Pendant ses guerres, le grec pleure aux théâtres des morts vîtes.
Nos religions affirment que l’âme tombe en enfer,
Car elle est née avant les vies de nos prophètes divers,
Il y a beaucoup de temps avant la foi de notre frère.
Nos rois cachent la pitié à tous: limpides des autres ères.
Les muses et leurs génies étaient choisis par Absolu
Leurs points de vue sont vifs toujours. Ils n’ont pas lu
Deux Testaments et le Coran. Aux cultes n’a pas plu
Ce Paradis de Dieu hors traditions et sans leur glu.
Confronte Colomban de leur Luxeuil et l’homme sauvage.
Ne juges jamais des concubines d’Iran pour leur Moyen Âge,
Toutes nos Croyances nous amènent au ciel de leurs filages
Afin de surpasser par chaque idée pour l’être sage.
Vers l’acte sans violence des bienfaits, l’ordre est bon
Qui ne devient jamais plus cher que toutes les vies qui font
Voir Dieu non pour telle révérence, expliquait Platon:
Par le tourment s’excuse la faute pour sa compréhension.
Depuis l’enfance nous croyons en Dieu traditionnel.
À cette sauvagerie, l’obscurité devient fidèle,
Car elle n’a pas senti l’erreur des livres immortels.
Dans l’autre civilisation, l’âme renaîtra sans fiel.
Aux cosme raisonnable, non à seule l’humanité
Décent ce Don pour naître, vivre et se refléter
Dans l’Univers comme ses cellules afin de l’accepter
Au Créateur des mondes, au Paradis Beauté.
2.23 Palais, oyaseau, par oyaseau deschassé,
Bien tost après le prince parvenu:
Combien qu'hors fleuve ennemi repoussé
Dehors saisi trait d'oyaseau soutenu.
(2.23 Au palais, se remplace l'oiseau déchassé,
Tard, bientôt combien d’eau, le prince est parvenu?
En dehors des fleuves, l’ennemi s'est stressé,
Car le trait de l'oiseau est saisi et soutenu.)
(Nostradamus 1555)
Modifie le Globe Terrestre,
Chère machine du temps, orchestre
Par le vingt troisième
Siècle, sa vitesse énorme
Change et explose les formes
Tous deviennent leurs crèmes.
Au passé, l’action stupide
Bat la vie! Par celle si vide,
L’autre prévision
A quel but? L’espace amène
Aux questions: «Aux âmes humaines,
Dieu donne le grand trône.
Dieu est en dehors des ordres
Du présent. Le temps peut mordre
Les imperfections.
L’homme n’était jamais l’image
D’Absolu. Rompt son voyage,
Toutes ses illusions.
À l’ère chaude Mésozoïque,
L’homme est dans sa fantastique
Digne machine du temps.
Pour manger, tue une mouffette.
Celle-ci ne donne pas ses bêtes
Pour remplir les champs.
Le futur ira par l’autre
Route qui ne sera plus notre
Règne des mammifères.
Les reptiles mangèrent l’ancêtre
Des souris pour ne pas être
L’homme sur notre Terre
Au cerveau des raisonnables,
Que l’oiseau fasse sa plus stable
Civilisation,
Sous le bec est la poitrine,
Leurs croyances sont divines,
Veulent dire à l’homme: «Non!»
Le destin de la nature
Des oiseaux crée sa peinture.
Leur bouche c'est leur bec.
Car l’époque des dinosaures
Ferme nos voyages sans heures
Que mon sang soit sec.
Au passé, notre mesure
Du temps ouvre nos blessures,
Dieu corrige l’histoire,
Cache nos dangereux ouvrages,
Ne laisse pas à l’équipage
De faire ce cauchemar.
2.28 Le penultièsme du surnom du prophète
Prendra Diane pour son jour et repos:
Loing vaguera par frénétique tête,
Et délivrant un grand peuple d'impôs.
(2.28 Le pénultième surnom du prophète
Prendra Diane pour son jour de repos:
Et loin voguera par la frénétique tête,
En délivrant un grand peuple de l’impôt.)
(Nostradamus 1555)
Chaque vingt cinq siècles, Dieu crée, // tourne la Drachme en route,
Son invisible moteur // de nos esprits, trouve l'union
Par les niveaux des étoiles… // L’innovation nous écoute,
Celle-ci reflète tous les temps // pour l’infinie rotation.
La subconscience de l’homme // prend les idées de sagesse,
Fait diriger la planète, // par seules les femmes en raison
Qui sauvent la télépathie,// l’ordre des enchanteresses,
Coulent la lumière de la lune // plaine, à la méditation.
Le troisième œil de Dhyâna // donne la frontière, par sa ride,
Entre deux indépendants // de nos conflits… En sanskrit,
La prophétesse l’a prévu // dans les douleurs d’Atlantide.
Pour le futur de nos races, // sa prophétie est décrite.
Nos malheureuses âmes en feu // quittent, en futur, notre Terre,
Nostradamus nous conduit // par les antiques souvenirs.
Et quel destin nous attend? // L’œil de Dhyâna doit se taire,
Dont je démêle son mystère // qu’il ne faut pas revenir.
Sans mal, l’un est l’animal, // l’autre nettoie sa conscience.
Mais tous savent lire les pensées // de tout le monde partout.
Qui a des ailes, perd ses pieds // par leur belle indépendance
Pour séparer ceux tombés // et ceux qui ont le bien doux.
2.41 La grand' éstoille sept jours brûslera,
Nuée fera deux soleils apparoir:
Le gros mastin toute nuit hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.
(2.41 Pendant sept jours, la grande étoile brûlera,
Car son nuage obligera deux soleils à apparaître
Toutes les nuits, le gros chien hurlera,
Le grand pontife changera la terre pour naître)
(Nostradamus 1555)
La flamme orageuse des comètes brûlera l’atmosphère,
Les villes tomberont, l’homme habitera sous leur terre.
En raison de l’air chaud, un chien hurlera sous les murs.
Leurs grottes sauveront la vie à travers les sous-sols obscurs.
L’attaque des météores ouvrira leur nouveau siècle dur,
Alors que deux soleils couvriront l’enfer par nos blessures.
Les individus choisiront les élites en mystère
Avec un prophète pour sauver, par nos âmes, leur lumière.
Titan de Saturne deviendra le but des navires
Spatiaux, ses robots tenteront de construire
L’énorme station pour faire là, par le méthane, l’oxygène.
Mais la coupole ne défendra plus nos maisons humaines.
Et l’être devra habiter dans leurs villes souterraines,
Où, comme le loup, criera un chien sous les antennes
Sans vie. Son urne paraitra une prison pour souffrir.
Nos rêves ne seront que le ciel, comme le cosmos de Sir.
2.62 Mabus (1) puis tost alors mourra, viendra, 1 (en miroir - sudaM)
De gens et beste une horrible défete
Puis tout à coup la vengeance on verra,
Cent, main, soit, faim, quand courra la comète.
(2.62 Alors que Saddam mourra plus tôt, viendra
Une défaite horrible des gens et des bêtes:
Puis, tout à coup, la vengeance, on verra,
Que cent mains aient faim, lorsque courra la comète.)
(Nostradamus 1555)
Nostredame décrit // l’aujourd’hui sévère,
Où ce siècle a // soif des autres guerres.
Dans les pays sauvages, // passe leur l’Âge de Pierre,
L’art de chimères.
L’occident a peur // de leur haine profonde.
Qui a faim d’argent, // unira ses ondes
Contre l’industrie // de nos vies secondes,
Par tout ce monde.
Manque l’or droit sur // leur reconnaissance,
Nulle consécration // des perdus sans chance
Idéalise Saddam // en l’Europe, en transe,
Sans indulgence.
Tous voient la raison // d’être, pour laquelle,
Son Coran formule // quelle croyance belle
De l’âme rejetée! // Naît tel vite modèle
Des morts fidèles!!!
Nos Diplômes d’Europe // nous annulent Leurs Titres,
Sont comme mes carnets // de libre arbitre,
Leur mafia oblige // à faire leurs pupitres,
Rompt sous ses vitres.
Que nos Masters Deux // de toutes vos Sorbonne
Distribuent, partout, // les réclames mignonnes
Sous la pluie sans fin, // l’esclavage pomponne
Quelles richesses bonnes!
Et nos professeurs // portent la réclame,
Ne sont pas entrés // dans le gris programme
Des États Unis. // Qui oublie leurs drames,
Aide à Saddam, et
Coule les lacs salés // très froids dans nos bottes,
Lorsque je me traîne, // où les buts pilotent.
Mon corps se mouille pour // la réclame idiote:
«Goût de biscottes».
De l’aube à la nuit // doit tomber l’averse.
Mais la Vie trempée // se vend aux commerces,
Où nos larmes chaudes // ont leurs causes diverses,
Aux vents se versent.
Les douleurs s’abaissent. // Sur ses pierres dures,
Tu ne chemines plus... // Tirent plusieurs piqûres.
Aux gazons, l’on voit // l’herbe douce. Ses cures
Sont moins obscures.
Devenons misères! // Les revues pesantes,
Dans les «publie-sacs» // noirs nous alimentent,
L'escalier amène // aux Riches qui nous mentent,
Montrent leurs plantes.
Sous Leur pOrte est // une chaise en plastique,
Ce miracle jette // le plaisir cosmique
Aux esclaves mouillés… // Le chauffeur panique:
«Levez vos cliques!»
Donne nos yeux aux pieds! // Nos passions reviennent.
Deux genoux calculent // chaque coup de mes veines.
Apparaît Saddam, // où retiennent leurs chaînes,
Sonnent nos sirènes.
Nostradame prédit // les effervescences
Du temps relatif. // L’homme sans expérience
Ne doit pas savoir // toutes ses providences
Comme leur absence.
2. 75 La voix ouye de l'impolit oyseau
Sur le canon de respiral éstage
Si haut viendra du froment le boisseau,
Que l'homme d'homme sera Antropophage.
(2. 75 Entend la voix de l’impoli oiseau
Sur le canon, où respire chaque étage:
Car le froment haut viendra du boisseau,
L'homme mangera l'homme en Anthropophage.)
(Nostradamus 1555)
La forêt infinie voit le champ de froment,
Le bonheur du miracle en rage,
La couleur des épis vous éduque un enfant
Qui respire, dans le ciel, par chaque âge.
Les tentures transformèrent son plancher de l’enfance,
Dans l’image du jaune adolescent,
Son chemin s’attira, par sa reconnaissance,
À l’heure de l’espionnage et descend
Au jeune homme qui écoute ses chanteurs populaires.
Dans chaque mal, dort l’abîme des ordures.
Mais l’absence de Muse a les voix de chimère,
Se soulève par plusieurs aventures.
Par dessus des fenêtres volaient les corbeaux,
Sur l’appui s’est assis l’un des freux.
Celui-ci interdit de donner un verre d’eau
Aux derniers, qu’ils soient morts malheureux.
Au Monarque au trône toute la Terre se soumet,
Tous les autres hommes sont les zéros.
Sans lumière, sa couronne saura être charmée
À travers nombreux ordres très gros.
Il prendra le pouvoir sur beaucoup de pays
Dans nos ans liés à la liberté,
Brûlera ses amis à l’époque de leur nuit,
Notre être devra s’abonder.
2.81 Par feu du ciel la cité presque aduste,
L'urne menace encore Ceucalion,
Vixée Sardaigna par la Punique fuste,
Après que Libra prend son Phaëton.
(2.81 Par le feu du ciel, la cité se brûle, car saigne
L'urne qui menace, encore, Deucalion,
Par sa Punique des Vaisseaux, est en Sardaigne,
Plus tard, leur Balance prend son Phaéton.)
(Nostradamus 1555)
Mais trois mille ans passeront et sept cent quatre-vingt-dix sept
De la naissance de Christ, leurs météores brûleront la tête
De la plastique ville en gomme. Sa coupole, sous la Terre sans bête,
Ne défend plus du soleil mais chasse l’homme des sous-sols au front
Contre le fleuve en métal et à l’Ordre de Deucalion.
L’Art des croyances dira pourquoi s’est explosé Phaéton
Entre le Mars et le fluide Jupiter pour donner la chance
Aux mammifères de faire l’homme à la constellation Balance.
Notre élu montrera ses étoiles des Gémeaux, l’urgence
Aux raisonnables perdus leur patrie et leur rêve dernier
Qui attendra l’aide des constellations du Cancer, est lié
À l’illusion sur la Terre, car cette vie est trop éloignée.
L’air sans coupole rompue nous enverra les rayons des nuits,
Les mutations génétiques aimeront sa sociale hernie,
Refuseront le prophète au pouvoir du menteur fourni,
Et soutiendront leur tyran qui voudra voler au Saturne.
La Providence prédit le destin de son être diurne
Sur le Titan, où ce culte devra tomber dans son urne,
Lorsque la constellation de Balance brûlait le Phaéton pour nous,
Dieu a prévu que, parfois, l’homme devait être à genoux.
L’imperfection des pécheurs tomberait avec l’ordre mou,
Si nos stupides jetaient cette prophétie, par les animaux
Dans l’atmosphère du Saturne. La constellation Gémeaux,
Fait la lecture des pensées provoquer nombreuses guerres sans mot.
2. 91 Soleil levant un grand feu l'on verra
Bruit et clarté vers Aquilon tendant:
Dedans le rond mort et cris l'on orra
Par glaive, feu, faim, mort et attendant.
(2. 91 Le soleil qui lève un grand feu, l’on verra
Le bruit et la clarté vers Aquilon tendent:
Dans le rond mort et les cris l’on aura
Par leur glaive, feu, faim et mort ils attendent.)
(Nostradamus 1555)
Vers l’incendie dernier, les ventres
De nos vaisseaux cosmiques veulent prendre
Nos plantes et nos animaux.
L’invite Saturne au Titan,
Fait une station, car sait comprendre
L’homme qui décrit, par les forts mots,
Qu’il a sauvé tous les rameaux
De notre vie chère qui l’attend.
La Terre cache ses bateaux étant
Dans une trémie qui est l’armoire
Sous une montagne. Partout, sans gloire,
Sous ces feux morts il n’y a nul ciel.
Sa lave détruit l’esprit rompu.
Mais nous supprime toutes les mémoires.
L’espoir, comme le passé partiel,
S’oublie sous notre poids mutuel.
Mais les cerveaux perdirent leurs rues
Derrière nos dos. Le mal a pu
Dicter le culte d’une personne.
Et sa télépathie couronne
Le règne qui semble absolu.
Dans ces vaisseaux, leurs gens quittaient
La Terre brûlée. Et par le trône,
Toutes les pensées humaines sont lues
Et la fusée vole dans leur flux!
Mais, à genoux, l’humanité
Aveugle ne peut plus goûter
Notre beauté d’indépendance.
Il est Dieu, notre Providence.
L’homme imparfait endure son tort
Du temps bref de la dictature.
Mais le Titan cesse son échéance.
Ce grand voyage finit, la mort
Arrive au dictateur, son corps
Descend dans l’atmosphère du pur
Géant Saturne en dehors
De leurs souffrances, hors des murs.
2. 95 Les lieux peuplez seront inhabitables,
Pour chans avoir grande division:
Règnes livrez à prudens incapables,
Lors les grands frères mort et dissention.
(2. 95 Les lieux peuplés seront inhabitables,
Pour chanter leur grande division:
Livre les Règnes aux prudences incapables,
Mort des grands frères par la dissension.)
(Nostradamus 1555)
L’âme de vie prolonge l’être, fait changer l’air d’atmosphère
Du Titan… Saturne crée l’homme qui a laissé la Terre!
Les nouveaux concepts nous montrent la station particulière,
Où dans le passé, sans diable les Atlantes s’en sauvèrent.
Le cerveau de cette planète envoie vite, aux cellules en fluide,
La mémoire et la conscience du dernier prophète… Nous guide
Vers l’ère qui nous débarrasse de chaque émotion hybride
D’animal. Sans mal, nos sciences des hommes et nos arts sont vides.
Les individus s’unissent dans leur claire macro intellect
Qui n’a pas besoin des prix comme des punitions d’affect…
Sans raison, l’autre plupart a peur et veut tuer tous ses mecs
De la pure télépathie, prévision antique des grecs.
Et Saturne raisonnable, croit que son homme animal
Ne vit pas sans ennemi, car son but n’est pas sans mal.
Il prie Dieu que Jupiter ne nous ferme pas l’étoile,
Pour l’obscure Titan afin de nous voler, où Dieu dévoile.
Tous lisent les pensées des autres et transforment leur acteur
Dans ce sacrifice de torts responsable de l’erreur.
Dont ses funérailles déversent le pardon par les rêveurs
Qui brûlent le pouvoir du trône et cessent d’être les pécheurs.
Cette nouvelle lumière sépare dure les gens pures et leurs sauvages,
Que pendant certaines années, le Titan fasse le passage
Des hommes de conflits aux Êtres Raisonnables sans ombrage,
Aux constellations de l’autre galaxie, fixe leur voyage.
Les hommes modifient leur monde intérieur pour faire l’union,
L’harmonie prend l’Univers galactique dans les chaînons,
Absolu permet aux âmes de sentir les prévisions
Et sa providence brame que, de Dieu, nous l’obtenions.
Sur l’aiguille,
une famille dure brille
et le loup se grille
pour ses propres filles:
L’ordre des gens,
Est le vent.
L’œil du chasseur, fasse le grand
Assassinat en gardant
L’Être des morts utiles!
Quand les montagnes
Voient le temps
Qui tirent nos loups? Notre sang
Est sur leur neige reste. Et l’homme gagne
À tuer par ce gris style.
L’air laisse ma trace
Aux chiens grâce
À mon odeur… Que l’homme chasse
Sur moi, quitter cet espace
Dans l’âme sans corps débile.
L’hélicoptère
De chimères,
Me persécute sur ma terre!
Sauve tous nos fils en guerre
Du sacrifice, en fil!
Rapidité
Non voûtée,
Ne permet pas de noter
L’Être sans vie enchantée
Par ma famille sous l’île.
Dans le terrier,
Vous pourriez
Vivre cachés du mûrier,
Vous rappelez le dernier
De ce bonheur fragile.
Balle en fer digne,
M’assassine!
Pour le futur de vos mines
Trop nourrissantes sans vignes
Comme sans malheur en mille.
Que ma lignée
Des poignées,
Dans un printemps, soit régnée.
Mes louveteaux sont soignés
Par leurs enfants gentils.
Sur ce sommet
Animé
De nos montagnes abîmées,
Ne bravez pas d’en aimer
La jalousie hostile.
Pénal du mal
Qui a Fortune, ce feu d’amour,
Son bon est la bougie en jour…
En vain, nous attendons ta cour,…
Muse, tu nous donnes
Tes souches de Rome – en Grèce… Ton mur
Contre l’icône.
Tes reconnus rédigent: «Dormait
Mon chat aux pieds» et n’ont jamais
Écrit pendant leurs vies… Aimez
L’ordre en gloire.
Ce culte naît. Mais fait charmer
Nos goûts non rares.
Chaque tradition est l’intestin
Qui, comme son fleuve, boit les destins,
Mais bat, pour nos malheurs, ses chiens,
Mes strophes en fête.
Car ta reconnaissance tient
L’or de comète!
L’ivrogne ne veut jamais le thé.
Il interdit de répéter
L’art romantique de la beauté:
Tinte quel cuivre!
Lutte contre son éternité
Pour ne pas vivre.
Léon Trois coule ce sang. Byzance,
Tu tues nos frères par ta puissance,
Dont tu es contre la balance
Entre les peintres.
Gouvernement! repousse l’urgence,
L’arbre pour teindre.
Tes ennemis deviennent les gendres
De l’empereur qui perd ses tendres
Cortèges. Les Turques peuvent te rendre
Les dates précises?!
Partout, l’islam fera s’entendre
Dans tes églises.
Ce populaire te fait fermer
Chaque homme ouvert, il y a l’armée
Que nos consécrations brimées
Cachent l’aire absence
De sa «robe» bien illuminée
Par l’indulgence!
L’Aime chaque roi russe, caméléon,
Pour GorbatchOv, embrasse le trône,
Il y a le Règne, nous lui jetons
Quelles fleurs aux jambes!
Sans ce pouvoir, détruit son don,
Chasse de sa rampe.
Figure que Christ n’est pas comme Dieu,
Se bouche le nez, méprisent nos yeux:
Lisent chaque blessure dans ses cheveux.
Cette sueur répugne?
Son sang nous semble contagieux
Sous ses loques brunes.
L’esclave, battu par ses gardiens,
soulève deux planches grosses, en vain,
Crée sa nausée de voir leur bien.
Crève, tu nous guide
Cloué aux bois, as soif du grain
Dans nos cœurs vides.
Que Christ avale le fiel vinaigre,
Sa bouche brûlée t’approche du Maigre
Prophète Divin, sa mort intègre
L’être de frère:
En Absolu, pour son allègre
Fils sur la Terre.
Sur la Croix merde Ce Piteux,
Et sa puanteur nous sauve du feu,
Que sa Rome crie: «Ne touche pas mieux
L’Aile Croix, impie!»
Tels excusés deviennent quels preux
Par leur graphie.
Si l’on pensait encore comme hier:
«Christ ne sauve plUs l’âme de l’enfer!»
L’on enverrait à Dieu les vers
Plaints des offenses:
«Ta Croix-Peine est bonne en hiver
Sans tes défenses!!!»
Rappelle nos dissidents misères
Qui sont montés pendant la guerre
Froide, y lisaient en pires manières
Leurs chants aux bêtes.
Pour ce ventage, s’intitulèrent
Nos grands poètes.
Brille, en reconnaissance, l’orgueil
Qui n’était pas permis au seuil,
Car ne pouvait plus croire qu’on veuille
Voir ses poèmes
Laurés par la couronne des feuilles
Des Âmes Suprêmes.
Saut du vers nuage
Chaque ergot
Rompt les liages
De son gros
Esclavage,
Les cadeaux
Du courage
Vont au beau
Vers, Moyen Âge,
Ton grand mot
Trouve nos sages
Âmes… Il faut
Lire ses pages.
Nos oiseaux
Quittent leurs cages,
Nagent sur l’eau
Des images,
Pour nos dos,
Sans chômage.
DEUX VISAGES
Appréciez l’espoir du cœur
Et la rouge couleur des fleurs
Qui conduisent vers le bonheur
Par nos subconsciences,
Reflétez deux roses, penseur,
Et l'aire des Croyances.
L’Univers crée nos pensées,
Animez leurs rimes passées,
À l’humanité dansée
Donne l’abîme des chances,
Et l’histoire fait renforcer
Notre route immense.
Stábat máter dólorósa
Jacopóne da Tódi
Le statut de «réfugié»
Présuppose nos étrangers
Qui coupent leurs chrétiens âgés
Dans les guerres civiles.
Nos esclaves européens
S’abaissèrent aux gales de chiens,
Ils grattèrent la peau, pour rien,
Par cette vie tranquille.
L’on enchantera chaque mot
Des persécutés «normaux»
Qu’ils soient forts par quels trumeaux
Des beautés habiles!
Qui n’était jamais malade,
Lave vos culs pour tous ses grades,
Il n’est pas le camarade
Des stupides de Nil.
Seules ces bêtes reçoivent l’argent,
Comme vos supérieurs des gens,
Elles obtiennent l’or, en bougeant
Par leurs pipes si viles.
Camp de nos concentrations,
Tu as, pour une expression
De la civilisation,
Ton futur péril.
La raison s’est déchirée.
À genoux, l’âme perd son gré.
De l’asile, elle apparait
Comme un bon AcheteuR
De NombreuX JugeS qui t’ont dit
Que les cieux soient interdits,
Que vivent leurs drogués bandits
Comme leur Grand Voleur!
Car l’Europe est leur rencontre
Comme le cul qui nous démontre
Que ces vers seront gluants contre
L’ombre du bonheur.
La Russie les intitule
Ses Dieux, mais ceux-ci la brûlent
L’ordre bat, comme les crapules,
L’infinie douleur.
Les vieux sont dans le marasme,
L’on les lave par l’enthousiasme
Des savants russes, car l’orgasme
Pisse sur leurs MeilleurS.
Reconnus sont les tchétchènes
Qui voient, en Russie, l’arène
Des batailles, où nous amènent
Aux antiques vendeurs
Des esclaves… Les autres peuvent
Endormir parmi les fleuves
Dans la rue pour les épreuves
De vos Droits de l’Homme,
Où se cache la Cour énorme.
Sa réponse a telle forme:
Attendez-moi sous vos ormes,
Tous conduisent à Rome.
Votre illusion vient vide.
Sous celle, souffre l’invalide.
Par le front, il a quelles rides:
«L’âme n’est pas en gomme!»
Qui tuait tous ses fascistes,
Est, par cette Cour, dans la liste
Des tirants, comme l’extrémiste,
En enfer, nous sommes,
Murmurez par ses bleues lèvres:
«Ce vieux perd la vue, en fièvre
Pleure, en fou malade énerve,
Il cherchait sa pomme.»
Qui passait cette vie très pure,
N’est pas liée à la piqûre
Des drogués, car sa blessure
A plusieurs diplômes.
Mais vous plaisent seuls les mensonges,
Car, par eux, vos pouvoirs prolongent
À manipuler nos Songes,
L’Être à genoux.
Leurs robots règnent sur la France,
Car séparent, sans différence,
L’eau de leur Reconnaissance
Et la Mort pour nous.
L’Univers n’a rien et grève
Mais sa déception est brève,
Tous les êtres ont leur rêve,
La lumière des trous.
Dans l’obscurité sans chance,
Ce feu a la voix d’enfance,
Lorsque l’autre vie commence,
Dieu se trouve partout:
«Stábat máter dólorósa
Júxta crúcem lácrimósa»
Víta brévis ést, curiósa,
Práti frigidú
Mère, tu as la douloureuse
Larme, ta croix amoureuse,
Donne la vie brève et curieuse
Le vent froid est doux.
ESPOIR
Jam satis terris // nivis atque dirae
grandinis misit // Pater et rubente
dextera sacras // jaculatus arces
terruit Urbem,…
(Pour la terre en grêles, // neige, tu es funeste,
Zeus régnait longtemps, // par sa main ardente,
dont il fulgurait // l’aire des rues célestes,
aux sols, la crainte,…)
(Quinte Horace Flacce)
Mon espoir rappelle, // par la voix d'Horace,
Nicolas de Cues. // Sa richesse embrasse
La philosophie // médiévale. Quelle trace
C’est la lumière.
L'Aréopagite // voit le ciel. Sa terre
Le conduit vers Dieu // grâce à chaque prière
Qui unie les mots. // Et leur but commence
Notre silence.
A travers l'esprit, // se réveille quelle chance
D'élever mes yeux // vers leur expérience
Pour l'humanité. // «Docte Ignorance»,
M'ouvre l'audience
Du Beau Doctorat // à travers l'histoire.
Renaissance, tu // vas des hauts armoires,
Où je suis ravi // par les sages mémoires...
Oh Globe Terrestre,
Cesse de diriger // ce cosmos d'orchestre,
La médiocrité // n'a aucune palestre
De la même façon // dont n'a ni un centre
Ni tête, ni ventre.
C'est l'inquisition // qui a peur du chantre,
N'aime aucune beauté, // et promet mais ment_trop
Que tout l'Univers // est le sien qu’il entre
Dans l'être tendre.
HAUTE RECONNAISSANCE
Je vous désire le grand bonheur,
Je ne dois pas ouvrir mon cœur,
Mais je raconte mes douleurs
Pour votre terre.
La poésie contemporaine
N’aime pas les rimes, alors qu’elle règne
Car ses chanteurs heureux amènent
L’âme à la guerre
Avec les idéaux rompus,
Ma lettre a perdu leur but…
Auprès du mal, je n’ai rien pu
Savoir et faire.
L’on cracherait sur la beauté,
Si cette dernière avait goûtée
Mes coups par leur éternité.
Reconnaissance,
Tu es plus chère que les talents,
Sans toi, plus vite devient plus lent,
Son diable noir tue l’ange blanc,
Par ses puissances.
Il n’y a que seuls leurs gris menteurs,
L’art reconnu tient le moteur
De toute la vie, et la belle fleur
N’a aucune chance.
Les troubadours étaient les premiers poètes dans l’histoire de la littérature européenne. Ils ont commencé à utiliser le langage quotidien dans leur poésie. Ils ont fini de composer la poésie sans rime ou avec la rime primitive. Les troubadours ont introduit l’autre alternance des rimes à travers les lois: ABAABA, AAAB- CCCB-DDDB, AAABAB, AAAA, etc. Ils sont conçu leur premier but poétique. Leurs rimes avec leurs alternances se considèrent les plus riches, variables, diverses et productives dans l’histoire de toute la poésie d’Europe. La critique littéraire doit avoir les traits distincts des chansons des troubadours. Ils sont entrées dans la poésie mondiale et sont restées dans les poèmes des autres langues (française, allemande, espagnole, italienne, russe, etc.). La pensée s’exprime très souvent à travers le choix des alternances rimées et à travers la métrique; elles sont les premiers buts du traducteur, car les alternances rimées et les métriques ont formulé le développement du sujet, des images. Les poésies latines et arabes ont influé sur Guillaume IX. Plus tard, les influences de sa poésie enrichiront les poètes des époques suivantes. Le deuxième but, de composer les mêmes traductions poétiques, est l’individu de Guillaume IX dans ses chansons. Cette partie de l’étude doit embrasser les particularités de chaque son poème. Le troisième but est la guerre entre la latinisation de toute l’Europe et la naissance de la poésie populaire de néant en patois. En fin d’analyse, se réaliserait l’approbation de la traduction poétique en français 1) selon la raison, 2) selon la ligne 3) et selon l’interprétation poétique de tous les poèmes de Guillaume IX duc d’Aquitaine. Le lecteur français doit entendre les mélodies métriques de l’individu cosmique de Guillaume IX. Son individu est libre et identifié au cosme dans les choix des formes et des thématiques. Le même libertinage et la passion idolâtre conduisaient Guillaume IX aux poètes lyriques comme Fortunat à travers ses chansons. Au contraire, le développement thématique de chaque œuvre produit son sujet, c’est-à-dire, la narration sublimée qui enrichit la nouvelle condition courtoise. Sa contradiction et sa liberté renouvelée conçoivent l’opposition au lyrisme du passé et du futur, alors que la liberté détruit l’idéal céleste du lyrisme à travers sa naturalisation. Il faut rappeler que le même lyrisme, qui était formulé de Sapho et d’Horace à l’époque antique, se soumet aux normes du Moyen Âge formulées au VI siècle. Il était impossible de fixer ces normes sans codification, c’est-à-dire, sans sentiments codifiés à travers les allégories des images. Les unités des mêmes images n’avaient aucune connexion dans la prose. En outre, les joues des mots jolis des lyriques touchaient les cœurs sans sujet par la codification. Il y avait la liaison des joues des images allégoriques qui était ouverte au cœur et n’était jamais compris à travers le cerveau. Les poèmes de Guillaume IX ont trois groupes par leur genre. Seules trois chansons parmi toutes onze correspondent aux catégories du genre lyrique et appartiennent à notre premier groupe. 1) Elles portent les titres: «Molt jauzions mi prenc en amar (Gai et jovial je me prends à aimer)», «Ab la dolchor del temps novel (A la douleur du temps nouveau)» 2) Le deuxième groupe a les chansons du genre descriptif. Elles décrivent l’état spirituel du poète. Leur lyrisme est très conditionnel, car le sujet descriptif domine toujours et s’approche de la narration. En outre, il ne devient pas encore narratif. Les poèmes du deuxième groupe s’appellent: «IV Farai un vers de dreyt nien: (Je ferai un vers du droit néant (d’aucun droit)», «VII Pus vezem de novelh florir (Puisque nous voyons de nouveau fleurir)», «VI Ben vuelh que sapchon li pulzor (Bien on veut que on sache le contraste)» et « XI Pos de chantar m’es preès talentz, (Je peux chanter tout ce que m’est pris du talent) ». 3) La narration sarcastique s’attribue au troisième groupe. Elle oblige à dominer le sujet sur la description concrète de chaque évènement. Au troisième groupe de narration sarcastique appartiennent les poèmes suivants : «I Companho, // faray un //vers … convien: (Compagnon, je ferai un vers… convenable)», «II Compaigno, non puosc mudar qu’eo no m’effrei (Compagnons, je ne puis pas déplacer que je n’ai de quelque émoi) », III, «V Farai un vers, pos mi sonelh (Je ferai un vers puisque je suis endormi) », «VIII Farai chansoneta nueva (Je ferai la chansonnette nouvelle). Le traducteur poétique démonte que Guillaume IX est l’initiateur du rameau de tous les troubadours. Sa recherche effective essaye de garder 7 groupes par lesquels se formulent 10 types d’alternances rimées. Ces dernières produisent les règles des monorimes des troubadours. Elles sont apparues sous l’influence de onze chansons de Guillaume IX. Le but de ces traductions attire l’attention sur la particularité de l’individu et de son cosme poétique qui s’enveloppe dans les œuvres de Guillaume IX. Il faut analyser philosophiquement chaque quatrain, chaque sixain ou chaque septain dans lequel la réalité démontre qu’aucun phénomène ne peut pas apparaître de néant sans influences des autres phénomènes précédents. Le traducteur doit dévoiler de quelle façon se réalise la théorie des influences des fragments poétiques et de leurs formes d’Ambroise, d’Horace et d’Adjal Andalou, etc. sur Guillaume IX. Il y a un examen de l’histoire de la littérature. Il conçoit les suppositions des influences des hymnes anonymes du VIII au IX siècles sur « VII – Pus vezem de novelh florir », de saint Ambroise (IV s.) et de Dracontius (Controverse 194-198 (4-198) du V s.) sur « Farai un vers de dreyt nien », de la même Controverse 194-198 (4-198) de Dracontius, l’ »Ut quid jubes »de Gottschalk (? -868) et de la « Psychomachie » de Prudence (V s.) sur « Pos dè chantàr m’es près talèntz », du le poème « O admirabile veneris idolum » du cycle anonyme « Cambridge song » sur « Farai chansonetta nueva », de « Cantique des cantiques » de Pierre Damien (1006 -1072) sur « Mout jauzens me prenc en amar » et de « Pange lingua » de Venance Fortunat (VI s.) sur « X Ab la dolchor del temps novel ». Leurs particularités poétiques s’examinent à travers la méthodologie littéraire. Les influences des héritages poétiques de Guillaume se présentent à travers les alternances rimées de Berntan de Born (XII-XIII ss.), le premier poème anonyme en italien archaïque, Colin Muset (XIII s.), Jacopone da Tody (XIII s.) et Johan Ruys (XIV s.) (Juan Ruiz). Ces influences enveloppent les thématiques et les problématiques de Guillaume IX sur le « Rythme Laurentien », une chanson de Colin Muset, la poésie de Johan Ruys et les ballades de Vladimir Vysotskiy (au XX s.). Le premier troubadour Guillaume IX doit être présenté à travers les traductions poétiques, car il est le premier antipode de Venance (Venante) Fortunat initiateur du lyrisme supérieur en Europe médiévale. L’esprit de chaque traduction démontre que Guillaume IX est le premier poète qui introduit la narration érotique opposée à l’idéal symbolique de la lyrique médiévale du VI au XI siècle.
Le doctorant en philosophie à l’Université
de Strasbourg (2007-2010) Alexander KIRIYATSKIY